Fuyez, pauvres fous !
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- Nilerm
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Date d'inscription : 27/02/2022
Localisation : La Conté ... Saquet
Fuyez, pauvres fous !
Sam 28 Oct - 22:40
Allongé sur le lit de l'Auror Motel, j'écoutais les tapotement de la pluie. Je broyais du noir dans cette nuit sombre et humide. Demain sera sans doute moins lugubre. Soudain un cris retentit dans le couloir. Je retomba dans mon lit et écoutait un instant, mais je n'entendais que mon cœur battre dans mes tempes. Alors j'ai décidé d'aller voir.
J'ai passé ma tête dans le couloir, déclenchant l'allumage automatique de la lumière. Enfin, surtout du coté droit. À gauche l'ampoule clignotait de manière aléatoire. Rien à droite … à gauche j'ai fini par apercevoir une silhouette qui s'enfuyait.
Je me lança à sa poursuite. J'aurais pensé que c'était un homme si ça ne poussait pas des grognements de chien. Qu'est-ce que c'était que cette histoire ? Tandis que je m'engouffrais dans l'escalier à la suite de cette chose, de nouveaux cris se sont mis à résonner. Plus que ça : des bruits de lutte.
On a débaroulé dans la salle de réception, le truc a piétiné un corps étendu pour se jeter sur un gamin. Plus loin, une femme tenait en respect une autre de ces choses en agitant un long couteau. Derrière le comptoir se cachait une petite fille. Je pourrait peut-être la tirer de là.
Je fondis derrière le comptoir et agrippa son bras. Elle poussa alors un hurlement assourdissant. Puis un silence complet s'abattît dans la pièce. Les trois monstres s'avançais vers nous, toujours en poussant leurs grognements bestiaux. De grandes silhouettes aux yeux rouges et aux longues canines.
Bordel !
Mais depuis quand ça existe les vampires ?
Et ils sont trois. Entre moi et la sortie. Et il fallait que j'entraine la gamine avec moi.
-Bon … on fonce dans le tas. On joue le tout pour le tout et on sort de ce merdier.
-Heu … ok.
J'espérais que mon couteau la rassurait autant que moi. Je lui ai pris la main et j'ai surgit devant les monstres. J'ai attaqué le premier à la gorge,
J'ai passé ma tête dans le couloir, déclenchant l'allumage automatique de la lumière. Enfin, surtout du coté droit. À gauche l'ampoule clignotait de manière aléatoire. Rien à droite … à gauche j'ai fini par apercevoir une silhouette qui s'enfuyait.
Je me lança à sa poursuite. J'aurais pensé que c'était un homme si ça ne poussait pas des grognements de chien. Qu'est-ce que c'était que cette histoire ? Tandis que je m'engouffrais dans l'escalier à la suite de cette chose, de nouveaux cris se sont mis à résonner. Plus que ça : des bruits de lutte.
On a débaroulé dans la salle de réception, le truc a piétiné un corps étendu pour se jeter sur un gamin. Plus loin, une femme tenait en respect une autre de ces choses en agitant un long couteau. Derrière le comptoir se cachait une petite fille. Je pourrait peut-être la tirer de là.
Je fondis derrière le comptoir et agrippa son bras. Elle poussa alors un hurlement assourdissant. Puis un silence complet s'abattît dans la pièce. Les trois monstres s'avançais vers nous, toujours en poussant leurs grognements bestiaux. De grandes silhouettes aux yeux rouges et aux longues canines.
Bordel !
Mais depuis quand ça existe les vampires ?
Et ils sont trois. Entre moi et la sortie. Et il fallait que j'entraine la gamine avec moi.
-Bon … on fonce dans le tas. On joue le tout pour le tout et on sort de ce merdier.
-Heu … ok.
J'espérais que mon couteau la rassurait autant que moi. Je lui ai pris la main et j'ai surgit devant les monstres. J'ai attaqué le premier à la gorge,
Emma Jynn, ninja-janine et ladyhana aiment ce message
- ladyhana
- Messages : 42
Date d'inscription : 24/02/2023
Re: Fuyez, pauvres fous !
Dim 29 Oct - 13:10
Ton texte se lit bien c'est pas mal du tout ! En effet on est direct plongé dans l'action, et j'ai bien aimé les réactions un peu "ironiques" du personnage. Notamment le "Bordel mais depuis quand ça existe les vampires" ou "Qu'est ce c'était que cette histoire" . Je ne sais pas si c'était le ton voulu, mais ça donnait une personnalité au personnage. En revenche, un petit quelque chose m'a empêchée d'être totalement emporté. Tu nous plonge effectivement immédiatement dans l'action sauf que... Des fois j'ai eu l'impression que tu décrivais uniquement la scène sans prendre en compte le ressenti du perso.
" Plus loin, une femme tenait en respect une autre de ces choses en agitant un long couteau. Derrière le comptoir se cachait une petite fille. Je pourrait peut-être la tirer de là." ce passage notamment... c'est juste une description de ce que le perso voit. Et ces émotions ? Qu'est-ce qu'il ressent il a peur ? OK il voit cette petite fille et veut la sauver mais il ne prend aucun temps pour analyser la situation, pour se questionner (que lui est il arrivé à cette petite fille ? Pourquoi est elle seule ?) ou même hésiter à la marche à suivre. Il peut être courageux mais je trouve pas très crédible qu'il n'est même pas un instant d'hésitation... Pareille pour la femme au couteau tu décris ce que le perso voit et pas ce qu'il ressent. La petite fille non plus n'a pas trop d'émotions, à la fin quand le perso lui explique son plan elle ne réagit pas trop (elle pourrait trembler de peur, être paralysée, s'accrocher à son sauveur etc...).
Alors oui des fois comme je le disais plus haut il y a des petites touches ironiques que j'ai apprécié mais à certains passages ça manque un peu d'émotions je trouve... Après bien sûr c'est un texte d'atelier j'ai conscience que tu n'avais pas le temps de tout développer
Voilà ^^ Texte sympathique en tous les cas
" Plus loin, une femme tenait en respect une autre de ces choses en agitant un long couteau. Derrière le comptoir se cachait une petite fille. Je pourrait peut-être la tirer de là." ce passage notamment... c'est juste une description de ce que le perso voit. Et ces émotions ? Qu'est-ce qu'il ressent il a peur ? OK il voit cette petite fille et veut la sauver mais il ne prend aucun temps pour analyser la situation, pour se questionner (que lui est il arrivé à cette petite fille ? Pourquoi est elle seule ?) ou même hésiter à la marche à suivre. Il peut être courageux mais je trouve pas très crédible qu'il n'est même pas un instant d'hésitation... Pareille pour la femme au couteau tu décris ce que le perso voit et pas ce qu'il ressent. La petite fille non plus n'a pas trop d'émotions, à la fin quand le perso lui explique son plan elle ne réagit pas trop (elle pourrait trembler de peur, être paralysée, s'accrocher à son sauveur etc...).
Alors oui des fois comme je le disais plus haut il y a des petites touches ironiques que j'ai apprécié mais à certains passages ça manque un peu d'émotions je trouve... Après bien sûr c'est un texte d'atelier j'ai conscience que tu n'avais pas le temps de tout développer
Voilà ^^ Texte sympathique en tous les cas
ninja-janine aime ce message
Re: Fuyez, pauvres fous !
Mar 14 Mai - 12:46
Hello !
Bravo pour ton texte ! c'est un plaisir de te retrouver ton ton ironique dans la narration
Je rejoins Ladyhana concernant le manque de ressenti du personnage. Le texte se lit bien, mais il nous manque cette connexion avec le héros. Là, c'est un débrief des actions et de ce qu'il se passe, un peu plus d'émotions serait chouette
Bravo à toi tout de même !
Bravo pour ton texte ! c'est un plaisir de te retrouver ton ton ironique dans la narration
Je rejoins Ladyhana concernant le manque de ressenti du personnage. Le texte se lit bien, mais il nous manque cette connexion avec le héros. Là, c'est un débrief des actions et de ce qu'il se passe, un peu plus d'émotions serait chouette
Bravo à toi tout de même !
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