- zohise
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Date d'inscription : 30/07/2023
On fait ce qu’on peut
Dim 30 Juil - 16:12
Le jour viendra ou notre seigneur reviendra dans ce monde afin de sauver nos âme. Il descendra sur terre, combattre les ténèbres. Ces fidèle serviteur rejoindrons les cieux tant dit que nous autre pauvre pécheur serons condamner à la damnation éternel. Nous connaissons cette règle immuable qui à régis les prémisses de nos peuple. L’infinie combat entre le bien le bien et le mal. Une pensée binaire qui n’a laisser aucune place à la nuance. Pourtant, le dernier jour arriva. il descendit des cieux dans une lumière céleste et ne laissa place à aucune rédemption. Il ne sauva personne. Nul place pour ces fils et ces filles. Un fois la divine lumière éteinte, toutes forme de joie, d’espoir s’estompèrent. Seul le néant repris ça place, plongeant le monde dans un profond sommeil.
L’obscurité m’envahie puis me laissa seul, mis à nue et vulnérable. Mes mains tâtèrent mon visage à la recherche de ce mal qui me parcourait. Un liquide chaud coulas le long de mes doigts qui dégager maintenant une odeur sèche et acre. Un cris s’étouffât dans le fond de ma orge s’en avoir la possibilité dans sortir. La ou se situer mes orbite ne gisait plus qu’un troue béant. Paralyser par la douleur, le seul son sifflement de ma respiration me parvenait. L’aire se faisait rare, rien n’était plus claire. Seul la souffrance subsister. Un vent de panique s’empara de moi, les personnes responsable de mon états n’était peut être pas loin. Il ne me restait plus de force, mais il me fallait fuir.Je tentai de me mettre débout. Désorienté, le sol dure me percuta à nouveaux révélant le piètre états dans lequel je me trouver. Mes muscle se mire à tremblais alors que je tentais dans un dernier efforts de m’appuyer contre le mure. Le souffle haletant, je laisser la parois chaude me soutenir.
L’obscurité m’envahie puis me laissa seul, mis à nue et vulnérable. Mes mains tâtèrent mon visage à la recherche de ce mal qui me parcourait. Un liquide chaud coulas le long de mes doigts qui dégager maintenant une odeur sèche et acre. Un cris s’étouffât dans le fond de ma orge s’en avoir la possibilité dans sortir. La ou se situer mes orbite ne gisait plus qu’un troue béant. Paralyser par la douleur, le seul son sifflement de ma respiration me parvenait. L’aire se faisait rare, rien n’était plus claire. Seul la souffrance subsister. Un vent de panique s’empara de moi, les personnes responsable de mon états n’était peut être pas loin. Il ne me restait plus de force, mais il me fallait fuir.Je tentai de me mettre débout. Désorienté, le sol dure me percuta à nouveaux révélant le piètre états dans lequel je me trouver. Mes muscle se mire à tremblais alors que je tentais dans un dernier efforts de m’appuyer contre le mure. Le souffle haletant, je laisser la parois chaude me soutenir.
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