je n'ai pas d'idée de titre mais ce sera dans L'épopée d'Alice

Les amis entendirent un grondement, comme un tonnerre qui ne finissait pas. Thomas prit la tête, épaulé par cinq hommes en armure. L’un d’eux déclara :
-Ils sont à cheval ! Rester bien à l’abri des rochers, on va tenter d’en faire tomber quelques uns au passage.
Le grondement se rapprochait. Des gémissements se firent entendre parmi les voyageurs, notamment la jeune Ambrosia. Mais les hommes étaient campés, armes à la main, et ils attendaient, déterminés.

Puis, surgissant d’entre les arbres, ils virent leurs poursuivants déboucher. Ce n’était pas les chevaliers qu’ils attendaient, mais une troupe de centaures. Ils étaient au moins cinquante. Un des soldats, trop effrayé, lâcha son poste pour fuir. Quand la vague s’écroula sur les hommes d’armes, l’un d’eux s’écroula. Puis tout se brouilla pour Thomas. Suite à la première stupeur de voir les hybride, il resta campé, et quand le premier d’entre eux arriva au contact, il balança son épée devant lui. Le choc l’avait alors mit à terre, et il s’en était fallut de peu pour qu’il se fasse écraser par une deuxième créature quadrupède. Il se releva très vite et para un coup qui fondait sur lui. Il fut reprojeté au sol. Il se roula pour éviter des sabots et se plaqua contre un tronc.

Autour de lui, c’était la débandade. Il ne restait que deux chevaliers encore debout qui combattait les créatures. Ah non. Un seul, maintenant. Le jeune homme apercevait Johan et Mikael qui balançaient aussi leurs épées en tout sens, couvrantes jeunes femmes qui se serraient entre les rochers, protégeant au mieux l’enfant. Les créatures, elles, étaient armées de grosses branches d’arbres et d’épées grossières et ne connaissaient encore aucun blessés.

Thomas fonça de nouveau. Il se jeta au sol, sur le dos, pour glisser sous le demi-homme qui fonçait sur lui au moment où ils allaient se rencontrer. Dans un ultime effort, il leva bien haut la lame de ses deux mains, qui s’enfonça dans le ventre. Celui-ci s’écroula. Thomas sortit de sous la créature et vit que son acte avait quelque peu refroidi les ardeur des assaillants. Un second fonça sur lui. Il plongea sur sa droite pour l’esquiver une première fois puis, à la seconde tentative, sauta sur un rocher, et après un second bond, la lame resta coincé dans le buste de son adversaire. Tous se stoppèrent. Thomas regarda le dernier chevalier encore debout, le visage en sang. Ses amis, eux, restaient immobiles, accompagnés des pleures des jeunes femmes apeurées.

-Qu’avons-nous là ? Ricana un des centaure.
Celui-ci était plus costaud que les autres et semblait les mener. Il pointa sa propre épée sur le jeune homme.
-Reprends ton épée, je t’en prie. Continua-t-il sur un ton sarcastique.
Thomas attrapa la garde, et tira. L’arme ne bougea pas. Il posa son pied et tira de nouveau pour enfin réussir à l’extirper. Les centaures avaient fait un cercle fermé autour de lui, rejetant l’homme en sang en arrière, sans autre intérêt.

Sans autres paroles, alors que Thomas essayait de reprendre son souffle, son adversaire fondit sur lui, l’arme bien haut. L’homme plongea pour éviter l’assaut. Il regarda le rocher duquel il venait de s’éloigner, mais les créatures lui barraient dorénavant la voie. Il devrait se débrouiller seul. Il se releva. Il regarda le chef dans les yeux. Il attendait un autre assaut. Quand l’ennemi lui fonça dessus il ne sauta sur le côté qu’au dernier moment et abattit son arme sur son flanc. Mais celui-ci avait effectuer un mouvement du train arrière.

Les deux adversaires se regardaient, jaugeant l’autre. Thomas était concentré et essoufflé. Le centaure semblait dans une extase infinie. Quand il regarda autour de lui, l’humain ne voyait que les autre quadrupèdes qui enfermaient la zone de combat, en encourageant fortement leurs chef. Le sol était totalement défriché. Le cadavre des deux chevaliers gisaient non loin, derrière la créature, sinon, plus rien ne dépassait du sol, dans cette arène improvisée. Thomas se lança dans l’idée de plonger sous son adversaire, mais quand les deux adversaires coururent l’un vers l’autre, le centaure bifurqua au dernier moment. Les idées se bousculant alors, l’humain se retourna et recula doucement. Son adversaire semblait totalement excité par se combat. Il piétinait le sol en fixant le jeune homme qui ramassa une seconde épée.
-Ahah ! Tu penses que tu arriveras mieux avec deux épées qu’une seule ? Claironna-t-il.
Sans un mot, Thomas se releva et brandit les deux lames. Le centaure chargea. A mi-distance, le jeune homme lança les deux homme sur son ennemi, qui esquiva la première sans effort. La deuxième le frôla si bien qu’il stoppa sa course. La seconde suivante, le jeune homme apparaissait sur le flanc, et s’agrippa à la poitrine de son adversaire et réussit à se hisser sur son dos, à la surprise général. La créature se rua, se lança, mais le jeune homme tenait bon. Au premier moment de relâchement, la créature se retrouva alors avec un petit couteau contre sa gorge.
-Tu te calme maintenant et tu vas laisser mes amis partir tranquillement. Chuchota l’humain.

Un texte intéressant.

L'histoire était agréable à lire. J'ai juste eu du mal au niveau du nombre de chevaliers qui disparaissaient pus réapparaissaient. La première scène de combat était vraiment sympathique et je sentais que la bataille faisait rage autour de lui.
Cependant, vers la fin, avec la seconde, j'ai été plus dans la vague, je n'ai pas compris l'histoire avec les deux hommes et j'étais trop perdu, dans les mouvements pour réussir à réellement comprendre.
Un peu répétitif sur la fin, mais quand même plaisant.

L'idée d'un combat contre des centaures est originale, même si je ne comprends pas le rapport avec Alice (dans le titre) ?

Coucou ! Bravo pour ton texte, je trouve que c'est bien écris, je n'ai pas grand chose à dire sur la constructions des phrases, à part peut-être quelques répétitions :

"Quand la vague s’écroula sur les hommes d’armes, l’un d’eux s’écroula."
"Les deux adversaires se regardaient, jaugeant l’autre. Thomas était concentré et essoufflé. Le centaure semblait dans une extase infinie. Quand il regarda autour de lui..."

Par contre je dois admettre que j'ai été un peu perdue dans les évènements, j'ai trouvé le déroulé assez confus   Après c'est vrai que tu es parti sur une bataille donc tu n'as pas pris la voie de la facilité. Rien que pour ça, bravo 

On ressent bien la grande bataille, avec plein de monde. Par contre, j'ai dû relire plusieurs fois certaines phrases car je ne comprenais pas qui était qui, notamment avec les chevaliers. Mais c'est seulement à cause du contexte manquant (ce qui est tout à fait normal avec cet atelier^^).

En revanche, je trouve que les mouvements de Thomas sont très clairs

C'est très marrant et perturbant à la fois quand tu décris Thomas par "l'humain", j'ai l'impression que c'est du point de vu du centaure tout en restant du point de vue de Thomas.

Coucou ^^

Idée intéressante. Mais comme Azulys, j'étais un peu perdue. J'ai eu du mal à tout comprendre, un peu trop "flou", je crois
Notamment cette phrase que je ne comprends toujours pas : Le jeune homme apercevait Johan et Mikael qui balançaient aussi leurs épées en tout sens, couvrantes jeunes femmes qui se serraient entre les rochers, protégeant au mieux l’enfant.
Et celle-ci : A mi-distance, le jeune homme lança les deux homme sur son ennemi, qui esquiva la première sans effort.
Contrairement à saz, j'ai eu du mal à trouver les mouvements de Thomas clairs.

Mais comme je disais au début, je trouve l'idée des centaures intéressante, j'aime beaucoup ! Malgré les petits défauts, tu as respecté les consignes de l'atelier, ça c'est très bien ! Je pense sincèrement que tu as du potentiel, alors ne lâche rien !

Hello ! Texte très intéressant, les scènes de combat de mêlée sont toujours plus difficiles que les duels, c'était une bonne idée de repartir dessus sur la fin pour pouvoir se concentrer sur les coups ! Sinon, ça s'inscrit dans un projet sur lequel tu travailles ? Je demande car au début on parle d'amis qui entendent le grondement, et après Thomas se retrouve avec 5 gardes donc j'ai supposé que c'était eux, puis on a deux noms qui apparaissent ^^' (là dans le texte c'était pas forcément évident à suivre, mais les actions étaient bien plus compréhensibles lors des combats, c'était le plus important pour l'exercice !). Sinon, vu qu'a priori on a le point de vue de Thomas, ç'aurait peut-être été une bonne manière d'impliquer le lecteur que de partager un peu plus ses émotions ^^
Mais ça reste vraiment bien pour l'exercice, donc bien joué pour ta participation !

Bravo pour ton texte !

Tu as respecté le thème à fond, c'est bien d'avoir à la fois une bataille et un duel, même si c'était un peu confus parfois.
(Pour la phrase "A mi-distance, le jeune homme lança les deux homme sur son ennemi" que certains ont relevée, je pense qu'il s'agit juste d'une coquille et que c'est en fait "les deux épées").

Sinon, comme dit Martatin, ça aurait été un + de pouvoir ressentir davantage les émotions de Thomas.

Hello ! Bravo pour ton texte ! Bonne idée l'idée du centaure, je pense que le rythme est bon, mais tu as tendance à te compliquer la vie.

Voici ce que j'ai remarqué :

prit la tête, épaulé : attention au sens, prendre la tête inclut un mouvement. Aussi, il est dit que Thomas commande mais ce n'est pas lui qui donne les ordres ce qui est bizarre.

virent : attention à ne pas toujours passer par les sens du personnage pour amener une action/un évènement. Tu places un filtre entre le personnage et le lecteur (en plus d'alourdir la phrase)

balança : on comprend qu'il balance son épée

Un seul, maintenant. Le jeune homme apercevait Johan et Mikael : attention à ne pas donner l'impression que tu te contredis

Il se jeta au sol, sur le dos, pour glisser sous le demi-homme qui fonçait sur lui au moment où ils allaient se rencontrer. Dans un ultime effort, il leva bien haut la lame de ses deux mains, qui s’enfonça dans le ventre. : tu peux être beaucoup plus simple et donc beaucoup plus percutant avec cette action.

Il plongea sur sa droite pour l’esquiver une première fois puis, à la seconde tentative, sauta sur un rocher, et après un second bond, la lame resta coincé dans le buste de son adversaire. : trop de virgules, trop de détails, trop d'actions différentes. Je pense que tu peux couper en deux.

Thomas regarda le dernier chevalier encore debout, le visage en sang. : il faudrait que le regard apporte quelque chose. Tu peux enchaîner sur une description ou autre, mais un regard ne suffit pas.

rejetant l’homme en sang en arrière, sans autre intérêt. : on comprend pas trop ce qui se passe et attention aux maladresses.

regardaient, jaugeant l’autre. : on peut supprimer un verbe, alors on le fait : ils se jaugèrent du regard.

et essoufflé. : ça marcherait mieux de décrire son état physique je pense, ça ferait passer plus de choses au lecteur

Le sol était totalement défriché. Le cadavre des deux chevaliers gisaient non loin, derrière la créature, sinon, plus rien ne dépassait du sol, dans cette arène improvisée. : attention à ne pas se contredire, tu dis que le terrain est vide, mais qu'en fait y'a deux morts dessus.

Thomas se lança dans l’idée de plonger sous son adversaire, mais quand les deux adversaires coururent l’un vers l’autre, le centaure bifurqua au dernier moment. : va au plus simple, tu décris trop les mini actions

Au premier moment de relâchement, la créature se retrouva alors avec un petit couteau contre sa gorge. : je pense que la voix active marcherait mieux (adopter le point de vue de Thomas)

Bravo pour ta participation !