La justice
Lun 29 Mai - 21:01
Mes trois cartes: la justice, la lune et l'amoureux.
Carte choisi : la justice.
Carte choisi : la justice.
— Te voilà enfin ! S’exclama le capitaine LeFloch agacer.
Je me retiens à temps de l'envoyer sur les roses. Sa récente promotion lui montait à la tête. Résultat, il prenait plaisir à être tyrannique.
— Désolée capitaine, il y avait de la circulation, dis-je d'un ton calme.
— C'est bien une excuse de bonne femme ! Voilà pourquoi, il ne faut pas de gonzesse dans la gendarmerie.
Non mais quel con ! Calme-toi Azénor ! Ne lui mets pas ton poing dans la figure. Il ne mérite pas que tu te fasses virer de ton boulot.
Je soufflai pour apaiser la colère que je ressentais.
— Fitzgerald, explique à ta camarade les faits, ordonna le capitaine.
Il sortit de la maison en trombe afin de rejoindre le procureur ainsi que le député qui découvrit le corps.
— Le tueur au tarot a encore frappé, dit mon collègue.
Bravo Sherlock ! Il m’a suffi d’un seul regard pour apercevoir immédiatement la carte de tarot sur le corps de la victime. Je travaille vraiment avec des crétins !
Ignorant Armand Fitzgerald, je mis les gants et m’approchai.
Le défunt était un homme au corps supplicié. Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, de suite, le glaive gravé grossièrement sur sa joue gauche me sauta aux yeux. Une découverte que de toute évidence mes collègues masculins n’avaient pas remarqué. Je fis un signe de la main au photographe pour qu’il prenne une photo de la joue du cadavre.
Une carte de tarot posé sur le torse du malheureux.
C’était la carte de la justice.
Rien d’étonnant. Depuis le commencement des crimes, deux mois plus tôt, le meurtrier placer cette carte sur sa victime. Ce soir, le seul changement dans son mode opératoire était le symbole du glaive inscrit sur le visage.
Mais en regardant la carte de plus près, je m'aperçus qu’elle était elle aussi différente des trois autres cartes.
La femme assise qui tient une balance d’une main et un glaive de l’autre semble me scruter de son air rigide. Une inscription est rajoutée en bas de la carte : La justice appartient aux femmes.
Dans la balance, se trouve un cœur ensanglanté qui fait pencher d’un côté qui signifie clairement que la personne est coupable.
— Le tueur est une femme, dis-je en regardant une dernière fois l’homme étendu sur le sol.
— Qu’est-ce qui te fait dire ça ? Demanda Fitzgerald en se grattant la tête.
— Les quatre victimes sont tous de sexe masculin et on était émasculé avec un tel acharnement qui démontre que le coupable voue une haine à la gent masculine. De plus, regarde le glaive gravé sur le corps, il démonte clairement que la tueuse a rendu la justice selon elle.
Je fis une pause le temps de reprendre ma respiration. Mon collègue continuai de me regarder avec ses yeux étonnés.
— Le symbole du glaive est un attribut de la déesse de la vengeance grecque Némésis. Il signifie aussi que la justice a tranché.
— Comment tu sais ça, toi ? Répliqua hargneusement le capitaine LeFloch.
Je sursautai.
Je ne l’avais pas entendu ni vu venir.
— J’ai fait des recherches. Sur toutes les cartes de tarot de la justice, il y a le glaive et la balance qui y sont représenté. Et cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés.
— Arrête tes bêtises Claire ! Comme une simple femme aurait pu assassiner des hommes dans la force de l’âge de cette façon.
Je soufflai encore une fois.
— Je pense qu’elle les droguait avant de déchaîner sa haine des hommes.
— N’importe quoi ! Le légiste n’a pas retrouvé de trace de substance dans leur organisme.
— Parce que je pense qu’elle a utilisé une drogue indétectable. Il faut creuser davantage sur le passé des victimes.
Je me retiens à temps de l'envoyer sur les roses. Sa récente promotion lui montait à la tête. Résultat, il prenait plaisir à être tyrannique.
— Désolée capitaine, il y avait de la circulation, dis-je d'un ton calme.
— C'est bien une excuse de bonne femme ! Voilà pourquoi, il ne faut pas de gonzesse dans la gendarmerie.
Non mais quel con ! Calme-toi Azénor ! Ne lui mets pas ton poing dans la figure. Il ne mérite pas que tu te fasses virer de ton boulot.
Je soufflai pour apaiser la colère que je ressentais.
— Fitzgerald, explique à ta camarade les faits, ordonna le capitaine.
Il sortit de la maison en trombe afin de rejoindre le procureur ainsi que le député qui découvrit le corps.
— Le tueur au tarot a encore frappé, dit mon collègue.
Bravo Sherlock ! Il m’a suffi d’un seul regard pour apercevoir immédiatement la carte de tarot sur le corps de la victime. Je travaille vraiment avec des crétins !
Ignorant Armand Fitzgerald, je mis les gants et m’approchai.
Le défunt était un homme au corps supplicié. Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, de suite, le glaive gravé grossièrement sur sa joue gauche me sauta aux yeux. Une découverte que de toute évidence mes collègues masculins n’avaient pas remarqué. Je fis un signe de la main au photographe pour qu’il prenne une photo de la joue du cadavre.
Une carte de tarot posé sur le torse du malheureux.
C’était la carte de la justice.
Rien d’étonnant. Depuis le commencement des crimes, deux mois plus tôt, le meurtrier placer cette carte sur sa victime. Ce soir, le seul changement dans son mode opératoire était le symbole du glaive inscrit sur le visage.
Mais en regardant la carte de plus près, je m'aperçus qu’elle était elle aussi différente des trois autres cartes.
La femme assise qui tient une balance d’une main et un glaive de l’autre semble me scruter de son air rigide. Une inscription est rajoutée en bas de la carte : La justice appartient aux femmes.
Dans la balance, se trouve un cœur ensanglanté qui fait pencher d’un côté qui signifie clairement que la personne est coupable.
— Le tueur est une femme, dis-je en regardant une dernière fois l’homme étendu sur le sol.
— Qu’est-ce qui te fait dire ça ? Demanda Fitzgerald en se grattant la tête.
— Les quatre victimes sont tous de sexe masculin et on était émasculé avec un tel acharnement qui démontre que le coupable voue une haine à la gent masculine. De plus, regarde le glaive gravé sur le corps, il démonte clairement que la tueuse a rendu la justice selon elle.
Je fis une pause le temps de reprendre ma respiration. Mon collègue continuai de me regarder avec ses yeux étonnés.
— Le symbole du glaive est un attribut de la déesse de la vengeance grecque Némésis. Il signifie aussi que la justice a tranché.
— Comment tu sais ça, toi ? Répliqua hargneusement le capitaine LeFloch.
Je sursautai.
Je ne l’avais pas entendu ni vu venir.
— J’ai fait des recherches. Sur toutes les cartes de tarot de la justice, il y a le glaive et la balance qui y sont représenté. Et cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés.
— Arrête tes bêtises Claire ! Comme une simple femme aurait pu assassiner des hommes dans la force de l’âge de cette façon.
Je soufflai encore une fois.
— Je pense qu’elle les droguait avant de déchaîner sa haine des hommes.
— N’importe quoi ! Le légiste n’a pas retrouvé de trace de substance dans leur organisme.
— Parce que je pense qu’elle a utilisé une drogue indétectable. Il faut creuser davantage sur le passé des victimes.
**
*
*
Une semaine plus tard, j’étais sur une piste sérieuse. Même si mon imbécile de supérieur refusait catégoriquement que je continue d’enquêter dessus. Depuis mes observations, LeFloch m’avait viré de son équipe. Il était franchement étrange...
Je suis sûr que le meurtrier est une femme. En fouillant dans le passé de la dernière victime, je trouvai une vieille plainte déposée par une femme qu’il l’accusait de l’avoir violé. Quelque heure plus tard, elle l’avait retiré son accusation.
La boule au ventre, j'entrai dans un bar. Le faible éclairage donnait une impression encore plus malsaine. Une femme habillée de noir de la tête au pied était assise sur une chaise dans le fond, elle me fit signe de la rejoindre.
Mon cœur battait à tout rompe dans ma poitrine.
Je ressentais de l’angoisse à l’idée que je pourrais perdre mon grade à désobéir aux ordres.
Il n’était pas trop tard pour faire marche arrière. Non ! Je dois savoir la vérité.
Je m’assis.
— Vous êtes sûr de vouloir connaître la vérité ? Demanda l’inconnu d’une voix rauque.
Je fis un signe de tête.
— La justice est rendue ! Ces pourritures n’étaient pas dignes de vivre.
— Le meurtre n’est jamais la solution, répliquai-je en braquant mon regard dans le sien.
— Ils profitaient de leur pouvoir pour abuser de femme sans jamais payer pour leur crime. Ce n’est que justice qu’ils soient punis pour leur horreur !
— Il y a les tribunaux pour ça !
La femme se mit à rire.
— La justice des tribunaux est celle des hommes ! Ces cinq porcs organisaient des parties fines en violentant des femmes de milieu modeste qui ne voyait pas comme des humains.
— Quatre ! Il y a eu quatre meurtres, dis-je en commençant à douter des dires de cette inconnue.
— Plus maintenant ! Le gros porc de LeFloch à rendu gorge ce soir même.
Je restai bouche bée pendant un moment.
La femme se leva et jeta cinq cartes de tarot sur la table devant moi. Sur chacune d’elles, se trouvaient écrits les noms des hommes et leur condamnation.
— Vous pouviez m’arrêter maintenant ! J’ai accompli ma mission.
— Vous étiez une des victimes de ses hommes ? Demandais-je après un petit moment.
— Ma fille, fut tout ce qu’elle répondit.
Mon sens du devoir me dicter d’arrêter cette femme. Pourtant, je n’arrivais pas. Je basculais dans une pensée dangereuse, mais je me disais que la mère de la vraie victime avait eu des raisons de faire ça. Je n'aimais pas cette pensée ! Pourtant, après un dernier coup d'oeil à la carte de tarot, je ressentis un profond malaise. Cette femme avait dit vrai concernant les tribunaux. Combien de fois, des hommes influent parvenaient à échapper à leur condamnation.
Je suis sûr que le meurtrier est une femme. En fouillant dans le passé de la dernière victime, je trouvai une vieille plainte déposée par une femme qu’il l’accusait de l’avoir violé. Quelque heure plus tard, elle l’avait retiré son accusation.
La boule au ventre, j'entrai dans un bar. Le faible éclairage donnait une impression encore plus malsaine. Une femme habillée de noir de la tête au pied était assise sur une chaise dans le fond, elle me fit signe de la rejoindre.
Mon cœur battait à tout rompe dans ma poitrine.
Je ressentais de l’angoisse à l’idée que je pourrais perdre mon grade à désobéir aux ordres.
Il n’était pas trop tard pour faire marche arrière. Non ! Je dois savoir la vérité.
Je m’assis.
— Vous êtes sûr de vouloir connaître la vérité ? Demanda l’inconnu d’une voix rauque.
Je fis un signe de tête.
— La justice est rendue ! Ces pourritures n’étaient pas dignes de vivre.
— Le meurtre n’est jamais la solution, répliquai-je en braquant mon regard dans le sien.
— Ils profitaient de leur pouvoir pour abuser de femme sans jamais payer pour leur crime. Ce n’est que justice qu’ils soient punis pour leur horreur !
— Il y a les tribunaux pour ça !
La femme se mit à rire.
— La justice des tribunaux est celle des hommes ! Ces cinq porcs organisaient des parties fines en violentant des femmes de milieu modeste qui ne voyait pas comme des humains.
— Quatre ! Il y a eu quatre meurtres, dis-je en commençant à douter des dires de cette inconnue.
— Plus maintenant ! Le gros porc de LeFloch à rendu gorge ce soir même.
Je restai bouche bée pendant un moment.
La femme se leva et jeta cinq cartes de tarot sur la table devant moi. Sur chacune d’elles, se trouvaient écrits les noms des hommes et leur condamnation.
— Vous pouviez m’arrêter maintenant ! J’ai accompli ma mission.
— Vous étiez une des victimes de ses hommes ? Demandais-je après un petit moment.
— Ma fille, fut tout ce qu’elle répondit.
Mon sens du devoir me dicter d’arrêter cette femme. Pourtant, je n’arrivais pas. Je basculais dans une pensée dangereuse, mais je me disais que la mère de la vraie victime avait eu des raisons de faire ça. Je n'aimais pas cette pensée ! Pourtant, après un dernier coup d'oeil à la carte de tarot, je ressentis un profond malaise. Cette femme avait dit vrai concernant les tribunaux. Combien de fois, des hommes influent parvenaient à échapper à leur condamnation.
Petite Aloy, zebulon911, Celui-ci et phoenixosaure aiment ce message
- Petite Aloy
- Messages : 113
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Localisation : Sur Word
Re: La justice
Mar 30 Mai - 10:55
Coucou !
Sympa la vibe enquête !
Peut-être un poil trop d'éléments dans les dialogues, certains auraient pu être plus percutants. Notamment ce dialogue : — J’ai fait des recherches. Sur toutes les cartes de tarot de la justice, il y a le glaive et la balance qui y sont représenté. Et cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés.
Juste "cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés" me semble mieux.
Comme elle semble un peu saoulée du type, ça ne paraîtrait pas bizarre qu'elle ignore la question ^^
Mais ce n'est que mon avis !
Les noms sont volontairement compliqués ?
Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, Magnifique xD
Quelques petites fautes de temps qui m'ont fait relire plusieurs fois pour être sûre, mais rien de très gênant ^^
Pour le dernier paragraphe, je pense qu'il n'est pas nécessaire ; on en vient naturellement à cette pensée. De plus, la fin aurait été encore plus impactante juste avec la dernière ligne de dialogue :p
D'habitude, je suis pas fan des "enquêtes", mais je dois dire que ton texte est très bien passé ! Tu as réussi ton texte. Bravo !
Sympa la vibe enquête !
Peut-être un poil trop d'éléments dans les dialogues, certains auraient pu être plus percutants. Notamment ce dialogue : — J’ai fait des recherches. Sur toutes les cartes de tarot de la justice, il y a le glaive et la balance qui y sont représenté. Et cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés.
Juste "cette fois-ci, la tueuse a laissé des indices personnalisés" me semble mieux.
Comme elle semble un peu saoulée du type, ça ne paraîtrait pas bizarre qu'elle ignore la question ^^
Mais ce n'est que mon avis !
Les noms sont volontairement compliqués ?
Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, Magnifique xD
Quelques petites fautes de temps qui m'ont fait relire plusieurs fois pour être sûre, mais rien de très gênant ^^
Pour le dernier paragraphe, je pense qu'il n'est pas nécessaire ; on en vient naturellement à cette pensée. De plus, la fin aurait été encore plus impactante juste avec la dernière ligne de dialogue :p
D'habitude, je suis pas fan des "enquêtes", mais je dois dire que ton texte est très bien passé ! Tu as réussi ton texte. Bravo !
Lady_Lian aime ce message
Re: La justice
Mar 30 Mai - 17:03
Merci du retour !
Je vais prendre en considération les conseils, car j'ai bien envie d'écrire une petite nouvelle sur ce texte, cela va bien m'aider.
Pour les noms, j'avoue que j'ai mis au hasard
C'est vrai que j'aurais mieux fait de laisser la fin comme tu as dit. Sur le moment, j'avais pas songé à ça. Cela aurait était mieux. bref merci de l'avis.
Je vais prendre en considération les conseils, car j'ai bien envie d'écrire une petite nouvelle sur ce texte, cela va bien m'aider.
Pour les noms, j'avoue que j'ai mis au hasard
C'est vrai que j'aurais mieux fait de laisser la fin comme tu as dit. Sur le moment, j'avais pas songé à ça. Cela aurait était mieux. bref merci de l'avis.
Petite Aloy aime ce message
- Sisuki
- Messages : 97
Date d'inscription : 12/10/2021
Age : 29
Localisation : Un lieu
Re: La justice
Mer 31 Mai - 17:41
Girl Power ! (bon peut-être pas comme ça)
J'aime beaucoup ton texte. Comme a dit Aloy, peut-être beaucoup d'éléments dans certains dialogues.
Mais très bonne histoire.
J'aime beaucoup ton texte. Comme a dit Aloy, peut-être beaucoup d'éléments dans certains dialogues.
Mais très bonne histoire.
Lady_Lian aime ce message
Re: La justice
Mer 31 Mai - 22:37
Merci Sisuki En effet, en relisant, je me suis rendu compte que j'aurais du mettre moins de détail ( j'ai ce soucis de vouloir trop en mettre). En plus, c'est la première fois que j'écrivais une scène policière.
Sisuki aime ce message
- zebulon911
- Messages : 122
Date d'inscription : 07/10/2021
Localisation : pas loin
Re: La justice
Mer 31 Mai - 23:00
Tu es écrit un beau texte
Re: La justice
Ven 9 Juin - 15:05
Merci pour ton texte ! Le rythme est bon, l'idée est intéressante aussi. Tu développes bien le caractère du personnage et l'enquête.
Le défunt était un homme au corps supplicié. : bizarre, fait un peu lourd/redondant
Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, de suite, le glaive gravé grossièrement sur sa joue gauche me sauta aux yeux. : aurait été bien de faire deux phrases je pense.
Une découverte que de toute évidence mes collègues masculins n’avaient pas remarqué. : bizarre, je ne sais pas si on peut ne pas remarquer une découverte.
Dans la balance, se trouve un cœur ensanglanté qui fait pencher d’un côté qui signifie clairement que la personne est coupable. : peut être mieux dit, là fait un peu trop explication
Le faible éclairage donnait une impression encore plus malsaine. : il aurait fallu développer un peu plus la description pour amener cette idée.
Je ressentais de l’angoisse à l’idée que je pourrais perdre mon grade à désobéir aux ordres. : tu nous expliques trop son sentiment, essaie de nous montrer plutôt pour qu'on le ressente
mais je me disais que la mère de la vraie victime avait eu des raisons de faire ça. : n'explique pas forcément. Reste au plus près des émotions/pensées du personnage qui a l'air assez directe.
Merci pour ta participation !
Le défunt était un homme au corps supplicié. : bizarre, fait un peu lourd/redondant
Je bougeai son visage ou du moins ce qu’il en restait, de suite, le glaive gravé grossièrement sur sa joue gauche me sauta aux yeux. : aurait été bien de faire deux phrases je pense.
Une découverte que de toute évidence mes collègues masculins n’avaient pas remarqué. : bizarre, je ne sais pas si on peut ne pas remarquer une découverte.
Dans la balance, se trouve un cœur ensanglanté qui fait pencher d’un côté qui signifie clairement que la personne est coupable. : peut être mieux dit, là fait un peu trop explication
Le faible éclairage donnait une impression encore plus malsaine. : il aurait fallu développer un peu plus la description pour amener cette idée.
Je ressentais de l’angoisse à l’idée que je pourrais perdre mon grade à désobéir aux ordres. : tu nous expliques trop son sentiment, essaie de nous montrer plutôt pour qu'on le ressente
mais je me disais que la mère de la vraie victime avait eu des raisons de faire ça. : n'explique pas forcément. Reste au plus près des émotions/pensées du personnage qui a l'air assez directe.
Merci pour ta participation !
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