Ma fille, l'amour de ma vie!

Attention les âmes sensibles pourraient être choquées par cette daube .... !
Désolé par avance des fautes d'orthographes  

Les cris de ma fille me firent sortir de ma torpeur. Malgrés mes yeux ouvert, il faisait toujours aussi noir. Mes pieds et mes mains étaient attaché par des cordes, à chaque mouvement, ma peau se tordait. Le sols était froid et l'air humide. 

 Les dernières minutes me revinrent en mémoire, je me promenais dans la rue. Une personne nous a attaqué par-derrière. En voulant protéger ma fille, l’agresseur m’a mis un violent coup de batte de baseball.

Ma fille hurlait de plus en plus fort. 

- Marie ! Marie ! Ma fille !

Mes appels stoppèrent les bruits d'agonies, des pas lourds venait dans ma direction.

Notre kidnappeur était juste devant moi, sa main me saisit la gorge, me forçant à me mettre à sa hauteur. Son odeur me fit faire une grimace, un mélange de sueur, de renfermer et de sang.

- Tu es enfin réveiller ! Je commençais à m’ennuyer avec ta fille !

-HHHHHAAA, m'égosillai-je avec force.

Les pieds dans le vide, sa main serrai ma gorge, impossible de respirer. C’est le seul son que je réussis à sortir.

- Oups, je ne vais pas te tuer toute suite ! J’ai envie de m'amuser avant !

Je retrouvais le contact du sol avec soulagement, sa main se desserra légèrement. J’avais du mal à reprendre mon souffle, toussais à plusieurs reprises.

- Ne touche pas à ma fille !

-Sinon quoi ? Tu vas me frapper ! Non, mieux appeler la police ! Ma belle, tu n’es pas en position de force !

Il pressa son corps sur le mien. Sa transpiration tacha mes vêtements. Je sus qu'il s'agissait d'un homme. 
Une porte s’ouvrit, l’homme me poussa devant lui.

- Avance !

Mes pas tous petits l'énervait, les cordes à mes chevilles trop serrées me lacérerai la peau. Je devais serrer les dents à chaque pas. Le sol était doux et plus chaud que dans l'autre pièce. 

- Marie ! Réponds moi s’il te plaît! Marie, hurlais-je.

Le silence m’horrifiait, ma fille était elle déjà morte ? Tuer par ce monstre ? Entre deux de mes appels, sa respiration m’était insupportable.

- Vous l’avez tuer ! Je veux savoir !

Malgré ma voix tremblante, savoir était ma seule raison de vivre, car sans ma fille a quoi bon se battre pour vivre.

- Peut-être ! Rigola-t-il à mon oreille.

Ce monstre, cette ordure avait tué ma fille. Prie par le désespoir, je fis volte-face avec rage.

- Tout doux, m’ordonna-t-il avec une petite tape sur la joue.

Il replaça sa main sur mon cou, et m’embrassa à pleine bouche. Son haleine putride me donnait la nausée. Il émit de nombreux mhhh, pendant qu’il me dévorait la bouche.

Je restais là à attendre que cela finisse, souhaitant que la mort me libéra, priant de toutes mes forces qu’elle ne se fasse pas attendre.

Il me forçait à reculer, et me fit tomber sur un lit. Il se coucha sur moi, et se frotta sur ma jambe tel un chien.

Des bruits se rapprochèrent, des voix fortes, une personne tappa fort à la porte, ce qui fit se relever l’homme.

La porte se brisa avec un fracas assourdissant. Incapable de bouger, j’essayais de deviner qui était les nouveaux venus.

-Police ! criaient plusieurs voix. Lâcher votre couteau !

Plusieurs coups sont tirés et du sang me dégouline dessus. J’en ai plein dans la bouche, c’est dégueulasse.

Un des nouveaux venu m’aida à m’asseoir, et me libèra rapidement de mes liens et de mon bandeau. Je suis éblouie par toute cette lumière. Après quelques secondes, je me trouvais dans une belle chambre rose, typiquement princesse. Le policier me regarde avec compassion.

- Ma fille ! Où est ma fille ?

- Je suis Fabien. Des collègues fouillent la maison. Nous sommes désolées, mais nous avons peu d’espoir. Emmanuel Fear était recherché depuis plusieurs années notamment pour kidnapping, meurtre d’enfants et de leurs mères. 

Je ne me sentais pas soulagé, ma fille était surement morte.

Je regardais partout, autour de moi, une vraie chambre de petite fille. Je l’avais entendu depuis un endroit froid et humide… la salle de bain.

-On a rien trouvé ! Personne ! Dis l’un des policiers.

- Elle ne peut pas être loin ! Il faut fouiller la pièce!, m'affolais je

Les quatres policiers s’affairent, je me contentais de glisser sur la moquette. Ma main toucha du bois.

-Il y a quelque chose sous le lit, comme une boîte.

Fabien revient vers moi, vis le tour du lit. Il tira une poignée à ma gauche.

-Je l’ai trouvé !

Mes jambes me firent trébucher quand je me précipitai, et découvrit le corps sans vie de ma fille, complètement dénudée. Son petit corps recouvert de plais.

-NNNNOOOOONNN, hurlai je de tout la force de mes poumons.

Bravo pour ton texte !

Bravo pour ton texte ! Tu y abordes des thématiques pas simples, tu alternes bien les dialogues et la narration.
Si je peux me permettre, fais attention à tes accords, change par un verbe du 3ème groupe si tu n'es pas sûre qu'il s'agisse d'un infinitif ou d'un participe passé, il n'y a pas de honte à utiliser ces petites techniques faciles, moi-même je m'en sers quand j'ai un doute.
Aussi, attention ici: "Une personne nous a attaqué par-derrière. En voulant protéger ma fille, l’agresseur m’a mis un violent coup de batte de baseball.". Si je ne dis pas bêtises (corrigez-moi les autres si j'en dis), on n'utilise pas le passé composé dans un texte au passé, parce que ça marque une antériorité par rapport au présent. Mais j'avoue que manquer l'antériorité dans un texte au passé à coups de plus-que-parfait voire de passé antérieur peut être très lourd.
Si on comprend bien qu'il s'agit d'une scène antérieure à l'action, je crois que tu peux laisser imparfait/passé simple, mais pas sûre du tout.

Merci Michi pour ton commentaire et ta lecture.
J'aurais aimé aller plus loin dans ces thématiques, mais j'avais peur de trop choqué.

Désolé, j'essaie de corriger un maximum mes fautes d'orthographe, mais j'ai envie de donner un texte qualitatif (aux vues du temps donné). C'est compliqué de voir toutes les erreurs (pour moi).
Je connaissais cette astuce mais un rappel ne fait jamais de mal!

Les temps à utiliser dans un texte c'est quelque chose que je dois approfondir. Je ne fais pas spécialement attention aux temps employés. Je pense que tu as raison, j'aurais du utiliser le plus que parfait: Une personne nous avait attaqué par-derrière. En voulant protéger ma fille, l’agresseur m’avait mis un violent coup de batte de baseball.
Je trouve pas que cela fasse lourd, même si un peu pédant XDD

Une scène pas facile à aborder, mais tu as plutôt bien réussi ton coup je trouve. Je rejoins Michi sur les commentaires qu'elle t'a adressé, je rajouterai également que la mort de l'enfant est assez éludée au final vu qu'on ne la retrouve qu'à la fin du texte mais c'est compliqué d'organiser toutes ses idées en 1h30 et c'est la spécialiste des textes pas finis qui te dit ça crois-moi je parle par expérience Tu as mis l'accent sur la détresse de la mère et sur sa panique, du coup les émotions passent bien quand même et les dialogues sont bien rythmés. Bravo à toi !

Dur dur ce genre de choses. Au début, mon esprit habitué au sanglant et au pervers pensait que le type allait torturer et tuer la fille devant la mère... Mais non ^^" Et tant mieux, peut-être ^^"
J'ai beaucoup aimé en tout cas ^^

Merci Sayuri pour ton commentaire ! J'aurai voulu approfondir ! Si j'avais eu à écrire ce passage dans un manuscrit, je ferai durée la scène plus longtemps et bien sur avec plus de torture. J'ai eu peur de trop choqué en détaillant ce que la mére et sa fille aurait subir.
J'essaie de sortir le meilleur de moi en 1h30, pour progresser... j'espère voir une réelle amélioration au fils des ateliers.

Merci Lupinae pour ton commentaire ! J'avais peur de choquer si j'y allais à fond ... avec le kidnappeur qui agresse sa mére pendant qu'il l'oblige à regarder les vidéos de différentes tortures dont celle de sa fille. J'aurai laisse sa fille en vie sous le lit entendant tout.

J'ai redécouvert mon goût pour le gore et le tash durant l'atelier XD

Hey ! Bravo pour ton texte ! J’ai beaucoup aimé et pendant un moment j’en avais presque oublié que quelqu’un devait mourir et j’espérais comme la mère que la fille était vivante alors bravo !
Je m’attendais à ce que ce soit la fille que l’on voit mourir alors quand Emmanuel meurt je n’ai pas tout de suite compris que c’était lui que l’on voyait mourir. Je pense que la mort de ce personnage est un peu trop éludé et que les sentiments de la mère sur la mort d’Emmanuel sont un peu trop rapide. Les sentiments de la mère sont peut-être trop tournés sur sa fille.

Sinon très beau texte pour seulement 1 h 30 ! Encore bravo !

Merci Ambre_Roise pour ton commentaire !
"J’en avais presque oublié que quelqu’un devait mourir" c'est une super compliment
La mére va s'occuper plus de sa fille que d'un schtroumpf qui meurs. J'ai aussi éludé sa mort par manque de temps.

Bravo pour ton texte! Ce sont des thématiques assez lourdes et je trouve que tu les abordes avec justesse.
Effectivement, quelques fautes d'orthographe mais ça se corrige quand on retravaille le texte.
J'ai juste quelques remarques:

"Malgré ma voix tremblante, savoir était ma seule raison de vivre, car sans ma fille a quoi bon se battre pour vivre."
Je pense qu'on aurait pu s'arrêter à "savoir était ma seule raison de vivre" pour que ce soit plus percutant.

Et une question réaliste: quelqu'un qui s'étrangle ne peut pas crier. C'est pour ça qu'en premier secours, il est conseillé de considérer quelqu'un de silencieux comme particulièrement grave.

Je trouve l'ensemble vraiment bon en tout cas^^

Merci Ginevra pour ton commentaire !
J'aimerais quand même travailler pour limiter les fautes d'orthographe dès le 1er jet.

Certes plus percutant, mais j'avais envie de mettre l'accent dessus: que sa fille était sa raison de vivre ... et sans elle à quoi bon vivre ...

Merci pour ton information , je ne savais pas. C'est la manière la plus simple que j'ai trouvé pour attirer l'attention du ravisseur. Elle aurait dû plutôt se débattre et essayer de le frapper

Moi, j'ai pas lu parce que tu avais mis une alerte âme sensible. Mais j'ai mis un like pour saluer cette bonne initiative. Je crois que tu es la seule à l'avoir fait (pourtant y'en a des textes traumatisants dans l'atelier). C'est vraiment cool de ta part.

Hello !
Bravo pour ton texte, quel thème difficile omg...
Il y a déjà eu beaucoup de super commentaires, personnellement, ce qui m'a le plus dérangé c'est que le décès de l'enfant est au final assez éludé puisqu'on la retrouve qu'à la fin. Le hic étant, avec cette stratégie, c'est que je n'ai pas réussi à être vraiment plongée dans l'émotion de la mort du personnage. En revanche, tout ce qui précède m'a bien donné les images et le dégoût du kidnappeur.
Voilà, merci et bravo encore =D

Merci Rynn pour ton commentaire ! Je comprend ton ressenti

Hello ! Bravo pour ton texte ! l'idée est chouette, mais je pense qu'il y a des petites maladresses qui empêchent d'être plongé dans la scène.

firent sortir: sortirent

Le sols était froid et l'air humide. : je pense que c'est dommage de caler une phrase de description à la fin du paragraphe, et de pas développer ni amener ça d'une manière particulière. ça fait un peu cheveu sur la soupe

Les dernières minutes me revinrent en mémoire, je me promenais dans la rue. Une personne nous a attaqué par-derrière. En voulant protéger ma fille, l’agresseur m’a mis un violent coup de batte de baseball. ; je pense que l'explication peut être rendue plus vivante tout en donnant le ton de la scène. Le fait qu'elle ait mal au crâne, que ça l'empêche de bien se souvenir, qu'elle revive ça par flashs... ça aurait mieux fonctionné je pense.

-HHHHHAAA / mhhh : attention aux onomatopées, ça nous sort un peu du récit.

Je retrouvais le contact du sol avec soulagement, sa main se desserra légèrement. : je pense que c'est l'inverse non ? Il la la lâche alors elle retrouve le sol.

Je sus qu'il s'agissait d'un homme. : avec la voix, elle devait déjà avoir une idée non ?

savoir était ma seule raison de vivre, car sans ma fille a quoi bon se battre pour vivre. : je pense que la phrase nous fait sortir de la scène. En tant que lecteur on préfère ressentir ce genre de chose plutôt que la narration essaie de nous le résumer.

Des bruits se rapprochèrent, des voix fortes, une personne tappa fort à la porte, ce qui fit se relever l’homme. : attention au rythme dans les phrases, là ça fait bcp d'actions qui s'enchaînent dans une même

dans une belle chambre rose, typiquement princesse. : maladroitement dit

Merci pour ta participation !