Nuit, affreuse (atelier d'écriture) 17/10/21
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- OralieRubiss
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Nuit, affreuse (atelier d'écriture) 17/10/21
Dim 17 Oct - 15:23
Je marchai, dans la nuit noire. La nuit était le moment que je détestai le plus dans la journée, la nuit me faisait peur. Non que j’avais peur du noir. J’avais peur de ce que j’allais trouver dedans.
Le froid me glaça les os et le dos me brulais, comme si quelqu’un ou quelque chose m’observais. Je tournai dans l’intersection qui menait au parc.
Les lumières des lampadaires s’éteignirent. Prise de panique je trébuchai, mais me relevai aussitôt. Il devait juste être très tard, rentré à la maison serai plus favorable. Je m’apprêtai à faire demi-tour quand, j’entendis des bruits de pas derrière moi… Je continuai ma route, vers le parc en asseyant d’avoir l’air naturel.
Arriver au parc je regardai derrière moi. Il y avait une forme assez imposante noire, je n’aurais su dire si c’était une femme ou un homme. Mais cette personne avança d’un pas décidé.
Je frissonnai, cette mystérieuse ombre me suivait-elle ou… Non, ou quoi ? Cette personne ne pouvait que me suivre. La peur qui jusqu’à maintenant n’avait fait que m’effleurer, déferla en moi. Une boule se forma dans ma gorge. J’accélérai mon pas. Je recherchai un endroit éclairé là où je pourrai voir le visage de cette ombre.
Pendant une dizaine de minutes je me promenai dans le parc faisant des détours, et en empruntant plusieurs fois le même chemin. Je regardai encore une dernière fois derrière moi, tout en retenant mon souffle. Personne… L’ombre ne me suivait plus. Un poids tomba de mes épaules, et ma respiration repris un cycle normal. Je continuai mon chemin tout droit et m’apprêtai à tourner à vers la sortis. L’ombre, elle…, elle marche dans ma direction. Je voulais faire demi-tour mais la sortie était à quelque centaine de pas… Je n’en revenais pas, que j’allais passer près de l’ombre la fatigue ce faisait ressentir dans mes jambes et mon esprit embrouiller ne savait que faire peut-être est-ce la raison de prendre un risque. Je marchai d’un pas déterminer, vers la sortis et vers l’ombre. Nous nous rapprochions de plus en plus. Les lampadaires qui étant éteint, je ne ressentais que vaguement sa présence et une forme en mouvement. Je retins ma respiration pendant un instant, l’ombre avait frôlé mon épaule…
Soudain une lumière blanche, jaillis du cotés gauche du chemin. Les lampadaires venaient de se rallumer. Mon premier réflexe était de regarder derrière moi pour voir à quoi ressemblais cette ombre. Je me retournais furtivement, et scrutais le chemin devant moi. La stupeur me pris. Rien il n’y avait absolument rien aucune ombre. Aucune personne. Dire que pendant tout ce temps, j’ai erré dans ce parc, pensant que quelqu’un me suivait. Je me retournai. La dernière chose que je vis avant de sombrer était un poignard bien aiguisé, luisant au clair de lune…
Le froid me glaça les os et le dos me brulais, comme si quelqu’un ou quelque chose m’observais. Je tournai dans l’intersection qui menait au parc.
Les lumières des lampadaires s’éteignirent. Prise de panique je trébuchai, mais me relevai aussitôt. Il devait juste être très tard, rentré à la maison serai plus favorable. Je m’apprêtai à faire demi-tour quand, j’entendis des bruits de pas derrière moi… Je continuai ma route, vers le parc en asseyant d’avoir l’air naturel.
Arriver au parc je regardai derrière moi. Il y avait une forme assez imposante noire, je n’aurais su dire si c’était une femme ou un homme. Mais cette personne avança d’un pas décidé.
Je frissonnai, cette mystérieuse ombre me suivait-elle ou… Non, ou quoi ? Cette personne ne pouvait que me suivre. La peur qui jusqu’à maintenant n’avait fait que m’effleurer, déferla en moi. Une boule se forma dans ma gorge. J’accélérai mon pas. Je recherchai un endroit éclairé là où je pourrai voir le visage de cette ombre.
Pendant une dizaine de minutes je me promenai dans le parc faisant des détours, et en empruntant plusieurs fois le même chemin. Je regardai encore une dernière fois derrière moi, tout en retenant mon souffle. Personne… L’ombre ne me suivait plus. Un poids tomba de mes épaules, et ma respiration repris un cycle normal. Je continuai mon chemin tout droit et m’apprêtai à tourner à vers la sortis. L’ombre, elle…, elle marche dans ma direction. Je voulais faire demi-tour mais la sortie était à quelque centaine de pas… Je n’en revenais pas, que j’allais passer près de l’ombre la fatigue ce faisait ressentir dans mes jambes et mon esprit embrouiller ne savait que faire peut-être est-ce la raison de prendre un risque. Je marchai d’un pas déterminer, vers la sortis et vers l’ombre. Nous nous rapprochions de plus en plus. Les lampadaires qui étant éteint, je ne ressentais que vaguement sa présence et une forme en mouvement. Je retins ma respiration pendant un instant, l’ombre avait frôlé mon épaule…
Soudain une lumière blanche, jaillis du cotés gauche du chemin. Les lampadaires venaient de se rallumer. Mon premier réflexe était de regarder derrière moi pour voir à quoi ressemblais cette ombre. Je me retournais furtivement, et scrutais le chemin devant moi. La stupeur me pris. Rien il n’y avait absolument rien aucune ombre. Aucune personne. Dire que pendant tout ce temps, j’ai erré dans ce parc, pensant que quelqu’un me suivait. Je me retournai. La dernière chose que je vis avant de sombrer était un poignard bien aiguisé, luisant au clair de lune…
Martatin, Celui-ci et Ibealia aiment ce message
Re: Nuit, affreuse (atelier d'écriture) 17/10/21
Dim 17 Oct - 21:52
Je trouve la fin très cool. C'était très agréable à lire même si avant le dernier paragraphe, la ponctuation a sauté, compliquant la compréhension de ce que tu voulais dire.
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- Celui-ci
- Messages : 62
Date d'inscription : 07/10/2021
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Re: Nuit, affreuse (atelier d'écriture) 17/10/21
Dim 17 Oct - 22:01
J'aime bien ^^, notamment la chute. Si je pouvais te donner un petit conseil, ce serait de rajouter des virgules à quelques endroits.
"Arriver au parc je regardai derrière moi." -> ici il faudrait ajouter une virgule entre "parc" et "je", et arriver est au participe passé ici donc arrivé/arrivée.
"Je n’en revenais pas, que j’allais passer près de l’ombre la fatigue ce faisait ressentir dans mes jambes et mon esprit embrouiller ne savait que faire peut-être est-ce la raison de prendre un risque." -> Cette phrase est longue mais ne comporte qu'une virgule, il faudrait aussi enlever le "que" après la virgule, il me semble qu'on ne met pas de "que/qui" après une virgule, enfin des fois si je pense mais là ça fait bizarre. Soit il faut supprimer le "que", soit enlever la virgule, mais moi je ferai une autre proposition pour te guider (proposition qui n'est pas forcément celle à retenir, c'est juste pour te donner une idée) :
Je n'en revenais pas, j'allais passer près de l'ombre. La fatigue se faisait ressentir dans mes jambes, et mon esprit embrouillé ne savait que faire. Peut-être le moment de prendre un risque.
J'ai modifié certaines tournures pour rendre le tout plus clair ! Qu'en penses-tu ?
Il reste d'autres phrases où il faudrait rajouter des virgules, tu peux essayer de réécrire celles que tu penses où il manquent de virgules, ou que la construction serait à revoir. ^^' j'espère t'avoir donné de bons conseils
"Arriver au parc je regardai derrière moi." -> ici il faudrait ajouter une virgule entre "parc" et "je", et arriver est au participe passé ici donc arrivé/arrivée.
"Je n’en revenais pas, que j’allais passer près de l’ombre la fatigue ce faisait ressentir dans mes jambes et mon esprit embrouiller ne savait que faire peut-être est-ce la raison de prendre un risque." -> Cette phrase est longue mais ne comporte qu'une virgule, il faudrait aussi enlever le "que" après la virgule, il me semble qu'on ne met pas de "que/qui" après une virgule, enfin des fois si je pense mais là ça fait bizarre. Soit il faut supprimer le "que", soit enlever la virgule, mais moi je ferai une autre proposition pour te guider (proposition qui n'est pas forcément celle à retenir, c'est juste pour te donner une idée) :
Je n'en revenais pas, j'allais passer près de l'ombre. La fatigue se faisait ressentir dans mes jambes, et mon esprit embrouillé ne savait que faire. Peut-être le moment de prendre un risque.
J'ai modifié certaines tournures pour rendre le tout plus clair ! Qu'en penses-tu ?
Il reste d'autres phrases où il faudrait rajouter des virgules, tu peux essayer de réécrire celles que tu penses où il manquent de virgules, ou que la construction serait à revoir. ^^' j'espère t'avoir donné de bons conseils
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