Epreuve évasion

Noir. Tout est noir autour de moi. Pas la moindre lumière ne filtre à travers mes yeux qui me semble pourtant grands ouverts. Encore un peu groggy, je peine encore à me rappeler de ce qui s’est passé pour que je me retrouve étendu sur ce qui semble être un tapi de paille. Où du moins il me semble que s’en est un si je me fit au picotement que je ressent sur ma joue et dans ma nuque ainsi qu’à l’odeur de fourrage fraichement coupé. En essayant de bouger, aucune entrave ne me restreint dans mes gestes mais dans mes mouvements, mon coude se cogne contre une paroi me faisant grogner de douleur. La bonne nouvelle, c’est que ce coup a eu le mérite de finir de me réveiller. En appuis sur mes mains pour me redresser je sens des planches de bois, Visiblement je suis à l’intérieur. Aucun sons ne me parvient, pas le moindre courant d’air pour m’indiquer une ouverture, l’endroit et vraiment bien isolé. Puis soudain un voix aigu s’élève :
- Chère candidats chère candidates, vous voici maintenant en prison suite à perte total de vos points dont vous disposiez au début du tournois. Si vous souhaitez poursuivre le restes des épreuves il vous faudra vous échappez dans le noir le plus total et sans utilisé votre magie. Par soucis d’équité, chacun est isolé dans une pièce, un sort vous rendant temporairement aveugle à été lancer à l’ensemble des candidats et vous êtes tous munies d’un bloqueur vous empêchant d’utilisé vos pouvoir. Votre vue seras automatiquement restaurer à votre sorti et un nombre de points vous sera également distribuer en fonction de votre rapidité. Vous pourrez commencer votre évasion lorsque vous entendrez le signal sonore. Bonne chance à tous !
Ah oui, ça me revient, cette fameuse épreuve. Bon pas le choix va falloir se débrouiller pour sortir d’ici. En me relevant doucement ma tête heurte le plafond. L’impossibilité à me mettre entièrement debout, me pousse à m’agenouiller mes mains tendus. En tâtonnant le plafond, je parviens à sentir une rainure et en la suivant mes doigts se cogne dans un objet sans doute en métal au vue de la froideur au toucher. Et voilà ma porte de sortie. En le saisissent, il est évident qu’il s’agit d’un cadenas et au vue de la fente que je trouve sur un des côtés, il s’ouvre à l’aide d’une clé. N’en n’ayant pas sur moi, elle doit forcément se trouver dans la pièce. Décidant de la fouiller le plus efficacement possible je retire mes chaussures pour pouvoir sentir la clé si mes pieds tapent dedans. Après ce qui me semble être une éternité, mes doigts touche enfin un objet en métal. Légèrement désorienter il me faut quelques seconde pour souffler et retrouver à tâtons le cadenas au plafond puis l’ouvrir à l’aide de ma trouvaille. Poussant de toute mes forces sur la trappe, celle-ci s’ouvre avec un petit grincement et retombe jusqu’à cogner un obstacle. Je me hisse ensuite sur jusqu’au niveau supérieur.
Non loin de moi, il me semble sentir une surface lice, peut-être du verre, formant un tuyau à en juger par son contour. Je m’y engage sans plus réfléchir, manquant de me cogner violement la tête sur la parois si j’y avais mis plus de vitesse. C’est donc en rampant que mon avancer ce poursuit toujours aucune odeur mais visiblement le tuyau n’a pas été laver depuis longtemps à en juger les mousses qui s’affaissent sous mon poids. Au détour d’un coude allant vers la droite, je perçois enfin un courant d’air m’indiquant que la sortie n’est plus très loin. La fin du tuyau a été facile à trouver car il doit y avoir un quinzaine de centimètre entre le bord et le sol où je me trouve à présent. Toujours à tâtons, mes mains explorent la surface devant moi. La sortie se trouve forcément devant car c’est de la que provient le mince courant d’aire que j’ai sentie plus tôt. Trouvant enfin la porte, il ne me reste plus qu’à distinguer le système d’ouverture que je ne tarde pas à trouver. Contrairement au précédent, il s’agit de trois engrenage à tourner. Il faut rester concentrer c’est la dernière ligne droite. Je tourne un a un les engrenages jusqu’à entendre le clac prouvant qu’il était dans la bonne position. La porte s’ouvre dans un bruit de mécanisme à l’ancienne, me permettant ainsi sortir à l’air libre et de prendre une grande inspiration. Comme annoncer ma vue revient quelque minutes plus tard.

Salut !

C'est ton premier atelier non ? Si c'est bien le cas, je pense que ça se voit pas mal car on retrouve plusieurs problèmes classiques de textes de "débutants" (ne prend pas du tout ça mal, y a rien de péjoratif et on est tous passés par là   ).

Déjà, ton texte manque d'aération. C'est un unique (très) gros bloc de texte, sans paragraphes, honnêtement ça rend la lecture vraiment difficile. S'ajoute à ça un manque de rythme dans tes phrases, qui sont souvent inutilement lourdes. Le meilleur exemple c'est cette phrase : " En le saisissent, il est évident qu’il s’agit d’un cadenas et au vue de la fente que je trouve sur un des côtés, il s’ouvre à l’aide d’une clé." Première chose, pas besoin de préciser qu'il y a une serrure et donc une clé : hormis des cadenas spécifiques, tous en ont. Si tu avais voulu faire un cadenas particulier, s'ouvrant à l'aide d'un code ou d'une énigme par exemple, là il aurait fallu le préciser. Mais "par défaut", un cadenas s'ouvrant avec une clé, on comprend que ton personnage va devoir la chercher. Ensuite, sur la phrase en elle-même, je te proposerais d'enlever le "il est évident qu'il s'agit...'' Quelque-chose comme "En le saisissant, je remarque qu'il s'agit d'un cadenas." passe beaucoup mieux. 

Après, ne t'en fais pas. C'est normal ce genre d'erreurs au début, donc tu devrais progresser assez rapidement je pense  

Bravo pour ton texte! L'idée est vraiment chouette, pas trop de répétitions du "je", tu utilises bien les sens de ton personnage. Le souci va plus être du côté du rythme des phrases et de la tournure de certaines.

Encore un peu groggy, je peine encore à me rappeler de ce qui s’est passé pour que je me retrouve étendu sur ce qui semble être un tapi de paille. Où du moins il me semble que s’en est un si je me fit au picotement que je ressent sur ma joue et dans ma nuque ainsi qu’à l’odeur de fourrage fraichement coupé. : l'idée est bonne, mais c'est un peu lourd et ça manque de rythme.

En essayant de bouger, aucune entrave ne me restreint dans mes gestes mais dans mes mouvements, mon coude se cogne contre une paroi me faisant grogner de douleur. /En appuis sur mes mains pour me redresser je sens des planches de bois, Visiblement je suis à l’intérieur. : confus et lourd, je pense que l'idée est bonne mais il faudrait réorganiser la phrase

En tâtonnant le plafond, je parviens à sentir une rainure et en la suivant mes doigts se cogne dans un objet sans doute en métal au vue de la froideur au toucher. : attention au rythme

Merci pour ta participation !