Un mauvais choix de carrière
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Henrietta_blabla
Azulys
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Un mauvais choix de carrière
Lun 27 Mar - 14:26
Désolé j'étais pas là dimanche donc je poste en retard, mais j'ai fais l'atelier avec le replay du live pour respecter le temps.
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Le moteur de l’héliplaneur toussotait furieusement. Les hélices s’affolaient dans un concert de cliquetis métalliques.
– Professeur ! hurla Lazare en se cramponnant au bastingage.
– Tout est sous contrôle ! cria le professeur Mary Adley pour couvrir le vrombissement des engrenages.
Ses boucles grisonnantes s’agitaient sous son casque, les lanières de cuir claquaient dans le vent. Elle pianota sur le tableau de bord, puis tira sur une manette. L’héliplaneur fit une violente embardée. Lazare sentit ses pieds décoller du sol. Les cliquetis s’intensifièrent, la machinerie chuintait comme un patient en phase terminale d’une mauvaise pneumonie, le squelette de l’engin, malmené par la pression, s’ébranlait de toute part. Une détonation retentit dans le moteur. Puis plus rien. L’héliplaneur piquait droit vers le sol.
Lazare pressa ses paupières l’une contre l’autre. Cette fois c’en était fini de lui. S’il avait imaginé mourir comme ça en acceptant ce poste à l’académie des sciences... Il n’avait que dix-sept ans, bon sang !
– Accrochez-vous Lazare, ça va secouer ! s’exclama le professeur Adley avec entrain.
Pour s’accrocher, il s’accrochait déjà sacrément ! Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur. Il attendit le choc, les tripes comprimées par la nausée.
Le sable amortit la chute, mais Lazare fut projeté en arrière et atterrit sur les sacs de voyage. Il battit des paupières, hébété. Son crâne bourdonnait, son dos irradiait de douleur, mais il était en vie ! Il se releva, les jambes flageolantes et les mains tremblantes. Le moteur crachotait des fumerolles sombres, mais le professeur Adley ne semblait pas s’en soucier, car elle sauta avec souplesse par-dessus le parapet. Ses bottes s’enfoncèrent dans le sable et elle releva ses lunettes de protection. Une empreinte rouge s’était imprimée sur sa peau, de sorte qu’avec ses grands yeux jaunes, elle ressemblait plus encore à un hibou qu’à l’accoutumée.
– Professeur, comment allons-nous réparer le moteur ? s’inquiéta Lazare sans quitter des yeux la fumée qui s’échappait vers le ciel.
Une odeur âcre le prenait au nez. Des hélices tordues et des écrous étaient éparpillés autour de l’héliplaneur comme des miettes dispersées par le vent.
– Plus tard, Lazare, plus tard, répondit-elle en contemplant l’horizon.
Il s’extirpa maladroitement de l’engin, manquant de s’affaler le nez dans le sable. Avec un sourire satisfait, le professeur Adley fixait résolument un point dans le lointain. Lazare se demandait pourquoi, car du nord au sud, d’est en ouest, le sable s’étendait à perte de vue, comme un océan d’or que le souffle incandescent du désert faisait ondoyer sous un soleil au zénith.
– Nous sommes complètement perdus... murmura-t-il la gorge étranglée.
– Pas du tout ! répliqua le professeur. Nous sommes exactement là où nous devons être.
Elle réajusta ses lunettes et partit d’un pas décidé.
– N’oubliez pas le sac Lazare ! lança-t-elle derrière son épaule.
Après un instant d’hébétude, Lazare remonta dans l’héliplaneur et fouilla dans les effets du professeur, jusqu’à dénicher le vieux sac de cuir râpé qui contenait les fioles. Par miracle, aucune n’était brisée.
– Attendez-moi, professeur ! cria-t-il alors qu’elle s’éloignait à grandes enjambés.
Lazare pataugea dans le sable pour tenter de la rattraper. Ses pieds cuisaient dans ses bottes et ils devaient forcer sur ses cuisses à chaque pas.
– Allons, Lazare, ne traînez pas ! dit-elle en se retournant enfin.
– Professeur, vous êtes sûre que le désert est le meilleur endroit pour trouver un demi-élémentaire d’eau ? Cela ne me semble pas...
– Justement Lazare, réfléchissez !
Il avait beau réfléchir, il ne saisissait toujours pas pourquoi elle l’avait entraîné ici ! Ce qu’il comprenait parfaitement en revanche, c’était qu’il avait fait un très mauvais choix de carrière. Il était de notoriété publique que les assistants du professeur Mary Adley ne résistaient jamais plus de quelques mois. Le denier avait même jeté l’éponge après trois jours. Lazare avait pensé que c’était parce qu’elle était exigeante, irascible, qu’elle surmenait ses apprentis, mais pas parce qu’elle était folle à lier. En dix jours, il avait déjà frôlé la mort trois fois !
Le professeur Adley avançait, entêtée. Lazare courbait la nuque, ne suivant plus que le sillon de ses pas sur les dunes ondulant à l’infini vers le sud. Le soleil tapait sur son crâne comme un marteau sur une enclume. Le murmure du sable se ponctuait des tintements des flacons de verre, dans le sac. La chaleur lui embrouillait l’esprit et il ne parvenait plus à réfléchir. Les miroitements de l’air faisaient scintiller l’horizon. Il essuya son front du revers de sa main. La sueur y perlait à grosses gouttes. La soif lui lacérait la gorge, mais chaque fois qu’il s’arrêtait pour boire, le professeur renforçait son avance. D’ailleurs, le niveau de sa gourde diminuait de manière alarmante. Il marchait, un pas après l’autre, tandis que le vent brûlant soulevait des nuages de sable. L’atmosphère aride lui embrasait la peau.
Voilà bien sa veine, il avait survécu à l’accident de l’héliplaneur uniquement pour mourir desséché dans ce désert ! Cette vieille chouette avait beau affirmer le contraire, ils étaient complètement perdus !
– Lazare ! appela soudain le professeur. J’ai trouvé l’entrée !
Il se traîna jusqu’à elle, puis se laissa tomber à genoux, vidé de ses forces. Le professeur Adley époussetait une vaste stèle gravée de symboles antiques. Lazare ne parvenait à y croire. Était-il en train de perdre la raison ? Une étincelle de ferveur brillait dans les yeux du professeur. Elle n’était peut-être pas folle finalement ; seulement, son instinct de survie ne pesait pas bien lourd face à sa soif de connaissance.
– Mon cher Lazare, aujourd’hui nous allons capturer l’essence d’un demi-élémentaire d’eau ! jubila-t-elle. Ce n’est pas dans vos bureaux poussiéreux de l’académie des sciences que vous pourriez participer à quelque chose d’aussi excitant, n’est-ce pas ?
Ça, c’était certain, songea Lazare.
– Professeur ! hurla Lazare en se cramponnant au bastingage.
– Tout est sous contrôle ! cria le professeur Mary Adley pour couvrir le vrombissement des engrenages.
Ses boucles grisonnantes s’agitaient sous son casque, les lanières de cuir claquaient dans le vent. Elle pianota sur le tableau de bord, puis tira sur une manette. L’héliplaneur fit une violente embardée. Lazare sentit ses pieds décoller du sol. Les cliquetis s’intensifièrent, la machinerie chuintait comme un patient en phase terminale d’une mauvaise pneumonie, le squelette de l’engin, malmené par la pression, s’ébranlait de toute part. Une détonation retentit dans le moteur. Puis plus rien. L’héliplaneur piquait droit vers le sol.
Lazare pressa ses paupières l’une contre l’autre. Cette fois c’en était fini de lui. S’il avait imaginé mourir comme ça en acceptant ce poste à l’académie des sciences... Il n’avait que dix-sept ans, bon sang !
– Accrochez-vous Lazare, ça va secouer ! s’exclama le professeur Adley avec entrain.
Pour s’accrocher, il s’accrochait déjà sacrément ! Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur. Il attendit le choc, les tripes comprimées par la nausée.
Le sable amortit la chute, mais Lazare fut projeté en arrière et atterrit sur les sacs de voyage. Il battit des paupières, hébété. Son crâne bourdonnait, son dos irradiait de douleur, mais il était en vie ! Il se releva, les jambes flageolantes et les mains tremblantes. Le moteur crachotait des fumerolles sombres, mais le professeur Adley ne semblait pas s’en soucier, car elle sauta avec souplesse par-dessus le parapet. Ses bottes s’enfoncèrent dans le sable et elle releva ses lunettes de protection. Une empreinte rouge s’était imprimée sur sa peau, de sorte qu’avec ses grands yeux jaunes, elle ressemblait plus encore à un hibou qu’à l’accoutumée.
– Professeur, comment allons-nous réparer le moteur ? s’inquiéta Lazare sans quitter des yeux la fumée qui s’échappait vers le ciel.
Une odeur âcre le prenait au nez. Des hélices tordues et des écrous étaient éparpillés autour de l’héliplaneur comme des miettes dispersées par le vent.
– Plus tard, Lazare, plus tard, répondit-elle en contemplant l’horizon.
Il s’extirpa maladroitement de l’engin, manquant de s’affaler le nez dans le sable. Avec un sourire satisfait, le professeur Adley fixait résolument un point dans le lointain. Lazare se demandait pourquoi, car du nord au sud, d’est en ouest, le sable s’étendait à perte de vue, comme un océan d’or que le souffle incandescent du désert faisait ondoyer sous un soleil au zénith.
– Nous sommes complètement perdus... murmura-t-il la gorge étranglée.
– Pas du tout ! répliqua le professeur. Nous sommes exactement là où nous devons être.
Elle réajusta ses lunettes et partit d’un pas décidé.
– N’oubliez pas le sac Lazare ! lança-t-elle derrière son épaule.
Après un instant d’hébétude, Lazare remonta dans l’héliplaneur et fouilla dans les effets du professeur, jusqu’à dénicher le vieux sac de cuir râpé qui contenait les fioles. Par miracle, aucune n’était brisée.
– Attendez-moi, professeur ! cria-t-il alors qu’elle s’éloignait à grandes enjambés.
Lazare pataugea dans le sable pour tenter de la rattraper. Ses pieds cuisaient dans ses bottes et ils devaient forcer sur ses cuisses à chaque pas.
– Allons, Lazare, ne traînez pas ! dit-elle en se retournant enfin.
– Professeur, vous êtes sûre que le désert est le meilleur endroit pour trouver un demi-élémentaire d’eau ? Cela ne me semble pas...
– Justement Lazare, réfléchissez !
Il avait beau réfléchir, il ne saisissait toujours pas pourquoi elle l’avait entraîné ici ! Ce qu’il comprenait parfaitement en revanche, c’était qu’il avait fait un très mauvais choix de carrière. Il était de notoriété publique que les assistants du professeur Mary Adley ne résistaient jamais plus de quelques mois. Le denier avait même jeté l’éponge après trois jours. Lazare avait pensé que c’était parce qu’elle était exigeante, irascible, qu’elle surmenait ses apprentis, mais pas parce qu’elle était folle à lier. En dix jours, il avait déjà frôlé la mort trois fois !
Le professeur Adley avançait, entêtée. Lazare courbait la nuque, ne suivant plus que le sillon de ses pas sur les dunes ondulant à l’infini vers le sud. Le soleil tapait sur son crâne comme un marteau sur une enclume. Le murmure du sable se ponctuait des tintements des flacons de verre, dans le sac. La chaleur lui embrouillait l’esprit et il ne parvenait plus à réfléchir. Les miroitements de l’air faisaient scintiller l’horizon. Il essuya son front du revers de sa main. La sueur y perlait à grosses gouttes. La soif lui lacérait la gorge, mais chaque fois qu’il s’arrêtait pour boire, le professeur renforçait son avance. D’ailleurs, le niveau de sa gourde diminuait de manière alarmante. Il marchait, un pas après l’autre, tandis que le vent brûlant soulevait des nuages de sable. L’atmosphère aride lui embrasait la peau.
Voilà bien sa veine, il avait survécu à l’accident de l’héliplaneur uniquement pour mourir desséché dans ce désert ! Cette vieille chouette avait beau affirmer le contraire, ils étaient complètement perdus !
– Lazare ! appela soudain le professeur. J’ai trouvé l’entrée !
Il se traîna jusqu’à elle, puis se laissa tomber à genoux, vidé de ses forces. Le professeur Adley époussetait une vaste stèle gravée de symboles antiques. Lazare ne parvenait à y croire. Était-il en train de perdre la raison ? Une étincelle de ferveur brillait dans les yeux du professeur. Elle n’était peut-être pas folle finalement ; seulement, son instinct de survie ne pesait pas bien lourd face à sa soif de connaissance.
– Mon cher Lazare, aujourd’hui nous allons capturer l’essence d’un demi-élémentaire d’eau ! jubila-t-elle. Ce n’est pas dans vos bureaux poussiéreux de l’académie des sciences que vous pourriez participer à quelque chose d’aussi excitant, n’est-ce pas ?
Ça, c’était certain, songea Lazare.
Akari Mizuki, marie_jda, Ratonmalin, Henrietta_blabla et Yuni Stark aiment ce message
- Henrietta_blabla
- Messages : 23
Date d'inscription : 11/02/2023
Re: Un mauvais choix de carrière
Lun 27 Mar - 16:07
Excellent ! J'ai bien ri avec le demi-élémentaire.
Pour alléger les dialogues je crois que parfois tu peux supprimer les verbes de parole comme ils ne sont que deux on comprend qui parle.
Exemple :
– Allons, Lazare, ne traînez pas ! dit-elle en se retournant enfin.
Pour alléger les dialogues je crois que parfois tu peux supprimer les verbes de parole comme ils ne sont que deux on comprend qui parle.
Exemple :
– Allons, Lazare, ne traînez pas ! dit-elle en se retournant enfin.
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- Azulys
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Date d'inscription : 13/10/2021
Age : 33
Re: Un mauvais choix de carrière
Lun 27 Mar - 18:01
Merci pour ton retour Henrietta !
Oui c'est possible, c'est le genre de trucs que je remarque en général avec une relecture
Oui c'est possible, c'est le genre de trucs que je remarque en général avec une relecture
- marie_jda
- Messages : 161
Date d'inscription : 07/10/2021
Localisation : Chocolatine
Re: Un mauvais choix de carrière
Jeu 30 Mar - 17:36
Ah, le fameux demi-élémentaire d'eau !
Pauvre Lazare, je compatis ^^' Leur caractère à tous les deux est bien rendu, tout comme l'environnement désertique et son impact sur les personnages (enfin surtout sur Lazare, vu que rien n'a l'air de pouvoir avoir de prise sur la professeure )
Il y a juste une phrase qui m'a fait tiquer : "Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur." C'est peut-être juste moi, mais j'ai du mal à visualiser ça. Je crois que c'est le "autour de la structure" qui me gêne ^^'
Bravo pour ton texte !
Pauvre Lazare, je compatis ^^' Leur caractère à tous les deux est bien rendu, tout comme l'environnement désertique et son impact sur les personnages (enfin surtout sur Lazare, vu que rien n'a l'air de pouvoir avoir de prise sur la professeure )
Il y a juste une phrase qui m'a fait tiquer : "Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur." C'est peut-être juste moi, mais j'ai du mal à visualiser ça. Je crois que c'est le "autour de la structure" qui me gêne ^^'
Bravo pour ton texte !
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- Azulys
- Messages : 158
Date d'inscription : 13/10/2021
Age : 33
Re: Un mauvais choix de carrière
Jeu 30 Mar - 20:26
Oui le fameux, fallait bien que je le place un jour et voilà qui est fait
Pour la phrase, non c'est pas toi, j'ai un peu buggé dessus quand je l'ai écrite parce que je ne trouvais pas le mot que je voulais donc j'ai mis ça en me disant que si j'avais le temps j'y reviendrai^^
Merci d'être passée me lire
Pour la phrase, non c'est pas toi, j'ai un peu buggé dessus quand je l'ai écrite parce que je ne trouvais pas le mot que je voulais donc j'ai mis ça en me disant que si j'avais le temps j'y reviendrai^^
Merci d'être passée me lire
- Akari Mizuki
- Messages : 71
Date d'inscription : 07/10/2021
Age : 25
Localisation : Franche-Comté
Re: Un mauvais choix de carrière
Ven 31 Mar - 18:13
Héhé le fameux élémentaire d'eau ! Bravo pour ton texte, je l'ai trouvé excellent ! Ce n'est pas le type d'histoire que j'ai l'habitude de lire, c'est très rafraîchissant ! J'adore la dynamique entre le professeur et Lazare. Ta plume est très fluide, la narration à la 3e personne est bien maîtrisée, et convient parfaitement au texte. En deux mots : J'a-dore ! Il y a juste deux petites critiques que je peux adresser :
1) Je n'ai pas beaucoup perçu le fait qu'ils étaient perdus, c'est dommage
2) Où est la suite bon sang ? Je veux lire un roman entier avec Lazare et le professeur !
Merci beaucoup pour ton texte
1) Je n'ai pas beaucoup perçu le fait qu'ils étaient perdus, c'est dommage
2) Où est la suite bon sang ? Je veux lire un roman entier avec Lazare et le professeur !
Merci beaucoup pour ton texte
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- Azulys
- Messages : 158
Date d'inscription : 13/10/2021
Age : 33
Re: Un mauvais choix de carrière
Ven 31 Mar - 21:17
Merci beaucoup Akari
Pour tout dire, ce n'est pas du tout dans le style de ce que j'écris d'habitude mais j'aime bien profiter des ateliers écritures pour tester des nouveaux styles et me sortir de mon projet Très contente que ça t'ai plu !
Oui c'est vrai que techniquement ils ne sont pas perdu vu que le professeur sait où elle va. J'ai joué sur le fait que Lazare avait l'impression de l'être ^^
Merci à toi d'être passée me lire
Pour tout dire, ce n'est pas du tout dans le style de ce que j'écris d'habitude mais j'aime bien profiter des ateliers écritures pour tester des nouveaux styles et me sortir de mon projet Très contente que ça t'ai plu !
Oui c'est vrai que techniquement ils ne sont pas perdu vu que le professeur sait où elle va. J'ai joué sur le fait que Lazare avait l'impression de l'être ^^
Merci à toi d'être passée me lire
- Ratonmalin
- Messages : 10
Date d'inscription : 29/01/2023
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Un mauvais choix de carrière
Sam 1 Avr - 12:39
J'ai beaucoup aimé ton texte, c'est prenant ! Et ça donne envie de lire la suite.
J'aurais juste une petite remarque, qui n'a rien à voir avec ton style ou ton histoire, concernant la féminisation du titre de ton personnage "le professeur". "La professeure" me semble plus adapté Après c'est probablement anachronique comme préoccupation, par rapport à ton histoire.
J'aurais juste une petite remarque, qui n'a rien à voir avec ton style ou ton histoire, concernant la féminisation du titre de ton personnage "le professeur". "La professeure" me semble plus adapté Après c'est probablement anachronique comme préoccupation, par rapport à ton histoire.
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- Azulys
- Messages : 158
Date d'inscription : 13/10/2021
Age : 33
Re: Un mauvais choix de carrière
Sam 1 Avr - 12:46
Merci pour ton retour ! Contente que tu aies aimé
En fait, je me suis posé la question et je n'étais pas sûre que ça se dise, mais tu as sans doute raison
En fait, je me suis posé la question et je n'étais pas sûre que ça se dise, mais tu as sans doute raison
Re: Un mauvais choix de carrière
Ven 21 Avr - 15:36
Bravo pour ton texte ! Très plaisant à lire, bien rythmé. Tu transmets bien le caractère des deux personnages, bon vocabulaire +++
Les cliquetis s’intensifièrent, la machinerie chuintait comme un patient en phase terminale d’une mauvaise pneumonie, le squelette de l’engin, malmené par la pression, s’ébranlait de toute part. : un peu longue la phrase, la comparaison est camouflée.
Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur. : confus; dans des angles possibles
Merci pour ta participation !
Les cliquetis s’intensifièrent, la machinerie chuintait comme un patient en phase terminale d’une mauvaise pneumonie, le squelette de l’engin, malmené par la pression, s’ébranlait de toute part. : un peu longue la phrase, la comparaison est camouflée.
Son corps se contorsionnait à des angles impossibles autour de la structure de l’héliplaneur. : confus; dans des angles possibles
Merci pour ta participation !
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