- eXtra_II
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Date d'inscription : 16/05/2024
les secrets du pharaon _ eXtra_II (pas fini, première participation)
Jeu 16 Mai - 22:19
Charlie hésita un instant, partagé entre son envie, égoïste il le savait, de faire LA découverte qui inscrirait son nom dans l’histoire et sa nature de scientifique qui faisait de chaque détaille une découverte. Il prit une grande inspiration puis s’assit sur une lourde pierre pour s’atteler au déchiffrage des premiers hiéroglyphes rencontrés, après tout, ces secrets étaient enfouis ici depuis des millénaires, ils pouvaient bien attendre quelques minutes de plus.
Après quelques minutes il se rendit compte qu’il avait du mal à se concentrer, peut être l’excitation de la découverte ? Non, il dut rendre à l’évidence, il était intimidé par le boyau sombre qui s’enfonçait dans la pierre face à lui. Quand’il regardait à l’intérieur les souvenirs des avertissements macabres des habitants lui revinrent en mémoire, ainsi que certaines scènes de “la momie” de Stephen Sommers. Il secoua la tête comme pour chasser ses pensées parasites, “chaque chose en son temps se dit-il, d’abord ces hiéroglyphes!”
Un frisson parcouru l’échine de Charlie quand il prit conscience de la nature du texte qu’il avait sous les yeux. “Les tourments de mille morts” se répéta-t-il a voix basse en se tenant face au tunnel, l’obscurité semblait l’attirer et l’espace d’un instant, il songea à faire demi-tour, mais il se reprit rapidement, après tout, il s’appelait bien Delsol ce qui voulait dire “du soleil” en espagnol, il apporterait donc sa propre lumière partout où il irait. Et il fait ses premiers pas dans l’obscurité.
À mesure qu’il avançait et que rien d’inquiétant ne se passait, il reprenait confiance en lui. Au moment où il se retrouva face à sa première et inévitable intersection, il ne mit pas longtemps à faire le lien entre les hiéroglyphes en formes de vaguelettes qui signifiait l’eau et accessoirement la lettre N et l’avertissement lu quelques minutes auparavant. “Trop facile !” se dit-il en si d'irrigant vers la voie de droite. Voir peut être un peu trop facile, dit la voix dans sa tete au moment de s’enfoncer plus profondément dans le tombeau.
Charlie marchait de plus en plus lentement tant la pente devenait raide “garde les pieds face a la pente” se rpétait-il comme un mantra jusqu'à ce que l’inévitable se produise, son pied droit se déroba sous son poids. Dans un mouvement de réflexe il chercha à se rattraper à une rambarde fictive, mais il n’était plus dans les escaliers de son université a courir apres les notes, il etait bel et bien dans un véritable tombeau entrain de courir après la fortune. Il glissa le long du couloir sentant le sol rugueux lacérer ses vêtements, la chute lui parrut interminable et au moment ou il perdit toute espoir de survie la pente se radoucit et il ralentit jusqu'à s’arrêter complètement. Il prit un instant pour appréhender sa situation. Son dos lui faisait atrocement souffrir et il se força à tousser pour faire sorire la terre qu’il avait avalé au passage. “quand je pense que certaines personne pensent que les égyptiens avait découvert l’électricité, ils seraient déçut d’apprendre qu’ils n’avaient même pas inventé la rambarde” ironisa-t-il.
Ses pensées sarcastiques s’estompèrent bien vite au moment où il entendit des bruits de pas résonner au loin, son sang se glaça et il balaya frénétiquement du regard les lieux qui l’entourait, il avait atterri dans une salle à colonnade, sans réfléchir il se réfugia contre la colonne la plus proche dans l’espoir de ne pas être vu. Mais vu de qui, ou de quoi ?
Charlie tentait tant bien que mal de calmer sa respiration, dans un réflexe stupide, il porta la main à sa ceinture comme s'il allait y trouver un revolver étincelant dans un étui en cuir, mais il n’était pas Brendan Fraser et les momies n’existaient PAS ! Enfin si, elles existaient bel et bien, mais celles qu’il connaissait avait le bon ton de rester là où on les avait mises il y a bien longtemps. Tandis qu’il parvenait à se calmer, il tenta de remémorer n’importe quoi qui pourrait l’aider à se sortir de cette inquiétante situation.
L’écho n’en finissait pas de se répercuter. Charlie regarda son téléphone avec lassitude, tout espoir l’ayant abandonné. N’importe qui présent dans ce tombeau avait entendu le son stridant que son téléphone avait émis pour annoncer la mort prochaine de la batterie “et sans doute de la mienne” ne pu il s’empêcher d’ajouter. Il entendis les pas se rapprocher de sa cachette, et, résigné il sorti de son abris de fortune pour faire face au danger.
La silhouette menaçante de Maurice se dessina face a lui et sa peur initiale fu remplacer par un immense soulagement, qui fut cependant de courte durée quand le professeur prit la parole: “espèces de petit connard!” vociféra-t-il j’aurai préféré une momie se dit Charlie l’espace d’un instant
Après quelques minutes il se rendit compte qu’il avait du mal à se concentrer, peut être l’excitation de la découverte ? Non, il dut rendre à l’évidence, il était intimidé par le boyau sombre qui s’enfonçait dans la pierre face à lui. Quand’il regardait à l’intérieur les souvenirs des avertissements macabres des habitants lui revinrent en mémoire, ainsi que certaines scènes de “la momie” de Stephen Sommers. Il secoua la tête comme pour chasser ses pensées parasites, “chaque chose en son temps se dit-il, d’abord ces hiéroglyphes!”
Un frisson parcouru l’échine de Charlie quand il prit conscience de la nature du texte qu’il avait sous les yeux. “Les tourments de mille morts” se répéta-t-il a voix basse en se tenant face au tunnel, l’obscurité semblait l’attirer et l’espace d’un instant, il songea à faire demi-tour, mais il se reprit rapidement, après tout, il s’appelait bien Delsol ce qui voulait dire “du soleil” en espagnol, il apporterait donc sa propre lumière partout où il irait. Et il fait ses premiers pas dans l’obscurité.
À mesure qu’il avançait et que rien d’inquiétant ne se passait, il reprenait confiance en lui. Au moment où il se retrouva face à sa première et inévitable intersection, il ne mit pas longtemps à faire le lien entre les hiéroglyphes en formes de vaguelettes qui signifiait l’eau et accessoirement la lettre N et l’avertissement lu quelques minutes auparavant. “Trop facile !” se dit-il en si d'irrigant vers la voie de droite. Voir peut être un peu trop facile, dit la voix dans sa tete au moment de s’enfoncer plus profondément dans le tombeau.
Charlie marchait de plus en plus lentement tant la pente devenait raide “garde les pieds face a la pente” se rpétait-il comme un mantra jusqu'à ce que l’inévitable se produise, son pied droit se déroba sous son poids. Dans un mouvement de réflexe il chercha à se rattraper à une rambarde fictive, mais il n’était plus dans les escaliers de son université a courir apres les notes, il etait bel et bien dans un véritable tombeau entrain de courir après la fortune. Il glissa le long du couloir sentant le sol rugueux lacérer ses vêtements, la chute lui parrut interminable et au moment ou il perdit toute espoir de survie la pente se radoucit et il ralentit jusqu'à s’arrêter complètement. Il prit un instant pour appréhender sa situation. Son dos lui faisait atrocement souffrir et il se força à tousser pour faire sorire la terre qu’il avait avalé au passage. “quand je pense que certaines personne pensent que les égyptiens avait découvert l’électricité, ils seraient déçut d’apprendre qu’ils n’avaient même pas inventé la rambarde” ironisa-t-il.
Ses pensées sarcastiques s’estompèrent bien vite au moment où il entendit des bruits de pas résonner au loin, son sang se glaça et il balaya frénétiquement du regard les lieux qui l’entourait, il avait atterri dans une salle à colonnade, sans réfléchir il se réfugia contre la colonne la plus proche dans l’espoir de ne pas être vu. Mais vu de qui, ou de quoi ?
Charlie tentait tant bien que mal de calmer sa respiration, dans un réflexe stupide, il porta la main à sa ceinture comme s'il allait y trouver un revolver étincelant dans un étui en cuir, mais il n’était pas Brendan Fraser et les momies n’existaient PAS ! Enfin si, elles existaient bel et bien, mais celles qu’il connaissait avait le bon ton de rester là où on les avait mises il y a bien longtemps. Tandis qu’il parvenait à se calmer, il tenta de remémorer n’importe quoi qui pourrait l’aider à se sortir de cette inquiétante situation.
L’écho n’en finissait pas de se répercuter. Charlie regarda son téléphone avec lassitude, tout espoir l’ayant abandonné. N’importe qui présent dans ce tombeau avait entendu le son stridant que son téléphone avait émis pour annoncer la mort prochaine de la batterie “et sans doute de la mienne” ne pu il s’empêcher d’ajouter. Il entendis les pas se rapprocher de sa cachette, et, résigné il sorti de son abris de fortune pour faire face au danger.
La silhouette menaçante de Maurice se dessina face a lui et sa peur initiale fu remplacer par un immense soulagement, qui fut cependant de courte durée quand le professeur prit la parole: “espèces de petit connard!” vociféra-t-il j’aurai préféré une momie se dit Charlie l’espace d’un instant
Re: les secrets du pharaon _ eXtra_II (pas fini, première participation)
Sam 1 Juin - 16:13
Bravo pour ton texte ! Tu as du bon vocabulaire et de bonnes idées ! Tu rajoutes de bons détails au fil de la narration et je pense qu'avec un peu retravail, ton texte serait top !
Je pense que les deux phrases longues au début sont à rythmer davantage. Là, dès le début, ça fait assez lourd. Et on retrouve d'autres phrases méga longues par la suite et dont la structure perd en force au fur et à mesure : “Les tourments de mille morts” se répéta-t-il a voix basse en se tenant face au tunnel, l’obscurité semblait l’attirer et l’espace d’un instant, il songea à faire demi-tour, mais il se reprit rapidement, après tout, il s’appelait bien Delsol ce qui voulait dire “du soleil” en espagnol, il apporterait donc sa propre lumière partout où il irait.
Attention au rythme de tes phrases donc. Si ta structure n'est pas claire, ce que tu diras n'aura aucune force.
Merci pour ta participation
Je pense que les deux phrases longues au début sont à rythmer davantage. Là, dès le début, ça fait assez lourd. Et on retrouve d'autres phrases méga longues par la suite et dont la structure perd en force au fur et à mesure : “Les tourments de mille morts” se répéta-t-il a voix basse en se tenant face au tunnel, l’obscurité semblait l’attirer et l’espace d’un instant, il songea à faire demi-tour, mais il se reprit rapidement, après tout, il s’appelait bien Delsol ce qui voulait dire “du soleil” en espagnol, il apporterait donc sa propre lumière partout où il irait.
Attention au rythme de tes phrases donc. Si ta structure n'est pas claire, ce que tu diras n'aura aucune force.
Merci pour ta participation
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