Le trésor du siècle
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Ghosto1977- Messages : 30
Date d'inscription : 07/10/2021
Age : 47
Localisation : Rouen
Le trésor du siècle
Dim 25 Sep - 15:59
2 hommes de l’époque antique allument une torche dans le noir absolu, révélant face à eux un long couloir percé dans la « Vallée des rois » et plongeant vers les ténèbres.
« Je te le dis, Adjib, ce tombeau est celui du Roi Djouqed II. On dit de lui qu’il a amassé une fortune considérable en soumettant la population à des impôts terribles, et que cet endroit renferme le « trésor du siècle » ! Nous serons bientôt plus riches que le grand vizir, s’excite un petit homme égyptien chauve.
– Je le souhaite, Gebeb. Soupire son ami, un colosse de grand taille à la peau brune et aux cheveux noirs coupés au bol. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne le sens pas trop.
– Comment ça, nous sommes les premiers à venir ici depuis des siècles. Personne d’autre n’a jamais foulé ce lieu depuis l’enterrement du roi ! »
Comme le petit homme balaye le large conduit sombre de sa torche, un squelette est brutalement révélé par la lumière de la flamme. Son compagnon s’approche du cadavre, et notre qu’il possède un pied de biche ainsi que des outils dans sa main.
« Un pillard… Que disais-tu, Gebeb au sujet qu’on soit les premiers à rentrer ici ?
– Bah, il a peut-être eu un accident. Bizarre, je ne vois pas de pierre qui se soient éboulée ni de piège à portée. Peut-être a-t-il manqué d’air ?
– Alors ouvrons un peu plus l’ouverture de l’entrée. Je n’ai pas envie de suffoquer et de me retrouver face à Osiris et Ammout ! »
Les 2 hommes s’exécutent. Puis, après avoir attendu quelques minutes, ils reprennent leur chemin. Au bout du corridor, une lourde porte de pierre leur bouche soudainement le passage. Gebeb s’empare d’une pioche, et la tend à son ami.
« Allez, tu vas devoir mériter ton salaire, hein !
– Pour ce que tu me payes pour ce fichu travail…
– Allons, cette fois-ci, vu que c’est un gros coup, tu ne vas pas te plaindre ! »
Le petit homme sort une bourse accrochée à la ceinture de son pagne et en extirpe un énorme rubis.
« Le joyau de This, Je l’ai volé dans une tombe royale de Saqqarah. Et, bientôt, il sera à toi ! Mais, d’abord, tu creuses ! »
Mais, à la surprise des 2 hommes, la porte de granit s’ouvre toute seule, révélant une chambre remplie d’or et d’objets précieux. En son centre se trouve un sarcophage.
« Oh, c’est magnifique, je… euh « on » va être richissime, Adjib ! »
Gebeb se précipite vers un immense tas d’or, et en attrape une pelletée. Ses yeux deviennent luisants comme la soif de l’or s’empare de lui. Mais sa joie est de courte durée lorsqu’une voix nasillarde se fait entendre.
« Mes bijoux, qui ose toucher mes beaux bijoux !
– Tu dis quoi,Adjib ? Je n’aime pas ces plaisanteries, alors stoppe tout de suite !
– Mais je n’ai rien dit, moi, s’inquiète son complice. J’ai cru que c’était toi ! »
Le couvercle du sarcophage commence à bouger. Terrifiés, les 2 pillards se reculent. Le cercueil étincelant s’ouvre brutalement, révélant une momie portant un superbe masque funéraire d’or et de lapis-lazuli.
« Mon beau trésor, vous vouliez le voler !
– Une momo.. Une momo… une momie !
– Eh bien, quoi, vous n’avez jamais vu une momie ? Vous êtes très méchant, vous vouliez voler mes beaux bijoux.
– Ah, moi, non, non, non, bredouille le petit homme, c’est lui qui…
– Méchant et menteur, en plus, c’est toi qui as traîné ton ami, ici !
– Bon, eh bien, le trésor de cet endroit n’était pas très intéressant, de toute façon. Je vous laisse, hein tu es d’accord, Adjib ?
– Oui, oui !
– Je veux bien vous laisser partir, mais…
– Mais, quoi, s’inquiète le petit homme.
– Les bijoux, j’aime beaucoup les bijoux. Et, toi, tu as un joli bijou !
– Non, je n’ai rien du tout, moi !
– Bijou, dans ta bourse ! Donne-le-moi, donne-moi bijou !
– Eh, mais ça ne va pas ? Je l’ai volé honnêtement ce rubis !
– Bijouuuuu… Tu sais comment j’ai entassé ce joli trésor au cours des siècles ? Les trois quarts seulement ont été enterrés avec moi, à ma mort. Le reste provient des méchants pillards comme toi. Ou ils me donnent de jolis bijoux, ou ils finissent comme le vilain squelette à l’entrée !
– Ah, c’est comme ça qu’il est mort ?
– C’est comme ça que sont morts des dizaines de vilains brigands qui en voulaient à mon beau trésor !
– Donne-lui le rubis, Gebeb, ou il nous tuera !
– Mais ? Bon, OK, le voilà, votre bijou !
– Oh, merci, il est si joli ! »
Les yeux de la créature semblent s’illuminer sous son masque lorsqu’elle reçoit dans sa main décharnée le rubis jeté, par dépit, par le petit homme.
« Ohhhh, le bijou, il est si beau ! Tu peux partir, maintenant ! Pars, et ne reviens jamais. Enfin, sauf si c’est pour m’apporter à nouveau un joli bijou !
– Ouai, ben, compte là-dessus et bois de l’eau, hein ! Adjib, viens, on s’en va ! »
Les 2 pillards déguerpissent sans demander leur reste, trop heureux d’être encore en vie après leur rencontre avec la momie du Pharaon Djouked II. Mais, avant qu’ils n’aient pu franchir le seuil, la lourde porte se referme devant eux ! Horrifiés, ils sont prisonniers de la chose. Celle-ci lève la tête, en colère, et désigne Gebeb de son index droit.
« Bijoux, tu dois me rendre les bijoux… je n’aime pas les voleurs de bijoux !
– OK, OK, ça va ! »
Le petit homme pousse un soupir, puis ressort de sa poche une poignée d’or et d’objets précieux qu’il avait prélevé du trésor royal, et les remets à sa place.
« L’autre poche, aussi, persifle la momie, rends moi les tous !
– Bon, t’as vraiment l’œil, toi ! »
Dépité, le petit homme s’exécute et la porte se rouvre, cette fois pour de bon.
« Ohhh, mes bijoux, exulte la créature en caressant tendrement le rubis nouvellement acquis. »
Gebeb et Adjib ne devaient plus jamais revenir dans ce sinistre endroit. Mais on dit, qu’un jour, le petit homme aurait donné, sous la pression, la localisation du tombeau maléfique à un de ces concurrents qu’on ne devait plus revoir. Quant à Djouqed II, lui, on dit qu’il a dû faire des aménagements dans son tombeau et se construire plusieurs nouvelles pièces au cours des siècles, afin d’abriter une collection de « bijoux » toujours plus importante !
« Je te le dis, Adjib, ce tombeau est celui du Roi Djouqed II. On dit de lui qu’il a amassé une fortune considérable en soumettant la population à des impôts terribles, et que cet endroit renferme le « trésor du siècle » ! Nous serons bientôt plus riches que le grand vizir, s’excite un petit homme égyptien chauve.
– Je le souhaite, Gebeb. Soupire son ami, un colosse de grand taille à la peau brune et aux cheveux noirs coupés au bol. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne le sens pas trop.
– Comment ça, nous sommes les premiers à venir ici depuis des siècles. Personne d’autre n’a jamais foulé ce lieu depuis l’enterrement du roi ! »
Comme le petit homme balaye le large conduit sombre de sa torche, un squelette est brutalement révélé par la lumière de la flamme. Son compagnon s’approche du cadavre, et notre qu’il possède un pied de biche ainsi que des outils dans sa main.
« Un pillard… Que disais-tu, Gebeb au sujet qu’on soit les premiers à rentrer ici ?
– Bah, il a peut-être eu un accident. Bizarre, je ne vois pas de pierre qui se soient éboulée ni de piège à portée. Peut-être a-t-il manqué d’air ?
– Alors ouvrons un peu plus l’ouverture de l’entrée. Je n’ai pas envie de suffoquer et de me retrouver face à Osiris et Ammout ! »
Les 2 hommes s’exécutent. Puis, après avoir attendu quelques minutes, ils reprennent leur chemin. Au bout du corridor, une lourde porte de pierre leur bouche soudainement le passage. Gebeb s’empare d’une pioche, et la tend à son ami.
« Allez, tu vas devoir mériter ton salaire, hein !
– Pour ce que tu me payes pour ce fichu travail…
– Allons, cette fois-ci, vu que c’est un gros coup, tu ne vas pas te plaindre ! »
Le petit homme sort une bourse accrochée à la ceinture de son pagne et en extirpe un énorme rubis.
« Le joyau de This, Je l’ai volé dans une tombe royale de Saqqarah. Et, bientôt, il sera à toi ! Mais, d’abord, tu creuses ! »
Mais, à la surprise des 2 hommes, la porte de granit s’ouvre toute seule, révélant une chambre remplie d’or et d’objets précieux. En son centre se trouve un sarcophage.
« Oh, c’est magnifique, je… euh « on » va être richissime, Adjib ! »
Gebeb se précipite vers un immense tas d’or, et en attrape une pelletée. Ses yeux deviennent luisants comme la soif de l’or s’empare de lui. Mais sa joie est de courte durée lorsqu’une voix nasillarde se fait entendre.
« Mes bijoux, qui ose toucher mes beaux bijoux !
– Tu dis quoi,Adjib ? Je n’aime pas ces plaisanteries, alors stoppe tout de suite !
– Mais je n’ai rien dit, moi, s’inquiète son complice. J’ai cru que c’était toi ! »
Le couvercle du sarcophage commence à bouger. Terrifiés, les 2 pillards se reculent. Le cercueil étincelant s’ouvre brutalement, révélant une momie portant un superbe masque funéraire d’or et de lapis-lazuli.
« Mon beau trésor, vous vouliez le voler !
– Une momo.. Une momo… une momie !
– Eh bien, quoi, vous n’avez jamais vu une momie ? Vous êtes très méchant, vous vouliez voler mes beaux bijoux.
– Ah, moi, non, non, non, bredouille le petit homme, c’est lui qui…
– Méchant et menteur, en plus, c’est toi qui as traîné ton ami, ici !
– Bon, eh bien, le trésor de cet endroit n’était pas très intéressant, de toute façon. Je vous laisse, hein tu es d’accord, Adjib ?
– Oui, oui !
– Je veux bien vous laisser partir, mais…
– Mais, quoi, s’inquiète le petit homme.
– Les bijoux, j’aime beaucoup les bijoux. Et, toi, tu as un joli bijou !
– Non, je n’ai rien du tout, moi !
– Bijou, dans ta bourse ! Donne-le-moi, donne-moi bijou !
– Eh, mais ça ne va pas ? Je l’ai volé honnêtement ce rubis !
– Bijouuuuu… Tu sais comment j’ai entassé ce joli trésor au cours des siècles ? Les trois quarts seulement ont été enterrés avec moi, à ma mort. Le reste provient des méchants pillards comme toi. Ou ils me donnent de jolis bijoux, ou ils finissent comme le vilain squelette à l’entrée !
– Ah, c’est comme ça qu’il est mort ?
– C’est comme ça que sont morts des dizaines de vilains brigands qui en voulaient à mon beau trésor !
– Donne-lui le rubis, Gebeb, ou il nous tuera !
– Mais ? Bon, OK, le voilà, votre bijou !
– Oh, merci, il est si joli ! »
Les yeux de la créature semblent s’illuminer sous son masque lorsqu’elle reçoit dans sa main décharnée le rubis jeté, par dépit, par le petit homme.
« Ohhhh, le bijou, il est si beau ! Tu peux partir, maintenant ! Pars, et ne reviens jamais. Enfin, sauf si c’est pour m’apporter à nouveau un joli bijou !
– Ouai, ben, compte là-dessus et bois de l’eau, hein ! Adjib, viens, on s’en va ! »
Les 2 pillards déguerpissent sans demander leur reste, trop heureux d’être encore en vie après leur rencontre avec la momie du Pharaon Djouked II. Mais, avant qu’ils n’aient pu franchir le seuil, la lourde porte se referme devant eux ! Horrifiés, ils sont prisonniers de la chose. Celle-ci lève la tête, en colère, et désigne Gebeb de son index droit.
« Bijoux, tu dois me rendre les bijoux… je n’aime pas les voleurs de bijoux !
– OK, OK, ça va ! »
Le petit homme pousse un soupir, puis ressort de sa poche une poignée d’or et d’objets précieux qu’il avait prélevé du trésor royal, et les remets à sa place.
« L’autre poche, aussi, persifle la momie, rends moi les tous !
– Bon, t’as vraiment l’œil, toi ! »
Dépité, le petit homme s’exécute et la porte se rouvre, cette fois pour de bon.
« Ohhh, mes bijoux, exulte la créature en caressant tendrement le rubis nouvellement acquis. »
Gebeb et Adjib ne devaient plus jamais revenir dans ce sinistre endroit. Mais on dit, qu’un jour, le petit homme aurait donné, sous la pression, la localisation du tombeau maléfique à un de ces concurrents qu’on ne devait plus revoir. Quant à Djouqed II, lui, on dit qu’il a dû faire des aménagements dans son tombeau et se construire plusieurs nouvelles pièces au cours des siècles, afin d’abriter une collection de « bijoux » toujours plus importante !
....... et Ginevra aiment ce message
Sayuri.K- Messages : 315
Date d'inscription : 08/10/2021
Age : 28
Re: Le trésor du siècle
Dim 25 Sep - 23:04
Ah génial, une momie qui aime les bijoux et qui les garde précieusement j'ai trop aimé l'idée 
Ça se lit super bien, les dialogues rythment bien ton texte ! On ne va pas lui faire à l'envers au pharaon, il tient les pillards à l'oeil 
Du coup, je pense que le trait de caractère mis en avant c'est le côté cupide de la momie qui veut amasser encore plus de bijoux même après la mort, c'est bien réussi. Simple question que je me suis posé pendant la lecture, les dialogues en italique c'est pour une raison particulière ? Non pas que ça m'a dérangée, mais ça m'a donné l'impression que tes personnages chuchotaient pendant toute la scène, je ne sais pas pourquoi mais c'était assez drôle Bravo à toi au plaisir de lire tes prochains ateliers !
Ça se lit super bien, les dialogues rythment bien ton texte ! On ne va pas lui faire à l'envers au pharaon, il tient les pillards à l'oeil Du coup, je pense que le trait de caractère mis en avant c'est le côté cupide de la momie qui veut amasser encore plus de bijoux même après la mort, c'est bien réussi. Simple question que je me suis posé pendant la lecture, les dialogues en italique c'est pour une raison particulière ? Non pas que ça m'a dérangée, mais ça m'a donné l'impression que tes personnages chuchotaient pendant toute la scène, je ne sais pas pourquoi mais c'était assez drôle Bravo à toi au plaisir de lire tes prochains ateliers ! Ghosto1977 aime ce message
- Ghosto1977
- Messages : 30
Date d'inscription : 07/10/2021
Age : 47
Localisation : Rouen
Re: Le trésor du siècle
Lun 26 Sep - 12:50
Merci. En fait, l'écriture italique après les guillemets est une vieille habitude journalistique que j'ai prise. Dans les articles, on tend à faire ça pour mettre en avant la parole des témoins / interviewés.
AdminAdmin- Messages : 571
Date d'inscription : 03/10/2021
Age : 30 
Re: Le trésor du siècle
Ven 7 Oct - 15:13
Hello ! Bravo pour ton texte ! L'idée est super chouette et je trouve que la momie est bien caractérisée. Le texte se lit bien, mais je pense que tu peux aller un petit peu plus loin dans les émotions que tu cherches à transmettre au lecteur.
2 : deux
l’époque antique : une petite description/mise en ambiance n'aurait pas été de refus.
2 hommes de l’époque antique allument une torche dans le noir absolu, révélant face à eux un long couloir percé dans la « Vallée des rois » et plongeant vers les ténèbres. : tu dis trop de choses dans cette phrase. Prends le temps d'installer l'ambiance.
Dialogues arrangeant pour l'écrivain : tu en dis bcp dès les premiers échanges.
Comme le petit homme balaye le large conduit sombre de sa torche, un squelette est brutalement révélé par la lumière de la flamme. : l'arrivée n'est pas très brutale du coup, je pense que tu rates ton effet à mettre l'élément en deuxième partie de phrase et à rajouter "brutalement".
ils reprennent leur chemin. Au bout du corridor, une lourde porte de pierre leur bouche soudainement le passage. : fais monter la tension. Profite du cadre pour faire intervenir des descriptions, des actions/émotions.
Ses yeux deviennent luisants comme la soif de l’or s’empare de lui. : phrase maladroite
Faire monter la sauce quand le sarcophage s'ouvre + description/action de la momie pendant le dialogue pour donner du rythme à l'échange et introduire ce nouveau personnage
Les yeux de la créature semblent s’illuminer : ne pas réintroduire les mêmes éléments, trouve autre chose.
Horrifiés, ils sont prisonniers de la chose. : phrase maladroite, je vois pas trop de lien logique entre les deux morceaux.
Merci pour ta participation
2 : deux
l’époque antique : une petite description/mise en ambiance n'aurait pas été de refus.
2 hommes de l’époque antique allument une torche dans le noir absolu, révélant face à eux un long couloir percé dans la « Vallée des rois » et plongeant vers les ténèbres. : tu dis trop de choses dans cette phrase. Prends le temps d'installer l'ambiance.
Dialogues arrangeant pour l'écrivain : tu en dis bcp dès les premiers échanges.
Comme le petit homme balaye le large conduit sombre de sa torche, un squelette est brutalement révélé par la lumière de la flamme. : l'arrivée n'est pas très brutale du coup, je pense que tu rates ton effet à mettre l'élément en deuxième partie de phrase et à rajouter "brutalement".
ils reprennent leur chemin. Au bout du corridor, une lourde porte de pierre leur bouche soudainement le passage. : fais monter la tension. Profite du cadre pour faire intervenir des descriptions, des actions/émotions.
Ses yeux deviennent luisants comme la soif de l’or s’empare de lui. : phrase maladroite
Faire monter la sauce quand le sarcophage s'ouvre + description/action de la momie pendant le dialogue pour donner du rythme à l'échange et introduire ce nouveau personnage
Les yeux de la créature semblent s’illuminer : ne pas réintroduire les mêmes éléments, trouve autre chose.
Horrifiés, ils sont prisonniers de la chose. : phrase maladroite, je vois pas trop de lien logique entre les deux morceaux.
Merci pour ta participation
Ginevra- Messages : 155
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Le trésor du siècle
Ven 7 Oct - 16:01
Hello, bravo pour ton texte et ta participation.
J'aime bien l'idée de cette momie qui s'accapare tous les joyaux qu'elle peut soustraire aux pilleurs de tombes et certaines punchlines sont vraiment bien trouvées ("compte là-dessus et bois de l'eau" XD)
Par contre, je suis perplexe devant les répliques de la momie. Je les trouve un peu trop enfantines.
Au niveau de la forme, j'ai tiqué plusieurs fois sur le chiffre 2.
Bravo pour ta participation
J'aime bien l'idée de cette momie qui s'accapare tous les joyaux qu'elle peut soustraire aux pilleurs de tombes et certaines punchlines sont vraiment bien trouvées ("compte là-dessus et bois de l'eau" XD)
Par contre, je suis perplexe devant les répliques de la momie. Je les trouve un peu trop enfantines.
Au niveau de la forme, j'ai tiqué plusieurs fois sur le chiffre 2.
Bravo pour ta participation
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