Merlin (nom random mdr)

Contexte : L’épreuve finale vient de plus en plus vite. Pour l’avant dernière épreuves 4 personnes sont encore en liste Mais 2 places seulement pour l’ultime épreuve

- Les groupes sont : Kimiko/Jules et Rudolph/Marianne vous pouvez suivre les gardes vers la salle de test
Les deux gardent nous escortent vers une salle sombre et étroite. L’un d’eux prends Kimoko à part et l’autre reste avec moi. Il accroche sur mon dos un dossard et place dans ma proche une petite enveloppe. Le garde disparait quand soudain les lumières s’allument laissant moi et Kimiko seuls dans une salle. Il n’y a rien c’est un gros cube de bois qui nous entourent. La voix Du game master s’élève.
- Vous avez devant vous votre coéquipier, et à votre droit le nombre de personne restante à la fin du concours, vous avez 10 min. Dans votre poche vous trouverez un objet qui vous permettra de réussir bonne chance à vous.
La voix s’éteint et ne nous donne pas plus d’information. Je regarde le contenue de la pochette quand c’est un couteau qui en ressort. Le chiffre 1 c’est le chiffre qui est affiché sur notre droit. Il ne peut en rester qu’un… Mon regard croise celui de Kimiko nous deux savons ce qu’il en résulte. Nous marchons simultanément l’un vers l’autre avant de chuchoter à l’oreille.

- On ne peut pas faire ça, dis-je à voix basse.
- Il le faut, on peut toujours déclarer forfait, et laisser l’autre gagner comme ça pas besoin de se battre
- Non, on a commencé ensemble, on finit en groupe. Là est la règle que l’on s’est promis
- Mais…
- Non il n’y a pas de mais, ils veulent un gagnant, ils en auront 2. Si aucun de nous n’arrête ils ne pourront pas nous dire non, ils ont besoin de leur dernière épreuve.

Elle ne semble pas montrer un engouement énorme. Mais c’est le seul moyen.
Les minutes passent et nous attendons tous les 2 assis l’un à côté de l’autre. Un bip retenti. Et deux gardent approchent, ils regardent la salle quand ils ne voient personne à terre. Ils sortent leurs armes et les pointes vers nous. Je me lève sur de moi.
- Non ! On gagne tous les 2 ! Si vous nous tuez tous les 2 vous n’aurez pas d’ultime épreuve !
- Bravo à vous Jules vous avez réussi l’épreuve, suivez-moi s’il vous plait.
Réussit ? comment ça ? Je…mais nous nous étions tous les deux ?! Je tourne la tête vers Kimiko quand je la vois suivre le garde. J’approche vers elle quand je la plaque contre le mur.
- Tu fais quoi là ?!
- Rien, j’ai perdue c’est tout.
Elle sourit comme si je venais de faire une blague, mais ce n’est pas le cas. Mon corps tremble et je sens que mes larmes montent.
- On à commencé ensemble, mais tu sais qui s’est qui est venu me voir ?! C’est toi, je n’ai rien, j’ai toute perdue je n’ai plus de famille et le peux qu’il me reste ne me connaissent même pas ! Toi tu as ta sœur ton frère et tes parents même ta grand-mère.
- Si, tu m’as moi !
Je sens que mes larmes arrivent et que mes membres ressentent des sensations que je n’avais dès lors jamais ressentit.
- Oui, justement c’est grâce à toi, à toi que je suis heureuse aujourd’hui. Merci Jules merci

Le garde approche vers moi pour m’emmener vers la sortie j’essaie de me débattre mais il est trop fort et ma puissance diminue. Je n’arrive plus à me battre. Je tourne la tête, les dernières paroles de Kimiko me paressent à l’oreille.
- Jules, j’ai enfin souris !
Le mot de trop mon corps, mon cœur, ma tête tout s’emballe. Mes mains trembles comme si je venais d’être atteint d’une maladie. Le coup de feu retentis et j’entends tomber au sol le corps de Kimiko. Je bruis explose dans mon cœur comme si je venais de perdre quelque chose en moi. Comme si elle faisait partie intégrante de moi, mais ce n’est même pas comme si, c’est elle fait partie de moi. C’est kimiko la fille au cheveux bruns, la petite fille au fond de la cour toute seule qui n’attendait qu’une chose qu’une main vienne à elle.
Je n’arrive même plus à me débattre je suis une comme corps jaillissant de mort et sans aucune vie. Pourquoi ? Pourquoi à t-elle fait ça, pour moi ou pour elle ? C’était pourtant simple, on aurait pu gagner ensemble on aurait gagné et enfin nous serions devenus les personnes les plus importantes. Je ne peux pas continuer, je ne veux plus continuer, je veux arrêter maintenant je ne peux plus je…
Non, non je dois continuer je dois faire ce en quoi j’ai toujours voulu faire, si j’arrête maintenant son sacrifice sera vains. Elle sera partie pour rien. C’est dont ça le véritable amour, se sacrifié pour ceux que l’on aime. Mais comment je vais faire sans elle, je ne peux pas. On a commencé le test ensemble et depuis le début nous avons été mains dans la main. Pourquoi doit elle partie. Pourquoi c’est toujours comme ça, peu importe les actions que l’on fait la personne que l’on aime doit partir ainsi pour nous. J’aurais dû me sacrifier, j’aurais dû la laisser gagner.
Le garde me dépose dans la salle quand je vois en face de moi Rudolph.
- alors c’est toi qui à gagner…
Il a beau être mon ennemi c’est le même sentiment qu’il montre que j’éprouve actuellement. Le regard vide et fini.
- Au moins ce ne sera pas contre une fille que l’un d’entre nous combattra ah
Son rire provoque en moi une rage folle quand je bondis sur lui pour lui attraper la gorge.
- Comment ça on ne combattra pas contre une fille ? TU TE RENDS COMPTE DE CE QUE TU DIS !! ELLES SONT MORTES ! MORTES POUR NOUS ! Et toi tu en ris ? Tu en ris c’est,…NOOOOOON
- Je le sais, j’ai dû faire un choix et elles aussi alors au lieu de crier tu devrais l’honorer !!
- L’honorer ! Mais comment, j’ai perdue la seule personne que j’aimais et qui m’aimait !
- j’ai aussi perdu cette personne, mais ce n’est pas comme ça que l’on réussira ! Tu ne rends pas compte à qu’elle point c’est horrible ! Horrible de perdre la personne que l’on aime, la seule personne qui crois en nous ? La seule personne qui est là pour toi, qui malgré tes différences fait tout pour toi ! Tu crois que c’est simple ? Mais tu veux savoir une chose ce n’est pas comme ça que tu dois réagir, ce n’est pas en te lamentant en pensant que ce qu’elle à fait n’est pas légitime que tu arriveras à gagner. La vie ne se résume pas seulement à 100 ans de survie et ensuite c’est fini. Non la fille que tu aimais elle est encore là-dedans, il me donne un coup violent dans le cœur. Quand tu penseras à elle tu sauras que ce qu’elle à fait elle la fait pour toi ! Que c’est ça qui montre à qu’elle point un être humain peut prouver sa valeur dans un geste qui dépasse l’entendement. Tu ne peux, tu ne peux abandonner.

Je recule de lui pour me mettre dans le coin de la salle. Je sors de ma proche la pochette quand je remarque que ce n’est pas l’arme mais un bijou, le bijou de Kimiko. Il ne me reste plus que ça d’elle, un dernier souvenir, un souvenir. Je me souviens encore quand on jouait ensemble, ou quand nous marchions pendant des heures dans les rues…ces souvenirs, pourquoi ils reviennent au dernier moment…pourquoi, c’est trop dur je ne veux pas les voir, je…Non, non je veux les voir. Ces souvenirs, c’est ce qui fait d’elle la personne qu’elle aujourd’hui. Je me lève les larmes toujours actives mais une assurance en plus. Je dois honorer sa mémoire.

Salut,
Bravo pour ton texte. Je n'ai pas tellement compris le contexte, mais ce n'est pas important. On ressent une part du désespoir du personnage principal, qui est assez poignant et ça marche plutôt bien. Mais, je trouve son revirement un peu rapide, quand il dit qu'il doit se battre pour elle.

C'est un texte écrit en 1h30, donc c'est des choses qui peuvent se corriger à la relecture, mais attention aux connecteurs logiques et à la ponctuation, il manquait aussi des mots par moments.

Encore une fois, bravo. J'espère que mon commentaire pourra t'être utile

Hello, bravo pour ton texte, on dirait un peu un hommage à Hunger Games, en tout cas, c'est comme ça que je me le suis représenté haha
Merci beaucoup pour ton récit ^^

Hello ! Bravo pour ton texte ! Je pense qu'il y a beaucoup d'idées derrière mais j'avoue que je n'ai pas trop compris ce qu'il se passait. J'ai compris en général, mais y a certaines choses qui restent mystérieuses. Où est partie Kimiko ? N'a-t-elle pas condamné son ami en lui laissant un bijou plutôt qu'une arme ?
Aussi, il y a des maladresses dans les phrases qui peuvent rendre la narration confuse:
ils regardent la salle quand ils ne voient personne à terre. / nous serions devenus les personnes les plus importantes (comment ça importantes ? par rapport à qui ? Quoi?). / je suis une comme corps jaillissant de mort et sans aucune vie. / non je dois continuer je dois faire ce en quoi j’ai toujours voulu faire, / Il a beau être mon ennemi c’est le même sentiment qu’il montre que j’éprouve actuellement. Le regard vide et fini. / Je me lève les larmes toujours actives mais une assurance en plus.

Merci pour ta participation !