La justice

J'ai eu la carte de le Pape, la justice, et l'étoile. J'ai donc choisie la justice, je l'avais déjà posté mais je ne le vois plus dans le forum alors je le repost au cas ou.

13 Octobre 2023

C’est au milieu du mois d’octobre de mon procès avait été déplacé. Cela faisait plusieurs fois qu’il était déplacer. La première fois mon agresseur n’était pas venu. Son avocat avait expliqué que monsieur avait fait un malaise, et donc qu’il n’était pas apte à se défendre. 

La deuxième fois il avait utiliser le même processus, l’avocat a trembler quand le juge avait dit : “La prochaine fois, si il ne vient pas nous nous passerons de lui.”. Alors pour la troisième fois, son avocat avait ramener une lettre du médecin traitant de monsieur. Celle-ci expliquait qu’il avait un soucis au cœur et que nous devions, encore une fois, décaler. 

Malgré sa frustration, le juge avait encore décaler. A chaque fois il gagnait un peu plus, à chaque fois je tombait un peu plus. Les deux dernier procès il était soi au urgence, soi dans les bouchons. 

Je n’y crois plus, la justice sera éternellement brisée, comme mon âme, et comme mon cœur. Je n’ai plus la force d’espéré, mes parents eux le font toujours. Ils espèrent comme au premier jours. 

Mon psy me conseil de continuer à me battre, il me dit qu’il finira par avoir son dû. Comment y croire quand on sait qu’il ne serait jamais jugé ? 

- Elie tu peux descendre s’il te plaît, me demande ma mère. 

Je lui répondis que j’arrive puis sors de mon lit qui c’est transformé en cocon depuis quelques mois. Elle me demanda des papiers pour le procès à venir. Me répétant qu’il ne faut pas que je baisse les bras, et que dans deux jours je serais enfin libéré. 

Ses paroles optimistes me font sourire, mais ça s’arrête à la. Puisqu’elle me répète ça depuis le premier procès. Mais à chaque fois il est quelque part dans la nature. 

Pour me remonter le moral, elle décida de me préparer un goûter de reine pendant que je regarde un Disney. Depuis ma première défaite mon alimentation à changer du tous au tous. Au tout début, je ne supportais plus le simple fait de manger, puis ça c’est transformé et maintenant j’arrive à apprécier le sucré.

Il n’y a pas que cela qui a changer bien sur. Ma mère c’est mise à croire au dieux grecque et a prié Zeus tous les soirs. Mon père lui a recommencé à aller à l’église dont il c’était éloigné. Tandis que moi, j’haïs l’univers pour avoir créé l’injustice. 

...

Le jour du sixième procès est arrivé, ma mère m’aide à me préparer. Elle n’aime pas me laisser seule avant cette évènement attendu. C’est mon père qui nous y conduit, alors que ma mère demande a Zeus que justice soi rendu. 

En arrivant dans la salle d’audience, nous nous mettons comme à notre habitude du côté droit. Ma mère me tient la main, la tête vers le ciel. La salle se remplit peu à peu. Tandis que le groupe de jurés arrive accompagner d’une femme, mais le juge que l’on a eu les cinq procès précédent n’est pas là.

La juge se place, puis demande à faire rentrer l’accuser. Son avocat s’avance, comme à son habitude. Mais cette fois si elle le stop. 

– Où est-il ? Demande-t-elle. 

– Au urgence depuis ce matin, c’est inattendu, il a fait un AVC, rétorque-t-il le plus simplement possible. 

Une habitude au final, il doit surment avoir une carte prenium au urgence vu le nombre de fois qu’il y est. Je commence à remettre mon manteau, je ne m’attendais à rien de toute façon. 

- Nous ferons alors sans lui, affirma-t-elle, ce qui me fît levé la tête, la tête de l’avocat de face de déteriore. 

- Madame la juge, ce n’est pas honette pour mon client, ce n’est pas ça faute s’il n’est pas là. Je vous propose que nous reportions le procès. Juste le temps qu’il se remette de son AVC, tente-t-il de déjouer l’avis de la juge. 

- Nous allons nous entretenir avec les jurés, dit-t-elle en se levant alors que les jurés là suivent. 

L’avocat se réjouie d’avance, pensant avoir faire pancher la balance. Alors que ma mère pensse déjà qu’on a gagner le procès. Les jurés et la juge revienne assez vite.

- Nous ferrons le procès sans lui, il a eu cinq “occasion” de venir, il n’en ai venu à aucune. Alors qu’Elie est toujours venu, cela fait trop longtemps qu’elle attend que justic soi faite. 

L’avocat est dépasser comme s’il pensait que le procès serais déplacer et donc qu’il n’a rien apporter. Plus le temps passe plus je penses que ma théorie est vrai. La juge commença à expliquer les faits qui lui son repprocher. 

- Premièrement je penses qu’il est important de dire que monsieur Guillaume Leroy est l’oncle d’Elie. Celui-ci serait rentrer dans la chambre d’Elie Leroy lorsqu’elle avait 12 ans, il aurait par la suite effectuer des attouchements sur celle-ci, puis serait parti en la menacant de mort si jamais elle en parlait. Elle en a parlé à ses parents 5 ans plus tard puis porter plainte, explique-t-elle. Sachant que monsieur Leroy a déjà été accuser d’attouchement sur mineur dans le passer. Mais les procès non pas aboutient à cause de la pandémie mondial, précise-t-elle. 

L’avocat tente de défendre son client, mais son visage affiche déjà une décéption profonde. Déception qui s’acroit fortement quand le tour est à mon avocate. Celle-ci est réputer pour ses victorieux procès. Elle parle directement aux jurés, elle parle de moi, mon enfance gaché, du poids que j’ai dû porté et de tous le procès reporté.

Lorsque les jurés sont repartie pour effectuer leurs verdictent mon avocate se retourna vers nous. Elle nous expliqua que toutes les chances sont de notre côté.

Le retour des jurés ammène un froid glacial, la juge se lève et émet sont jugement. 

- Monsieur Guillaume Leroy est jugé coupable, dit-t-elle d’un ton grave. 

Je n’entends plus rien, rien n’est plus important. C’est ce que je voulais entendre depuis trop longtemps. La justice est enfin rendu. Mon cœur est enfin apaiser.

Bravo pour ton texte ! Tu as de bonnes idées, de bons réflexes de narration, mais ça manque juste un peu de développement.

C’est au milieu du mois d’octobre de mon procès avait été déplacé. Cela faisait plusieurs fois qu’il était déplacer. : impression que la narration n'avance pas, et avec les répétitions ça accentue cet effet

La deuxième fois il avait utiliser le même processus, l’avocat a trembler quand le juge avait dit : on a trois sujets différents avec trois verbes en peu de lignes.

de monsieur. : donne un ton un peu comique

la justice sera éternellement brisée, comme mon âme, et comme mon cœur. : un peu trop mélodramatique

Puisqu’elle me répète ça depuis le premier procès. : le "puisque" est en trop je pense, fait trop explicatif.

Au tout début, je ne supportais plus le simple fait de manger, puis ça c’est transformé et maintenant j’arrive à apprécier le sucré. : maladroitement dit, les idées sont bonnes mais amenées de manière un peu bancales.

Tandis que le groupe de jurés arrive accompagner d’une femme, mais le juge que l’on a eu les cinq procès précédent n’est pas là. : problème de rythme, mieux vaut clarifier/simplifier les choses

ce qui me fît levé la tête, la tête de l’avocat de face de déteriore. : attention au rythme, les infos ne suffisent pas

L’avocat est dépasser comme s’il pensait que le procès serais déplacer et donc qu’il n’a rien apporter. : mieux vaudrait décrire le comportement de l'avocat et ensuite émettre l'hypothèse qu'il n'a rien emmené, pour faire vivre la scène.

décéption profonde. Déception qui s’acroit fortement : mieux vaut faire vivre la scène, décrire ce qu'il se passe

Merci pour ta participation !

Je n'étais pas présente quand Christelle a fait la bêta lecture de ton texte que j'ai beaucoup aimé et qui me touche particulièrement. C'est vrai que pour la victime il est important d'être reconnue en tant que telle. Personnellement (je suis bien sûr d'accord avec toutes les remarques de Christelle) j'ai trouvé que ton texte représente bien l'attente pesante et assez stressante (même si ça manque effectivement un peu de développement) dans l'attente que justice soit reconnue