La painpauté
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hecate910
hecate910
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Date d'inscription : 26/06/2022
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Atelier combat, Hécate Empty Atelier combat, Hécate

Dim 26 Juin - 16:05
Atelier d’écriture dimanche 26 juin


Depuis quelque temps déjà, les reflets trahissaient Arnold. Leurs diffractions lui volaient son visage et en faisait un ennemi. Comme à son habitude, ce soir-là, il était seul dans le manoir des Perck et surveillait la demeure. Mrs Perck reviendrait bientôt, le premier quart de la nuit était passé à présent, ce qui n’était pas sans soulager Arnold qui jugeait cette partie de la nuit comme la plus effrayante. Arnold était gardien, le gardien à la lampe du manoir hanté aux marges de la ville.
Les rumeurs qu’on entendait sur la maison - et qui, pour la plupart, était relayées par les gamins du quartier- n’avaient pas été un frein pour lui, au début. Enfait, il était presque sûr qu’il s’agissait d’idioties. Si le manoir était lugubre, certes, il n’en restait pas moi parfaitement dénué de surnaturel. Cependant, après quelques nuits passé ici, Arnold n’avait pas manqué de remarquer que son reflet dans les miroirs lui souriaient, que celui dans les flaques poisseuses sur le seuil mal entretenu tentait de lui attraper le pied, ou encore, qu’il se voyait traverser les vitres tandis que lui se tenait immobile. Il avait pris l’habitude de braquer sa lampe torche sur les reflets, fébrile, dès qu’un événement comme celui-ci se produisait.
Ce soir, la première chose dont s’assura Arnold, c’était que sa lampe fonctionnait bien. Or, pour la première fois depuis qu’il avait pris ses fonctions ici, la lampe ne semblait pas disposée à faire sa part. Lorsqu’il appuya sur le bouton pour déclencher le jet de lumière artificielle, elle clignota un moment, avant de s’éteindre complètement pour ne plus se rallumer. L’homme soupira.
Il faisait sombre à présent, et Mrs Perck prenait toujours bien soin de couper l’électricité avant de sortir. Des bougies, pensa t-il, il faut que j’en trouve quelques-unes, elle doit bien avoir ça quelque part…
Arnold savait qu’il n’y avait qu’un endroit où il pourrait trouver une vieillerie pareille, à l’étage, dans le placard dissimulé du couloir. Il était réticent à l’idée de monter, car il savait qu’il devrait passer par la chambre de la vieille femme qui était remplie de mirroirs en tout genre. Il jeta un dernier regard derrière lui pour vérifier que tout se passait comme prévu au séjour, et se résolut à monter le grand escalier de bois.
Les rayons de lunes qui filtraient par hublots de la cage d’escalier étaient alors suffisamment clairs pour lui permettre de s’orienter jusqu’au premier étage, il se laissa guider en empoignant la rambarde. C’était un grand homme, quelques pas lui suffirent pour se retrouver en haut, dans le vaste couloir sombre. Le bruit d’une chouette à l’extérieur pénétrait la demeure et il l’entendait comme si elle avait été posée sur son épaule.
Arnold traversa le corridor d’un pas sûr, sans se laisser démonter, et atteignit enfin le placard du fond. Il remarqua la porte de la chambre de Mrs Perck qui avait été entrouverte. Un courant d’air froid s’en échappait et fit frissonner l’homme. Elle avait dû laisser la fenêtre ouverte. Et s’il s’arrêtait de chercher les bougies, juste quelques instants, pour aller la fermer ? Il hésita un moment. Il n’était pas rassuré à l’idée d’entrer dans la pièce aux miroirs.
Au bout d’un certain temps à disserter intérieurement sur les options dont il disposait, sa fierté l’emporta et il finit par écarter la porte pour se glisser dans la chambre.
Là, il trouva comme prévu la petite pièce rose pâle, baignée d’un halo lunaire que se renvoyait une multitude de petits miroirs ouvragés. Arnold ne put échapper à son propre regard, mais s’en détourna bien vite pour marcher jusqu’à la fenêtre, effectivement grande ouverte. Les rideaux blancs étaient soulevés par le vent, ils se rabattirent promptement quand le gardien ferma la fenêtre. C’est alors qu’il réalisa que, derrière les rideaux mouvants, il n’avait pas vu l’un des miroirs accroché au mur juste à côté de l’encadrement de fenêtre. Il se vit alors, ou plutôt, son regard fût capturé par celui de son double. L’homme qu’il avait en face de lui ne lui ressemblait en rien, et en tout à la fois : un sourire étiré à s’en faire éclater les muscles du visage lui barrait la face et une peau aussi livide que décharnée par endroit faisait penser à un mort. Arnold en eut le souffle coupé, cette vision d’horreur lui arracha un cri effroyable qui fit s’envoler en croassant les quelques augures assis sur l’arbre mort à l’extérieur.
Le double dans le miroir s’en trouva plus hilare encore et entreprit alors, couteau en main, de sortir de sa cage de cristal pour toucher Arnold. Une main désarticulée qui tenait mal l’arme blanche jaillit de la surface du miroir et enfonça le couteau dans l’épaule du gardien qui hurla à nouveau, de douleur cette fois. La nécessité de réagir se fit plus forte que la peur, Arnold s’extirpa, saisit le cadre du miroir et le détacha violemment pour le laisser tomber. La glace se fracassa au sol et le double cria rageusement. La main qui tenait le couteau saignait, mais elle n’avait pas lâché l’arme. Le gardien la vit aussitôt disparaître soudainement et souffla.
Un peu de répis, songea t-il. Il se tint l’épaule en grimaçant, lui aussi saignait, il fallait absolument qu’il sorte d’ici. Soudain, il vit une ombre passer rapidement de miroirs en miroirs. Il tressaillit : le double n’en avait pas fini. Sans lui laisser le temps d’attaquer à nouveau, le gardien sortit de la pièce, ferma la porte en retenant fermement la poignée d’une main. De l’autre, il se mit à chercher en tremblant le jeu de clé qui se trouvait dans la poche de son pantalon. Puis la porte se mit à tressauter, quelqu’un tirait sur la poignée, de l’autre côté…
Arnold parvint enfin à sortir le trousseau de la poche arrière de son jean et chercha la bonne clé sans pouvoir retenir ses tremblements frénétiques. Il balbutiait avec empressement : “Non.. pas celle-là…non…”. La créature de l’autre côté tirait de plus en plus fort et hurlait de façon qu’on l’eût prise pour un démon tout droit sorti des enfers. Il sentait que la porte était sur le point de céder, que sa main ne pourrait pas retenir la poignée plus longtemps…
Le gardien trouva finalement la clé de la chambre, et se pressa de l’enfoncer dans la serrure avant de verrouiller la porte pour de bon, emprisonnant ainsi son double.
Il reprit son souffle, puis, sans perdre de temps, dévala les escaliers sans ménagement. La lampe, se répétait-il, il faut que je la répare et que je me défende avec.
Mais une fois de retour dans le séjour, la lampe avait disparu. Arnold déglutit péniblement. Ce n’est pas grave, je vais juste sortir… Il ne se produira rien…
Le gardien traversa la pièce sans prêter attention à quoique ce soit qui puisse s’apparenter à une surface réfléchissante. Surprenamment, il arriva sans encombre jusqu’à la porte arrière. Il tenta de l’ouvrir… en vain. Rien d’étrange à cela, il avait pris soin de la fermer avant de monter, pour ne laisser personne entrer. Il reprit son jeu de clés, trouva celle qui ouvrait la porte arrière, et tenta d’ouvrir. Rien. Impossible de la déverrouiller, quelque chose bloquait.
Tout cela commençait à lui peser, et son épaule était accablée par la douleur lancinante du coup qu’il avait reçu. Pas le choix, il fallait retrouver la lampe, et venir à bout de cette créature.
Arnold garda son sang froid et se dirigea vers la cuisine. Il voulait prendre un couteau lui aussi, et ainsi rester sur ses gardes. Cependant, s’il y avait bien une pièce dont Mrs Perck prenait soin et qui était lustrée au point de pouvoir se refléter partout, c’était bien la cuisine. Le gardien y entra et repéra directement le plan de travail qui se trouvait au fond et devant lequel s’étendait, soigneusement disposée par ordre de taille, une rangée de couteaux bien affûtés. Arnold marcha lentement, avec attention, sans laisser son regard s’aventurer sur les nombreux ustensiles. Il choisit une lame, la plus fine et la plus grande, et se retourna lentement. Il voulut faire demi tour et manqua de tomber, le sol était encore humide, il venait d’être nettoyer. Le gardien baissa les yeux pour assurer ses pas, et comprit tout de suite son erreur.
Là où finissait le corps d’Arnold, un autre, inversé, commençait. Le double se pencha très vite, de sorte à ressortir de la surface du sol. Il souriait toujours, et sa main entaillée n’avait pas lâché le couteau, un couteau semblable à celui que Arnold avait récupéré à présent. Ce dernier ne permit pas à son double de se relever, il lui assena un violent coup de pied en plein dans la tête, qui était encore juste au même niveau, en espérant qu’il se renfoncerait dans le sol. Mais rien n’y fit, la tête ne fit que cogner le carrelage poli en produisant un bruit sourd simultanément à la plainte terrifiante du double. Tant pis, le gardien courut pour lui échapper, de peut qu’il ne se relève trop vite de cette échauffourée.
Mais c’était sans compter sur le sol trop glissant, le pied d’Arnold glissa et il se rattrapa, par chance, sur l’îlot central. Cependant, le couteau s’échappa de son autre main et vint atterrir plus loin. La créature ne manqua pas l’occasion de se relever pour tenter d’attraper cette arme et d’en priver ainsi son adversaire.
Arnold saisit sa dernière chance de s’en sortir. Il devait y arriver avant lui. Il attrapa une grande poêle en ferraille qui était restée sur l’îlot et la lança sur le double de toutes ses forces. Il se jeta ensuite au sol pour attraper le couteau. Le double, lui, avait été mis en difficulté un instant. Il manqua de recevoir la poêle en pleine tête, mais parvint à l’éviter de justesse. Il tourna la tête, vit le gardien qui se jetait sur son couteau, et s’élança sur lui pour le coincer. Un instant d’égarement seulement suffit à Arnold pour sentir la lame de l’ennemi s’enfoncer dans la chair de son flanc. Il hurla à s’en déchirer les poumons, la douleur était plus vive à chaque seconde. Il savait que l’homme aux miroirs n’en resterait pas là, et que, à un bras de distance à peine, il pouvait encore saisirent son propre couteau.
Le double éleva à nouveau sa lame, prêt à frapper. Il riait de façon inhumaine, baigné dans sa victoire.
Soudain, Arnold qui avait étiré son bras meurtri à se l’en déboiter, parvint à saisir son couteau et le planta en plein dans le cœur de son double qui riait comme un fou. Ce dernier cessa brusquement de rire, seul du sang sortit alors de sa bouche grande ouverte, puis il s’effondra.

Arnold se releva péniblement, épuisé, le couteau encore en main et sa chemise maculée de sang. A travers la fenêtre de la cuisine, il aperçut au loin un gamin qur son vélo, qui s’était arrêter pour l’observer d’un air abasourdi.

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Ombredenuit
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Dim 26 Juin - 21:34
Ton texte était plutôt sympa. Je nai pas était emporté par l'histoire, mais ça c'est mes goûts personnel, ça n'a rien à voir avec ton écriture.

En générale, le texte était bien, la scène de combat est plutôt dynamique, et bien décrite, on comprend chaque mouvements et qui l'exécute. Mais j'ai trouvait les actions un peu évidente et j'ai relever des choses qui me semblais étrange.


1. "car il savait qu’il devrait passer par la chambre de la vieille femme qui était remplie de mirroirs en tout genre"
2. "Au bout d’un certain temps à disserter intérieurement sur les options dont il disposait, sa fierté l’emporta et il finit par écarter la porte pour se glisser dans la chambre."
--> Pourquoi se pose-t-il la question puisqu'il y passe forcemment ?

1."je me défende avec."
--> Il voyait déjà les reflets quand il avait la lumière, donc ça va pas réellement l'aider à se défendre ?

1. "à saisir son couteau et le planta en plein dans le cœur de son double qui riait comme un fou."
--> Je croyais que Arnold était au sol et le double debout au dessus de lui, il ne peut pas l'attendre normalement.

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Dim 26 Juin - 21:51
Hey ! Je ne m'attendais pas du tout à avoir un retour, c'est très gentil à toi d'avoir pris du temps pour ça, merci beaucoup pour tes conseils!

Pour la première remarque, tu as tout à fait raison, c'est une incohérence que je n'ai pas corrigé par manque de temps.
Pour la deuxième, c'est expliqué au début que d'habitude, il parvient à chasser les reflets grâce à la lampe.
Et pour la troisième, j'ai effectivement mal décris la scène : le double s'était alors penché sur sa victime, c'est comme ça qu'il a pu l'atteindre.

Voilà j'espère que c'est plus limpide grâce à ces petits éclaircissements ! Bonne soirée à toi et merci encore.

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hecate910
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Dim 26 Juin - 21:59
Ombredenuit a écrit:Ton texte était plutôt sympa. Je nai pas était emporté par l'histoire, mais ça c'est mes goûts personnel, ça n'a rien à voir avec ton écriture.

En générale, le texte était bien, la scène de combat est plutôt dynamique, et bien décrite, on comprend chaque mouvements et qui l'exécute. Mais j'ai trouvait les actions un peu évidente et j'ai relever des choses qui me semblais étrange.  


1. "car il savait qu’il devrait passer par la chambre de la vieille femme qui était remplie de mirroirs en tout genre"
2. "Au bout d’un certain temps à disserter intérieurement sur les options dont il disposait, sa fierté l’emporta et il finit par écarter la porte pour se glisser dans la chambre."
--> Pourquoi se pose-t-il la question puisqu'il y passe forcemment ?

1."je me défende avec."
--> Il voyait déjà les reflets quand il avait la lumière, donc ça va pas réellement l'aider à se défendre ?

1. "à saisir son couteau et le planta en plein dans le cœur de son double qui riait comme un fou."
--> Je croyais que Arnold était au sol et le double debout au dessus de lui, il ne peut pas l'attendre normalement.

Hey ! Je ne m'attendais pas du tout à avoir un retour, c'est très gentil à toi d'avoir pris du temps pour ça, merci beaucoup pour tes conseils!

Pour la première remarque, tu as tout à fait raison, c'est une incohérence que je n'ai pas corrigé par manque de temps.
Pour la deuxième, c'est expliqué au début que d'habitude, il parvient à chasser les reflets grâce à la lampe.
Et pour la troisième, j'ai effectivement mal décris la scène : le double s'était alors penché sur sa victime, c'est comme ça qu'il a pu l'atteindre.

Voilà j'espère que c'est plus limpide grâce à ces petits éclaircissements ! Bonne soirée à toi et merci encore.
Martatin
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Atelier combat, Hécate Empty Re: Atelier combat, Hécate

Mar 28 Juin - 8:27
J'ai bien aimé ton histoire, très sympa avec le monstre miroir ! J'ai beaucoup aimé l'ambiance installée, très bien décrite au début même si ça a fait un peu commencer la bagarre tard ^^' Mais j'étais bien impliqué dans la tension au début, ça a bien marché ! Après je me suis senti un peu moins impliqué dans la scène de la cuisine, je sais pas si c'est une question de rythme, de vocabulaire choisi ou si j'ai juste été trop sorti en me demandant "... mais qui, QUI serpille sa cuisine à minuit ?" (pardon d'être choqué pour si peu x') ). J'en conclue qu'il va sans doute falloir repasser derrière, d'ailleurs.
En tout cas merci pour ton texte, et GG de l'avoir écrit en 1h30, ça a pas du être évident ^^
Azulys
Azulys
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Date d'inscription : 13/10/2021
Age : 33

Atelier combat, Hécate Empty Re: Atelier combat, Hécate

Dim 3 Juil - 18:52
Coucou ! J'ai beaucoup aimé ton texte, j'ai été emportée par l'ambiance mystérieuse et l'atmosphère inquiétante que tu as su installée 🙂 C'était très réussi !

Après niveau combat il n'y en a pas tant que ça au final donc tu es peut être passé un peu à côté de la consigne ☺

Concernant le style, c'est plutôt bien écrit mais j'ai trouvé que ça manquait un peu de fluidité, que les phrases ne s'enchaînaient pas toujours très bien, mais pour un premier jet ce n'est pas choquant. Surtout que tu as vraiment beaucoup écris !
Bravo à toi pour cette histoire d'horreur très sympathique ! 🙂
Admin
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Messages : 571
Date d'inscription : 03/10/2021
Age : 30
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Atelier combat, Hécate Empty Re: Atelier combat, Hécate

Ven 8 Juil - 15:52
Hello ! Bravo pour ton texte ! J'aime beaucoup l'ambiance, l'originalité, tu installes bien les scènes.

Si le manoir était lugubre, certes, il n’en restait pas moi parfaitement dénué de surnaturel. Cependant, après quelques nuits passé ici, : attention aux mots de liaisons qui alourdissent/donnent l'impression que le texte ne tient pas sans ça.

Cependant, après quelques nuits passé ici, Arnold n’avait pas manqué de remarquer que son reflet dans les miroirs lui souriaient, que celui dans les flaques poisseuses sur le seuil mal entretenu tentait de lui attraper le pied, ou encore, qu’il se voyait traverser les vitres tandis que lui se tenait immobile : attention aux phrases un peu longues, où il se passe plein de choses et où on perd le rythme

de façon qu’on l’eût prise : ça fait trop un peu trop ampoulé

accablée par la douleur lancinante du coup qu’il avait reçu. : on ne ressent pas tellement sa douleur dit ainsi, je pense que tu pourrais nous situer plus proche du personnage et de sa douleur

cogner le carrelage poli en produisant un bruit sourd simultanément à la plainte terrifiante du double : c'est un peu compliqué

Il savait que l’homme aux miroirs n’en resterait pas là, et que, à un bras de distance à peine, il pouvait encore saisirent son propre couteau. : je pense que tu nous fais sortir de la scène à ce moment-là + tu nous donnes l'impression que le combat est lent au lieu d'être une scène où tout est lié à l'instinct et où tout s'enchaîne

Bravo pour ta participation !
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