Atelier pharaon
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- Sakura26
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Date d'inscription : 16/05/2024
Atelier pharaon
Jeu 16 Mai - 22:21
L’entrer se tient là, juste devant moi. Je prends une grande inspiration et me faufile dans un passage étroit. L’air se glace tout à coup autour de moi. Des frissons remontent le long de mes bars alors que j’observe autour de moi à la faible lueur de la lampe torche de mon téléphone. J’avance dans la pièce prudemment. Quand dans le faisceau de lumière j’aperçois des gravures sur le mur. Je m’approche encore. Mes chaussures crissant dans le sable et les petits cailloux que constitut le sol. Je distingue maintenant clairement des hiéroglyphes profondément graver dans la paroi. Je décide de continuer mon chemin déchiffrer tout ça me prendrait trop de temps.
Je dois me presser avant d’être surprise par Maurice. Je marche doucement dans un couloir étroit. L’air autour de moi me semble épais temps il parsemer de poussière. Jetant de petit coup d’œil derrière moi je progresse dans le tombeau. Jusqu’à me retrouver devant une intersection. Je marque un petit temps d’arrêt indécise sur le chemin à suivre. Je décide après quelque seconde de m’engager sur la gauche, intriguer par le sol qui semble fait de carrelage.
Quand j’éclaire les murs je découvre des gravures formant des vagues tout le long de ceux si. Quelque pas plus loin je découvre le carrelage. Il est fait de grands carreaux au motif géométrique. Je m’avance en admirant les dessins quand un bruit retentit. Clic !
J’ai à peine le temps de me demander d’où provient se bruit qu’une lance siffle dans l’air et vient se planter dans ma cuisse. Autour de moi des flèche et d’autre lance tombe sur le sol sans me toucher. Un crie de douleur m’échappe et se confond dans le fraqua des armes sur le sol, résonnant étrangement entre les murs. Je prends une minute pour reprendre mon souffle et me décide à regarder la blessure. De toute façon je ne peux pas rester là à rien faire. Je serais morte avant qu’on ne me retrouve. Du sang coule et imbibe le tissu de mon pantalon. La lance est entrée dans mon jambe sur un dizaine de centimètre. Une pointe en métal acérer dépasse de l’autre côté da ma jambe. L’arme est visiblement très vielle. Le bois abimer par endroit semble friable je décide de le casser au plus près de la blessure.
Tentent de maitriser ma respiration encore saccader je place mes mains sur le vieux bois. Il est plus difficile à briser que je l’espérais. Je tente plusieurs fois sans sucée de me défaire de la lance. Dans un effort désespérer alors que la douleur envahit tout mon corps je tire de toute mes forces et parvient enfin à la casser. Je m’écrase sur le sol dans un crie et laisse tomber la lance en morceaux à coter de moi. Enfin libérer ! Mais le soulagement et de courte durer. Liquide tiède et visqueux qu’est mon sang coule le long de ma jambe. Ma tête tourne et des point noir dance devant mes yeux. Mais je dois me ressaisir.
Je ne peux pas continuer comme ça je vais être obliger de faire demi-tour. J’avance difficilement, laissant ma jambe blesser trainer sur le sol. Ma main tremble fermement serrer autour de mon téléphone. « Aller je peux y arriver. Encore un pas de plus. » Je me répète sans arrêt ses deux phrases dans ma tête pour me donner du courage. Mais ma progression devient de plus en plus difficile. Tout autour de moi semble se mettre à tourner. Je ne discerne plus rien. Dans un dernière effort mes pieds se dérobe sous moi. Je tombe lourdement sur le sol et glisse le long d’une pente. Dans un effort vain de me rattraper je lâche mon téléphone. De grand gémissement de douleur résonne lorsque je m’arrête enfin. Merde !
Je sursaute lorsque quelqu’un se penche au dessue de moi.
« -Ah petit t’es là, super !Vient ! annonce l’homme joyeusement
- Mau… Maurice ? Je n’y crois pas, c’est vraiment lui.
Sans que je comprenne ce qu’il se passe Maurice m’attrape par le bras. Il à l’air de s’en ficher pas mal que je sois blessée.
-Vient, vient tu va m’aider. Faut que tu voies ça. Ce que j’ai découvert. Ma découverte ! continue t’il sans se soucier de mon état.
-Allez dépêche ! Tu te rends compte ? C’est incroyable ! Ma découverte, enfin ! S’écrit-il.
Il me tire jusqu’à une grande porte tailler dans la pierre. Sans jamais s’arrêter de parler.
L’angoisse commence à monter en moi. Maurice se comporte vraiment étrangement. Je ne vais pas m’en sortir si je reste ici. Je dois fuir !
Je me défais d’un coup de sa prise alors qu’il continue encore son monologue insensé. J’avance dans le noir aussi vite que je le peux. La douleur résonne à chaque pas. Je me cogne violement contre un mur et tombe. Je tremble de froid et la douleur me paralyse. Je ne parviens plus à me relever. Je ne vais pas y arriver… Désespérer je renonce à tout effort. Mes yeux se ferme alors sans que je ne puisse plus m’en empêcher.
Merci d'avoir lu déso pour les faute je suis dys et j'ai pas vraiment relu.
Je dois me presser avant d’être surprise par Maurice. Je marche doucement dans un couloir étroit. L’air autour de moi me semble épais temps il parsemer de poussière. Jetant de petit coup d’œil derrière moi je progresse dans le tombeau. Jusqu’à me retrouver devant une intersection. Je marque un petit temps d’arrêt indécise sur le chemin à suivre. Je décide après quelque seconde de m’engager sur la gauche, intriguer par le sol qui semble fait de carrelage.
Quand j’éclaire les murs je découvre des gravures formant des vagues tout le long de ceux si. Quelque pas plus loin je découvre le carrelage. Il est fait de grands carreaux au motif géométrique. Je m’avance en admirant les dessins quand un bruit retentit. Clic !
J’ai à peine le temps de me demander d’où provient se bruit qu’une lance siffle dans l’air et vient se planter dans ma cuisse. Autour de moi des flèche et d’autre lance tombe sur le sol sans me toucher. Un crie de douleur m’échappe et se confond dans le fraqua des armes sur le sol, résonnant étrangement entre les murs. Je prends une minute pour reprendre mon souffle et me décide à regarder la blessure. De toute façon je ne peux pas rester là à rien faire. Je serais morte avant qu’on ne me retrouve. Du sang coule et imbibe le tissu de mon pantalon. La lance est entrée dans mon jambe sur un dizaine de centimètre. Une pointe en métal acérer dépasse de l’autre côté da ma jambe. L’arme est visiblement très vielle. Le bois abimer par endroit semble friable je décide de le casser au plus près de la blessure.
Tentent de maitriser ma respiration encore saccader je place mes mains sur le vieux bois. Il est plus difficile à briser que je l’espérais. Je tente plusieurs fois sans sucée de me défaire de la lance. Dans un effort désespérer alors que la douleur envahit tout mon corps je tire de toute mes forces et parvient enfin à la casser. Je m’écrase sur le sol dans un crie et laisse tomber la lance en morceaux à coter de moi. Enfin libérer ! Mais le soulagement et de courte durer. Liquide tiède et visqueux qu’est mon sang coule le long de ma jambe. Ma tête tourne et des point noir dance devant mes yeux. Mais je dois me ressaisir.
Je ne peux pas continuer comme ça je vais être obliger de faire demi-tour. J’avance difficilement, laissant ma jambe blesser trainer sur le sol. Ma main tremble fermement serrer autour de mon téléphone. « Aller je peux y arriver. Encore un pas de plus. » Je me répète sans arrêt ses deux phrases dans ma tête pour me donner du courage. Mais ma progression devient de plus en plus difficile. Tout autour de moi semble se mettre à tourner. Je ne discerne plus rien. Dans un dernière effort mes pieds se dérobe sous moi. Je tombe lourdement sur le sol et glisse le long d’une pente. Dans un effort vain de me rattraper je lâche mon téléphone. De grand gémissement de douleur résonne lorsque je m’arrête enfin. Merde !
Je sursaute lorsque quelqu’un se penche au dessue de moi.
« -Ah petit t’es là, super !Vient ! annonce l’homme joyeusement
- Mau… Maurice ? Je n’y crois pas, c’est vraiment lui.
Sans que je comprenne ce qu’il se passe Maurice m’attrape par le bras. Il à l’air de s’en ficher pas mal que je sois blessée.
-Vient, vient tu va m’aider. Faut que tu voies ça. Ce que j’ai découvert. Ma découverte ! continue t’il sans se soucier de mon état.
-Allez dépêche ! Tu te rends compte ? C’est incroyable ! Ma découverte, enfin ! S’écrit-il.
Il me tire jusqu’à une grande porte tailler dans la pierre. Sans jamais s’arrêter de parler.
L’angoisse commence à monter en moi. Maurice se comporte vraiment étrangement. Je ne vais pas m’en sortir si je reste ici. Je dois fuir !
Je me défais d’un coup de sa prise alors qu’il continue encore son monologue insensé. J’avance dans le noir aussi vite que je le peux. La douleur résonne à chaque pas. Je me cogne violement contre un mur et tombe. Je tremble de froid et la douleur me paralyse. Je ne parviens plus à me relever. Je ne vais pas y arriver… Désespérer je renonce à tout effort. Mes yeux se ferme alors sans que je ne puisse plus m’en empêcher.
Merci d'avoir lu déso pour les faute je suis dys et j'ai pas vraiment relu.
Ene aime ce message
Re: Atelier pharaon
Ven 31 Mai - 16:44
Bravo pour ton texte ! Ne t'en fais pas pour les fautes, ce n'est pas ce qu'on regarde. Tu transmets bien les péripéties et les pensées de ton personnage ; tu réussis à mettre Charlie proche de nous.
Concernant des pistes d'amélioration : quand tu dis qu'un personnage observe, pourquoi ne pas décrire ce qu'il regarde justement. (je parle du début)
Et tu n'es pas obligée de préciser chaque pas/avancée, sinon l'action peut être rapidement redondante. L'astuce, c'est de trouver des actions/descriptions qui montrent que le personnage avance
Merci pour ta participation !
Concernant des pistes d'amélioration : quand tu dis qu'un personnage observe, pourquoi ne pas décrire ce qu'il regarde justement. (je parle du début)
Et tu n'es pas obligée de préciser chaque pas/avancée, sinon l'action peut être rapidement redondante. L'astuce, c'est de trouver des actions/descriptions qui montrent que le personnage avance
Merci pour ta participation !
Sakura26 aime ce message
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