- Daikitumichi
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Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Dim 17 Oct - 16:20
Vanille ouvrit avec fracas la porte de l'entreprise, marmonnant des paroles incompréhensibles. Elle était énervée et voulait que tout le monde le sache, mais pas trop quand même. Elle aurait dû s'en douter, quand Grégory, son patron jeune et sexy, était venu la voir avec son sourire à tomber. En réalité, elle s'en doutait. Mais qu'étaient quelles heures supplémentaires non-déclarées, si ça pouvait faire plaisir à cette figure d'ange ? Evidemment, maintenant, Vanille regrettait. Elle se serait bien passée de ces dossiers épouvantables dont elle n'avait compris que la moitié sur les cinq cents pages.
Et s'il n'y avait que ça ! Dix étages qu'elle avait dû descendre à pied, dix ! Tout ça parce que l’ascenseur était en panne depuis plus d'une semaine et personne n'était venu le réparer... Les journées de la jeune femme n'étaient-elles pas déjà assez compliquées comme ça ?
Et là, le choc. La nuit noire. La jeune femme avait été tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne s'en était même pas rendue compte. Elle jeta un œil à sa montre. Vingt-trois heures. Elle poussa un soupir tellement long qu'elle aurait pu concourir à un championnat d'apnée. Plus de transports à cette heure-ci. C'était bien sa veine...
Heureusement, l'éclairage était présent partout en ville. Malheureusement, les rues étaient désertes, et autre détail qui avait son importance : Vanille n'habitait pas dans le centre-ville. Le bus ne la déposerait pas gentiment à deux pas de chez elle, aussi devrait-elle traverser... Non, non, elle ne voulait pas y penser.
Vanille se mit en marche, le pas pressé. Hors de question qu'elle s'attarde seule au beau milieu de la nuit. Le bruit de ses escarpins cirés de secrétaire résonnait sur le goudron. Tac tac, tac tac... De plus en plus rapide. Tac tac, tac tac... Les battements de son cœur résonnaient dans ses tempes, et s'accordèrent au rythme de ses pas. Tac tac, boum boum, tac tac, boum boum... La cadence était folle mais Vanille ne voulait la ralentir pour rien au monde. Surtout que l'odeur des poubelles fraîchement déposées devant les habitations et les différentes enseignes ne cessait de lui assaillir le nez. Pour une fois, elle s'estimait chanceuse de ne pas habiter ici. Enfin, chanceuse, c'était vite dit... Déjà, elle s'appelait Vanille. Un parfum de glace. Ça partait mal. Jamais elle ne pardonnerait sa mère pour cet affront, surtout que sa sœur, elle, la grande fierté familiale, portait un prénom tout à fait ordinaire : Léa. Léa et Vanille. On avait aucun doute sur qui était la préférée. Puis quand on avait payé une onéreuse école de photographie à Léa, Vanille, elle, avait dû travailler dès le bac en poche, car fallait qu'elle se rende utile pour une fois, et puis, de toute façon, qu'est-ce qu'elle savait faire ?
Alors la jeune femme avait enchaîné les petits boulots, avant de dégoter un travail de secrétaire dans cette entreprise. Elle avait enfin une stabilité relative, exploitée et mal payée...
Vanille marmonnait encore sans s'en rendre compte. Elle était si absorbée qu'elle faillit ne pas voir la barrière en bois qui se dressait devant elle. Ah, elle était finalement arrivée à cet endroit. Elle n'avait cessé d'accélérer le pas depuis son départ de l'entreprise, mais tout à coup, elle était paralysée. Pourtant, il fallait qu'elle y aille. Elle prit une grande inspiration, et ouvrit prudemment la barrière. Devant elle s'étendait le parc qui séparait son lieu de travail de là où elle habitait. Le lieu était mal famé, mais surtout, les lumières y étaient totalement absentes. Ce parc était le cauchemar sur terre des jeunes femmes seules en pleine nuit. Ce qui, comme par hasard, correspondait totalement à la description de Vanille.
L'idée de passer la nuit ici et d'attendre sagement le lendemain matin pour retourner travailler lui avait frôlé l'esprit. Mais il faisait assez frais, et puis, personne n'avait envie d'un zombie malodorant au boulot. Option rejetée. Du coup ne restait que celle-ci.
Elle posa prudemment un pied sur l'herbe fraîche. Y aller prudemment ou foncer ? Que faire ? Vanille inspira une nouvelle fois et choisit de foncer. Oui, elle choisit de foncer. Sauf que ses pas ne bougèrent pas d'un millimètre. Allez, il fallait y aller maintenant. A la une, à la deux... à la trois !
Vanille se mit à courir à travers le parc, essayant de se guider grâce aux faibles reflets procurés par le croissant de lune. Le bitume ayant laissé place à l'herbe, elle ne sentait plus que son cœur, qui battait à tout rompre. BOUM BOUM BOUM, BOUM BOUM BOUM, BOUM BOUM BOUM.
Soudain, elle se tordit la cheville et s'étala de tout son long dans l'herbe humide et boueuse. Mais quelle idée de courir en escarpins ! C'est exactement pour ça que sa mère ne lui avait jamais fait confiance. Elle ne savait jamais prendre les bonnes décisions ! Elle se redressa tant bien que mal, recrachant terre et brins d'herbe, ses longs cheveux blonds dans la figure. Lorsque Vanille retira les mèches collées à son visage, elle découvrit avec dégoût son chemisier et sa jupe recouverts de tâches brunâtres et verdâtres, et le contenu de son sac à main éparpillé sur le sol. Le concours d'apnée recommença aussitôt.
La jeune femme était en train de rassembler ses affaires, lorsqu'elle s'arrêta net. Elle était certaine d'avoir entendu un bruissement de feuilles ! Vite, vite, vite, elle prit ses affaires à la volée, les fourra n'importe comment dans son sac et se redressa, ses escarpins à la main. Elle allait repartir à toute allure, mais devant elle, à quelques mètres à peine, se dressait une silhouette. Vanille crut faire un arrêt cardiaque. Elle aurait très bien pu, elle allait mourir de toute façon. Mais elle ne pouvait pas mourir maintenant, c'était injuste ! Elle n'avait encore rien fait de sa vie, elle n'avait pas encore vu les Red Hot Chili Peppers en concert ! Et surtout, elle n'avait jamais eu de petit ami...
- Monsieur le meurtrier, balbutia-t-elle, déglutissant avec difficulté, avant de me tuer, est-ce que vous pourriez au moins m'embrasser ?
Mais quelle idiote ! Elle avait pensé à voix haute, et pas la meilleure des pensées. Vanille n'était pas croyante, mais elle tint à faire un signe de croix, puis ferma les yeux. Adieu, monde cruel...
- Que... Quoi, vous êtes sérieuse, Mademoiselle Bourbon ?
Vanille rouvrit les paupières, hébétée. Comment ce truand connaissait-il son nom ?
- Euuuuuh... lâcha-t-elle, hésitante, on se connaît ?
La silhouette sombre se rapprocha, jusqu'à faire face à la jeune femme. Vanille scruta ce visage totalement quelconque : cheveux courts gras, paupières tombantes sur un regard bovin, acné persistante. Le tout surplombant un corps chétif et avachi. La jeune femme avait déjà vu cet individu, mais où ça ?
- Vous ne me reconnaissez pas ? demanda le jeune homme, comme s'il avait deviné ses pensées. C'est moi, Marcello !
Marcello... Marcello... « Marcello, arrête d'être dans le passage, Marcello, va chercher le balai... » Mais oui ! Marcello, l'homme d'entretien totalement invisible !
- Ah bien sûr, Marcello... Qu'est-ce que vous faites ici ?
- Moi ? Je vous suis, bien sûr, comme tous les soirs.
Vanille devint si livide qu'elle n'avait jamais aussi bien porté son prénom.
- Je ne suis pas sûre d'avoir bien entendu... Qu'avez-vous dit ?
- Eh bien, je vous suis. Pour vous surveiller, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
- Mais, contesta-t-elle, les lèvres tremblotantes, que pourrait-il bien m'arriver ?
- Un fou pourrait vous agresser bien sûr... Une jolie jeune femme comme vous, vous êtes une cible facile, je suis là pour vous protéger.
A ce moment-là, Vanille se demandait si Marcello ne tenait pas davantage de l'agresseur fou que du défenseur de la veuve et de l'orphelin.
- Puisqu'on est là, seuls, autant en profiter...
Marcello farfouilla dans la poche de son bleu de travail, et en sortit un écrin en velours. Oh non, pas ça...
- Mademoiselle Vanille Bourbon, je vous aime et je veux vous épouser.
- Apprenons à nous connaître, d'abord, vous ne pensez pas ?
- Hum... Très bien. Je vous propose de mettre en application votre proposition précédente.
Marcello se rapprocha brusquement de la poissarde Vanille, et seul le croissant de lune pouvait témoigner de la suite.
Et s'il n'y avait que ça ! Dix étages qu'elle avait dû descendre à pied, dix ! Tout ça parce que l’ascenseur était en panne depuis plus d'une semaine et personne n'était venu le réparer... Les journées de la jeune femme n'étaient-elles pas déjà assez compliquées comme ça ?
Et là, le choc. La nuit noire. La jeune femme avait été tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne s'en était même pas rendue compte. Elle jeta un œil à sa montre. Vingt-trois heures. Elle poussa un soupir tellement long qu'elle aurait pu concourir à un championnat d'apnée. Plus de transports à cette heure-ci. C'était bien sa veine...
Heureusement, l'éclairage était présent partout en ville. Malheureusement, les rues étaient désertes, et autre détail qui avait son importance : Vanille n'habitait pas dans le centre-ville. Le bus ne la déposerait pas gentiment à deux pas de chez elle, aussi devrait-elle traverser... Non, non, elle ne voulait pas y penser.
Vanille se mit en marche, le pas pressé. Hors de question qu'elle s'attarde seule au beau milieu de la nuit. Le bruit de ses escarpins cirés de secrétaire résonnait sur le goudron. Tac tac, tac tac... De plus en plus rapide. Tac tac, tac tac... Les battements de son cœur résonnaient dans ses tempes, et s'accordèrent au rythme de ses pas. Tac tac, boum boum, tac tac, boum boum... La cadence était folle mais Vanille ne voulait la ralentir pour rien au monde. Surtout que l'odeur des poubelles fraîchement déposées devant les habitations et les différentes enseignes ne cessait de lui assaillir le nez. Pour une fois, elle s'estimait chanceuse de ne pas habiter ici. Enfin, chanceuse, c'était vite dit... Déjà, elle s'appelait Vanille. Un parfum de glace. Ça partait mal. Jamais elle ne pardonnerait sa mère pour cet affront, surtout que sa sœur, elle, la grande fierté familiale, portait un prénom tout à fait ordinaire : Léa. Léa et Vanille. On avait aucun doute sur qui était la préférée. Puis quand on avait payé une onéreuse école de photographie à Léa, Vanille, elle, avait dû travailler dès le bac en poche, car fallait qu'elle se rende utile pour une fois, et puis, de toute façon, qu'est-ce qu'elle savait faire ?
Alors la jeune femme avait enchaîné les petits boulots, avant de dégoter un travail de secrétaire dans cette entreprise. Elle avait enfin une stabilité relative, exploitée et mal payée...
Vanille marmonnait encore sans s'en rendre compte. Elle était si absorbée qu'elle faillit ne pas voir la barrière en bois qui se dressait devant elle. Ah, elle était finalement arrivée à cet endroit. Elle n'avait cessé d'accélérer le pas depuis son départ de l'entreprise, mais tout à coup, elle était paralysée. Pourtant, il fallait qu'elle y aille. Elle prit une grande inspiration, et ouvrit prudemment la barrière. Devant elle s'étendait le parc qui séparait son lieu de travail de là où elle habitait. Le lieu était mal famé, mais surtout, les lumières y étaient totalement absentes. Ce parc était le cauchemar sur terre des jeunes femmes seules en pleine nuit. Ce qui, comme par hasard, correspondait totalement à la description de Vanille.
L'idée de passer la nuit ici et d'attendre sagement le lendemain matin pour retourner travailler lui avait frôlé l'esprit. Mais il faisait assez frais, et puis, personne n'avait envie d'un zombie malodorant au boulot. Option rejetée. Du coup ne restait que celle-ci.
Elle posa prudemment un pied sur l'herbe fraîche. Y aller prudemment ou foncer ? Que faire ? Vanille inspira une nouvelle fois et choisit de foncer. Oui, elle choisit de foncer. Sauf que ses pas ne bougèrent pas d'un millimètre. Allez, il fallait y aller maintenant. A la une, à la deux... à la trois !
Vanille se mit à courir à travers le parc, essayant de se guider grâce aux faibles reflets procurés par le croissant de lune. Le bitume ayant laissé place à l'herbe, elle ne sentait plus que son cœur, qui battait à tout rompre. BOUM BOUM BOUM, BOUM BOUM BOUM, BOUM BOUM BOUM.
Soudain, elle se tordit la cheville et s'étala de tout son long dans l'herbe humide et boueuse. Mais quelle idée de courir en escarpins ! C'est exactement pour ça que sa mère ne lui avait jamais fait confiance. Elle ne savait jamais prendre les bonnes décisions ! Elle se redressa tant bien que mal, recrachant terre et brins d'herbe, ses longs cheveux blonds dans la figure. Lorsque Vanille retira les mèches collées à son visage, elle découvrit avec dégoût son chemisier et sa jupe recouverts de tâches brunâtres et verdâtres, et le contenu de son sac à main éparpillé sur le sol. Le concours d'apnée recommença aussitôt.
La jeune femme était en train de rassembler ses affaires, lorsqu'elle s'arrêta net. Elle était certaine d'avoir entendu un bruissement de feuilles ! Vite, vite, vite, elle prit ses affaires à la volée, les fourra n'importe comment dans son sac et se redressa, ses escarpins à la main. Elle allait repartir à toute allure, mais devant elle, à quelques mètres à peine, se dressait une silhouette. Vanille crut faire un arrêt cardiaque. Elle aurait très bien pu, elle allait mourir de toute façon. Mais elle ne pouvait pas mourir maintenant, c'était injuste ! Elle n'avait encore rien fait de sa vie, elle n'avait pas encore vu les Red Hot Chili Peppers en concert ! Et surtout, elle n'avait jamais eu de petit ami...
- Monsieur le meurtrier, balbutia-t-elle, déglutissant avec difficulté, avant de me tuer, est-ce que vous pourriez au moins m'embrasser ?
Mais quelle idiote ! Elle avait pensé à voix haute, et pas la meilleure des pensées. Vanille n'était pas croyante, mais elle tint à faire un signe de croix, puis ferma les yeux. Adieu, monde cruel...
- Que... Quoi, vous êtes sérieuse, Mademoiselle Bourbon ?
Vanille rouvrit les paupières, hébétée. Comment ce truand connaissait-il son nom ?
- Euuuuuh... lâcha-t-elle, hésitante, on se connaît ?
La silhouette sombre se rapprocha, jusqu'à faire face à la jeune femme. Vanille scruta ce visage totalement quelconque : cheveux courts gras, paupières tombantes sur un regard bovin, acné persistante. Le tout surplombant un corps chétif et avachi. La jeune femme avait déjà vu cet individu, mais où ça ?
- Vous ne me reconnaissez pas ? demanda le jeune homme, comme s'il avait deviné ses pensées. C'est moi, Marcello !
Marcello... Marcello... « Marcello, arrête d'être dans le passage, Marcello, va chercher le balai... » Mais oui ! Marcello, l'homme d'entretien totalement invisible !
- Ah bien sûr, Marcello... Qu'est-ce que vous faites ici ?
- Moi ? Je vous suis, bien sûr, comme tous les soirs.
Vanille devint si livide qu'elle n'avait jamais aussi bien porté son prénom.
- Je ne suis pas sûre d'avoir bien entendu... Qu'avez-vous dit ?
- Eh bien, je vous suis. Pour vous surveiller, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
- Mais, contesta-t-elle, les lèvres tremblotantes, que pourrait-il bien m'arriver ?
- Un fou pourrait vous agresser bien sûr... Une jolie jeune femme comme vous, vous êtes une cible facile, je suis là pour vous protéger.
A ce moment-là, Vanille se demandait si Marcello ne tenait pas davantage de l'agresseur fou que du défenseur de la veuve et de l'orphelin.
- Puisqu'on est là, seuls, autant en profiter...
Marcello farfouilla dans la poche de son bleu de travail, et en sortit un écrin en velours. Oh non, pas ça...
- Mademoiselle Vanille Bourbon, je vous aime et je veux vous épouser.
- Apprenons à nous connaître, d'abord, vous ne pensez pas ?
- Hum... Très bien. Je vous propose de mettre en application votre proposition précédente.
Marcello se rapprocha brusquement de la poissarde Vanille, et seul le croissant de lune pouvait témoigner de la suite.
Emma Jynn, CoolRaoul07, Benlesagefou et nompropre aiment ce message
- CoolRaoul07
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Mar 19 Oct - 20:46
Coucou Daikitumichi,
Je me permets de mettre un commentaire très succin à ton texte.
En dehors du fait que 3ème ligne tu notes quelle au lieu de quelque je pense, en dehors de ça chapeau bas.
Si tu as écrit tout ça en 45min-1h les bras m'en tombe!
Vraiment l'ambiance est hyper bien posée, j'ai été aspiré dans le texte jusqu'au bout.
"L'élément perturbateur" ou le climax, je sais pas trop comment dire est bien amené.
Il y a l'effet de surprise et la chute est top!
Un grand Bravo, rien d'autre à ajouter.
Il faudra faire un effort au second atelier que ce soit moins bien afin de t'apporter des critiques
Bonne soirée
Je me permets de mettre un commentaire très succin à ton texte.
En dehors du fait que 3ème ligne tu notes quelle au lieu de quelque je pense, en dehors de ça chapeau bas.
Si tu as écrit tout ça en 45min-1h les bras m'en tombe!
Vraiment l'ambiance est hyper bien posée, j'ai été aspiré dans le texte jusqu'au bout.
"L'élément perturbateur" ou le climax, je sais pas trop comment dire est bien amené.
Il y a l'effet de surprise et la chute est top!
Un grand Bravo, rien d'autre à ajouter.
Il faudra faire un effort au second atelier que ce soit moins bien afin de t'apporter des critiques
Bonne soirée
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Mer 20 Oct - 10:26
J'aime beaucoup. Bravo !
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- Daikitumichi
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Jeu 21 Oct - 6:46
Merci beaucoup pour vos commentaires N'ayant pas confiance en mon style, ça m'a rassurée et vachement motivée !
En effet, faute de frappe, oups En plus je t'ai corrigé sur l'orthographe, la honteCoolRaoul07 a écrit:Coucou Daikitumichi,
Je me permets de mettre un commentaire très succin à ton texte.
En dehors du fait que 3ème ligne tu notes quelle au lieu de quelque je pense
Eh bah, quel compliment ! Merci ! J'avoue, j'ai un peu triché, quand la maîtresse a dit "posez les stylos", j'avais pas tout à fait fini, donc j'ai fait ça plutôt en 1h15-1h20 🤭 Mais pareil que toi, pas de relecture, aussitôt fini aussitôt envoyé XDCoolRaoul07 a écrit: Si tu as écrit tout ça en 45min-1h les bras m'en tombe!
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- CoolRaoul07
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Jeu 21 Oct - 11:25
C'est avec grand plaisir que je lirai d'autres textes de ta plume s'ils sont tous aussi quali
Ouais booouuuh pour la faute
Franchement, une faute ça fait vraiment bon élève. Je garde le bonnet d'âne
Même en 1h20 c'est au top surtout sans relecture.
Garde le cap miette émérite, la voix du felibre n'est pas loin
Ouais booouuuh pour la faute
Franchement, une faute ça fait vraiment bon élève. Je garde le bonnet d'âne
Même en 1h20 c'est au top surtout sans relecture.
Garde le cap miette émérite, la voix du felibre n'est pas loin
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- Daikitumichi
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Jeu 21 Oct - 12:50
Vraiment merci pour tous ces compliments, je suis émue
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Jeu 28 Oct - 15:43
hello !
Bravo à toi, c'est vraiment bien ! Je pense que tu as eu quelques fautes de frappe au début, mais la suite du texte est vraiment chouette ! J'ai beaucoup apprécié la panique du personnages qui rentre chez lui, en plus le ton collait à la personnalité de Vanille ce qui fait qu'on se sent très proche d'elle.
Je ne pense pas avoir quelque chose à te reprocher, bravo à toi !
Bravo à toi, c'est vraiment bien ! Je pense que tu as eu quelques fautes de frappe au début, mais la suite du texte est vraiment chouette ! J'ai beaucoup apprécié la panique du personnages qui rentre chez lui, en plus le ton collait à la personnalité de Vanille ce qui fait qu'on se sent très proche d'elle.
Je ne pense pas avoir quelque chose à te reprocher, bravo à toi !
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- Daikitumichi
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Re: Atelier d'écriture n°1 du 17 octobre
Jeu 28 Oct - 15:48
Merci pour ton retour Christelle !
Olala, complimentée par la reine
Même si j'écris à la 3ème personne, c'est définitivement le point de vue interne mon préféré
La prochaine fois, je pense que je m'essaierai aux descriptions, ma passion (sens-tu l'ironie de ma phrase ? XD)
Olala, complimentée par la reine
Même si j'écris à la 3ème personne, c'est définitivement le point de vue interne mon préféré
La prochaine fois, je pense que je m'essaierai aux descriptions, ma passion (sens-tu l'ironie de ma phrase ? XD)
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