Dans une grotte

Texte de l’atelier du 30 juillet 2023

Qu’est ce qui ce passe pourquoi est ce que mon corps est si douloureux, quelque chose coule sur mes jambes. Etendu sur un sol froid et dur, ne sachant pas ou je me trouve, je commence à paniquer
— Ho ! mon dieux, je hurle en me rendant compte que je ne voie rien et que je ne suis plus dans mon lit.

Pour comprendre de ce qui ce passe et quel est cet endroit, je pose mes mains là ou sa coule. Ce que je touche me semble poisseux, plutôt tiède et possède une odeur de fer, trois élément caractéristique qui me fon penser qu’il s’agit de sang, mais qu’il ne coule pas de façon abondante, c’est juste une blessure.

Connaissant maintenant mon état physique, je me concentre pour en apprendre plus sur mon environnement, il ne semble pas y avoir de vent, mais il fait plutôt frais, je pense me trouver dans un endroit clos ou suffisamment grand pour ne pas que le vent atteigne cette la partie ou je me trouve.

En me levant, je m’aperçois que quelqu’un m’a habillé, parce que je porte une paire de chaussure un T-shirt et un pull. Est-il possible qu’en plus de la vue, ma mémoire me fasse défaut. Espérons que non. Pour l’instant, pas le temps de me préoccuper de ça

Mes pas sur le sol résonnent, donc la pièce doit être vide ou très spacieuse. Le sol sur lequel je progresse ne me parait pas plat, ça fait comme des vague. C’irrégularité me fait penser à de la terre. En y réfléchissant il je pense me trouvé dans une grotte.

Les mains devant moi pour protéger mon visage, je progresse lentement par peur de trébuché, de louper une marche ou je ne sais quoi d’autre. Au bout de quelque instant mes main percutent quelque chose de dur, d’effrité et de froid, peut être un mur de pierre ou de roche. En levant les mains le plus haut possible tout en sautant sur place, je me rends compte qu’il s’agit effectivement de quelque chose de bien plus grand que moi. En tous cas je n’en atteins pas le bord.

Ayant trouvé un appui en même temps qu’un repère, je décide de suivre ce mur tout en ne sachant absolument pas si la direction choisit me conduira ver la liberté ou ver la mort.

Ça fait, me semble-t-il une trentaine de minute que je me suis réveillé dans cette endroit inconnu et la bonne nouvelle s’il en fallait une c’est que mon corps ne me fait plus souffrir et que le sang c’est arrêté de couler, par conséquent ma progression est plus simple.

Un peut après avoir commencé à suivre ce mur un bruit d’eau qui tombe en cascade parvient à mes oreilles. Au fur et à mesure de ma progressassions, ce bruit perçu au départ comme un murmure est de plus en plus fort et par conséquent plus proche. Maintenant que j’ai la certitude qu’il s’agit d’une énorme cascade d’eau, il me faut faire attention à ce que le sol sur lequel je progresse ne se rétrécisse pas et ne devienne pas glissant.
Des gouttelette d’eau glacée finissent par me tomber sur la tête et un vent particulièrement froid me fait frissonner et ébouriffe mes cheveux. Conscientes de ce qui peut arriver, mes jambes se mettent à trembler, mes pats se font plus lents, plus hésitant. Je progresse toujours, avec le plus de prudence possible. L’eau es plus proche que jamais, une sortie me semble de plus en plus envisageable lorsque soudain mon pied droit percute quelque chose de dur non identifiable et c’est la chute. Une chute longue, très longue, interminable. C’est donc la dans cette endroit, cette grotte inconnue que je vais mourir.

Hello, voici mon retour ! Tout ce que je ne commente pas, j'aime bien. Faut pas se formaliser, le but de l'exercice est de se faire critiquer, l'important c'est d'avoir écrit et d'oser se soumettre aux critiques ! Je ne commente pas l'orthographe étant nul au possible

> Qu’est ce qui ce passe pourquoi est ce que mon corps est si douloureux, quelque chose coule sur mes jambes. Etendu sur un sol froid et dur, ne sachant pas ou je me trouve, je commence à paniquer

Je trouve l'enchaînement bizarre. La première phrase semble être une pensée, le début de la deuxième semble être un narrateur et la fin de nouveau une pensée/reflexion. Je remplacerais "Etendu sur un sol froid et dur" par "Le sol est aussi froid et rigide qu'un cadavre" pour donner du dramatique ou simplement "Le sol est d'une dureté et d'une froideur qui me prend aux tripes, je ne sais pas où je suis. Les palpitations viennent, je panique". Comme ça n a une transition des pensées logique.

> Je pose la main où ça coule

Ca sort un peu de nul part. Tu peux introduire par "Je sens un liquide couler sur ma cuisse, j'y pose ma main pour comprendre ce que c'est" par exemple

> Connaissant

Tu utilises pourquoi les participes présents, c'est vu comme une lourdeur et un défaut d'écriture (j'ai le même), essaie de faire attention. Ici on est dans la tête du personnage, tu peux te permettre plus de liberté et de familiarité : "Ok, je connais mon état, c'est pas catastrophique mais il faudra comprendre comment je me suis blessé". C'est moins soutenu que ton texte, en même temps nos pensées ressemblent plus à ça que de la prose lyrique

> En me levant, je m’aperçois que quelqu’un m’a habillé, parce que je porte une paire de chaussure un T-shirt et un pull. Est-il possible qu’en plus de la vue, ma mémoire me fasse défaut. Espérons que non. Pour l’instant, pas le temps de me préoccuper de ça

C'est bien ! Tu peux pousser l'idée en rendant encore plus dynamique la phrase, j'aime bien la base !

> par conséquent ma progression est plus simple.

Pas besoin de le dire, la description est là pour montrer : "show don't tell" (montre mais ne dis pas)

La fin est bien, même si elle est attendue. C'est un texte d'atelier, pas besoin de trop s'embêter avec.


Globalement, tu as tendance à trop dire ce qu'il se passe et ne pas le montrer. Et même quand tu le montres, tu le dis au cas où on ait pas compris. Autre point que j'ai pas abordé, l'orthographe et la grammaire. Je suis très indulgent avec et ne t'en tient pas rigueur, mais d'autres le feront. Je sais pas avec quoi tu écris mais il existe pleins d'outils pour avoir une orthographe correcte et ne pas écrire des mots comme "progressassions".

Bon courage pour la suite !

Bravo pour ton texte ! l'idée est chouette et tu amènes de bons éléments, fais juste attention à ne pas trop montrer/expliquer les situations. Provoque l'action, sois attentif aux éléments entourant le personnage et n'hésite pas à utiliser le monologue intérieur.

Qu’est ce qui ce passe pourquoi est ce que mon corps est si douloureux, : Qu’est ce qui ce passe ? pourquoi est ce que mon corps est si douloureux ? -> attention aussi à mieux ordonner les idées pour le premier paragraphe.

Pour comprendre de ce qui ce passe et quel est cet endroit / Connaissant maintenant mon état physique, je me concentre pour en apprendre plus sur mon environnement, : pas la peine d'expliquer au lecteur, il comprend très bien

Ce que je touche me semble poisseux, plutôt tiède et possède une odeur de fer, trois élément caractéristique qui me fon penser qu’il s’agit de sang, mais qu’il ne coule pas de façon abondante, c’est juste une blessure. : en deux phrases avec une structure claire passerait mieux je pense

merci pour ta participation !