- FireStromm
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Date d'inscription : 29/01/2023
Découverte urbaine
Dim 29 Jan - 16:17
Bonjour, les miettes, je sais pas trop ce que ce texte vaut j'ai fait au mieux (première participation aux ateliers) ! Désolé pour les fautes d'orthographes, j'espère qu'il n'y en a pas trop J'ai pris la photo cyberpunk (mais je n'y connais rien)
Les ombres des immenses tours engloutissaient les quartiers plus bas dans leur noirceur. À la nuit tombée, il ne restait que quelques luminaires grésillants pour éclairer les rues des quartiers malfamés. Mais, comme un papillon de nuit, Gilts était attiré par la lumière de ce qui se trouvait au-dessus de lui. La tête haute, les yeux rivait sur ses étoiles, il marchait en observant les millions de fenêtres colorés et hologrammes qui se trouvaient au-dessus de lui. Les voitures passaient sur des routes invisibles, des passerelles se dépliaient et se rétractaient entre les gratte-ciel dont les façades affichaient des publicités mouvantes. Les gens, de toutes les couleurs et de toutes les formes marchaient, chantaient et dansaient comme s’ils étaient seuls au monde.
Un bruit assourdissant le ramena pourtant plus bas. Le train venait de passer sur les rails magnétiques à côté de lui. Ici, on ne mangeait que les miettes du luxe et de l’opulence qui avait lieu plus haut.
Les habitants le fixaient, se retournant sur son passage, de plus en plus intriguaient par sa présence. S’il avait baissé les yeux, il aurait même pu voir ce qu’ils cachaient, peu habilement : des poings américains, des neuf millimètres, ou tout autre objet contondant capable de tenir dans une poche. Gilts savait exactement ce qui posait problème. Les 6 bras et 8 jambes qu’il avait croisés depuis son arrivé dans le quartier l’avaient aidé à deviner. Sa tenue ? Non, c’était du classique, noir et suffisamment chaud pour survivre à l’hiver glacé qu’il y avait en dehors de cette ville. Ses cheveux ? Peu probable, avoir les cheveux blancs étaient certes peu répandu, mais pas au point d’attiser la haine de toute une frange de la population. Non. Le vrai problème était son regard, un peu trop électrique. Et si les prothèses remplient de sang séché ne l’avaient pas aidé à deviner leur animosité envers les cyborgs alors les tags et affiches sur les murs auraient fait le travail : des implants barrés, des primes marqué « mort ou vif », des insultes écrites en lettre de sang. La définition même d’un accueil chaleureux.
Gilts se reconcentra sur son environnement, il ne se sentait pas en danger mais il voyait bien que le nombre de paires d’yeux sur lui s’était démultiplié et qu’à chaque passage devant une rue de nouvelles apparaissaient. L’ambiance était charmante : le nombre d’ivrognes au mètre carré semblait être le fait d’un élevage intensif des bars du coin, qui, non-content de se faire de l’argent sur le dos de miséreux qui ne trouvait leur rédemption que dans l’alcool, semblait aussi s’en faire en vendant les charmes des jeunes filles de leur quartier. Comme en témoignait les panneaux plus qu’explicites et animés, qu’on pouvait voir à chaque tournant. Cet endroit rassemblait toute la misère humaine, et les pires raclures que la terre eut un jour porté. L’alcool, le proxénétisme, les meurtres, ... Tous ces vices servaient à nourrir des réseaux qui se faisaient de l’or sur le dos de la pauvreté.
Un groupe de bikers, armes bien visibles, finit par déraper devant lui, l’arrêtant les deux pieds dans l’eau.
« Alors mon beau, on s’est perdu ? C’est pas le bon endroit pour les gars comme toi ici.»
Gilt daigna poser le regard sur celui qui venait de lui parler, mais ne lui répondit pas.
« Comme tu veux. » Et il pointa son fusil sur lui. Il ne fallut qu’une fraction de seconde pour qu’un trait rouge émanant de l’œil de Gilt, parte en direction des jeunes hommes. Et une de plus pour que sa tête roule au sol.
Les ombres des immenses tours engloutissaient les quartiers plus bas dans leur noirceur. À la nuit tombée, il ne restait que quelques luminaires grésillants pour éclairer les rues des quartiers malfamés. Mais, comme un papillon de nuit, Gilts était attiré par la lumière de ce qui se trouvait au-dessus de lui. La tête haute, les yeux rivait sur ses étoiles, il marchait en observant les millions de fenêtres colorés et hologrammes qui se trouvaient au-dessus de lui. Les voitures passaient sur des routes invisibles, des passerelles se dépliaient et se rétractaient entre les gratte-ciel dont les façades affichaient des publicités mouvantes. Les gens, de toutes les couleurs et de toutes les formes marchaient, chantaient et dansaient comme s’ils étaient seuls au monde.
Un bruit assourdissant le ramena pourtant plus bas. Le train venait de passer sur les rails magnétiques à côté de lui. Ici, on ne mangeait que les miettes du luxe et de l’opulence qui avait lieu plus haut.
Les habitants le fixaient, se retournant sur son passage, de plus en plus intriguaient par sa présence. S’il avait baissé les yeux, il aurait même pu voir ce qu’ils cachaient, peu habilement : des poings américains, des neuf millimètres, ou tout autre objet contondant capable de tenir dans une poche. Gilts savait exactement ce qui posait problème. Les 6 bras et 8 jambes qu’il avait croisés depuis son arrivé dans le quartier l’avaient aidé à deviner. Sa tenue ? Non, c’était du classique, noir et suffisamment chaud pour survivre à l’hiver glacé qu’il y avait en dehors de cette ville. Ses cheveux ? Peu probable, avoir les cheveux blancs étaient certes peu répandu, mais pas au point d’attiser la haine de toute une frange de la population. Non. Le vrai problème était son regard, un peu trop électrique. Et si les prothèses remplient de sang séché ne l’avaient pas aidé à deviner leur animosité envers les cyborgs alors les tags et affiches sur les murs auraient fait le travail : des implants barrés, des primes marqué « mort ou vif », des insultes écrites en lettre de sang. La définition même d’un accueil chaleureux.
Gilts se reconcentra sur son environnement, il ne se sentait pas en danger mais il voyait bien que le nombre de paires d’yeux sur lui s’était démultiplié et qu’à chaque passage devant une rue de nouvelles apparaissaient. L’ambiance était charmante : le nombre d’ivrognes au mètre carré semblait être le fait d’un élevage intensif des bars du coin, qui, non-content de se faire de l’argent sur le dos de miséreux qui ne trouvait leur rédemption que dans l’alcool, semblait aussi s’en faire en vendant les charmes des jeunes filles de leur quartier. Comme en témoignait les panneaux plus qu’explicites et animés, qu’on pouvait voir à chaque tournant. Cet endroit rassemblait toute la misère humaine, et les pires raclures que la terre eut un jour porté. L’alcool, le proxénétisme, les meurtres, ... Tous ces vices servaient à nourrir des réseaux qui se faisaient de l’or sur le dos de la pauvreté.
Un groupe de bikers, armes bien visibles, finit par déraper devant lui, l’arrêtant les deux pieds dans l’eau.
« Alors mon beau, on s’est perdu ? C’est pas le bon endroit pour les gars comme toi ici.»
Gilt daigna poser le regard sur celui qui venait de lui parler, mais ne lui répondit pas.
« Comme tu veux. » Et il pointa son fusil sur lui. Il ne fallut qu’une fraction de seconde pour qu’un trait rouge émanant de l’œil de Gilt, parte en direction des jeunes hommes. Et une de plus pour que sa tête roule au sol.
Sayuri.K, Sisuki et Yoomise aiment ce message
- Sayuri.K
- Messages : 315
Date d'inscription : 08/10/2021
Age : 29
Re: Découverte urbaine
Lun 30 Jan - 0:05
Coucou à toi ! Je vais commencer par te dire bravo d'avoir sauté le pas et de nous avoir partagé ton texte et je vais continuer en te disant que je l'ai vraiment trouvé super C'est original de se mettre dans la peau d'un cyborg à travers les yeux de ton héros. Tu as parfaitement bien retranscrit cette ambiance de ville sombre et glauque avec toute la criminalité et la délinquance qu'on s'attend à trouver dans ce type de quartier x) Franchement, j'aimerais trop avoir la suite! Un seul passage m'a seulement un peu perturbée, c'était l'histoire des 6 bras et 8 jambes. J'ai pas trop compris à quoi tu faisais référence pour le coup... Des habitants du quartier avec plusieurs membres comme des mutants ? Ou des gens normaux à qui il manquait des membres ? En dehors de ça, rien à reprocher j'ai passé un très bon moment
FireStromm aime ce message
Re: Découverte urbaine
Ven 24 Fév - 15:16
Yo !
Beaucoup de bonnes idées, tu sais bien développer l'univers, et le vocabulaire est bon. Attention à certaines phrases qui sont confuses :
quartiers plus bas : brouille la phrase, on ne comprend pas trop
se trouvaient au-dessus de lui. : tu radotes
des passerelles se dépliaient et se rétractaient entre les gratte-ciel : pas compris l'idée
qui avait lieu plus haut. : tu dis ça pour le luxe, mais ne fonctionne pas avec la formulation
Les 6 bras et 8 jambes qu’il avait croisés depuis son arrivé dans le quartier l’avaient aidé à deviner. : comprend pas qu'il s'agit de cyborgs qu'il a croisé
Et si les prothèses remplient de sang séché ne l’avaient pas aidé à deviner leur animosité envers les cyborgs : comprend pas l'idée
Merci pour ta participation !
Beaucoup de bonnes idées, tu sais bien développer l'univers, et le vocabulaire est bon. Attention à certaines phrases qui sont confuses :
quartiers plus bas : brouille la phrase, on ne comprend pas trop
se trouvaient au-dessus de lui. : tu radotes
des passerelles se dépliaient et se rétractaient entre les gratte-ciel : pas compris l'idée
qui avait lieu plus haut. : tu dis ça pour le luxe, mais ne fonctionne pas avec la formulation
Les 6 bras et 8 jambes qu’il avait croisés depuis son arrivé dans le quartier l’avaient aidé à deviner. : comprend pas qu'il s'agit de cyborgs qu'il a croisé
Et si les prothèses remplient de sang séché ne l’avaient pas aidé à deviner leur animosité envers les cyborgs : comprend pas l'idée
Merci pour ta participation !
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