La malédiction de Ramsès III
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La malédiction de Ramsès III
Jeu 16 Mai - 22:01
Nb de mots 1565.
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Je me retrouve face à l’entrée du tombeau, le cœur battant à tout rompre. L’interdit que je m’apprête à enfreindre, la découverte… je suis à la fois excitée, impatiente et… nerveuse.
J’avale ma salive, difficilement et regarde autour de moi. Personne. Je suis rassurée. J’avale une grande bouffée d’air, me concentre et je me lance à l’assaut de ce tombeau.
Je me faufile à travers la mince ouverture, difficilement, et parviens dans un couloir. La première chose que je sens, dans cette obscurité, c’est un vent glacial. Si j’avais été dans une maison hantée… je crois que j’aurais pris mes jambes à mon cou… mais là… j’étais dans un tombeau, et pas dans n’importe lequel ! Il fallait ABSOLUMENT que j’entre, que je vois ça ! C’était le sujet de ma thèse, après tout ! Je ne peux pas prendre le risque de passer à côté d’une chose pareille !
J’avance lentement. Religieusement, même ! Au bout de quelques pas, je m’arrête, et lâche un “wow”, époustoufflée. Je me retrouve face à des murs couverts de hiéroglyphes.
Magnifique !
Par réflexe, je me précipite vers les murs et commence à déchiffrer. Je sais que je n’ai pas beaucoup de batterie, mais c’est plus fort que moi ! Et en plus, mon égyptien ancien n’est pas mauvais donc… go ! Cela peut toujours être utile en plus ! Et si jamais je vois que je perds trop de temps et de batterie, au pire…
Bon alors… quelques malédictions… blablabla… une histoire de Nil et de pièges… attends, quoi ? Des pièges ?
Je grimace.
Merde ! Je regarde brièvement l’entrée d’où je viens, mais me reprends rapidement. Non ! C’est trop important pour que je fasse la chochotte ! Va-y ma fille ! Fonce !
Je me reconcentre sur les hiéroglyphes. Une histoire d’énigmes et de pièges, donc. Si je me plante, et comprends tout de travers, c’est la fin pour moi. Une goutte de sueur roule le long de ma colonne vertébrale. Par contre, si je fais demi-tour, c’est la fin aussi… et je passe à côté de ma thèse, de ma carrière d’égyptologue.
Pas le choix, donc ! Il ne faut pas que je me plante !
Je regarde avec attention la première énigme.
“Celui qui empruntera la voie du Nil subira les tourments de mille morts”.
Charmant ! Cela donne envie, dites donc !
C’est en ayant en tête cette information, que j’avance, avec précaution et à l’affus. J’essaye d’enregistrer dans ma tête un maximum des choses qui m’entourent. Et, même si mon cœur bat à tout rompre, j’ai les yeux qui pétillent. Sans parler de cette furieuse envie de sauter et danser de joie en criant.
Mais non ! Il faut que je reste concentrée.
Après quelques minutes, j’arrive à une intersection. Il va falloir choisir ! Et “judicieusement”, comme dirait le vieux… Le chemin de droite semble descendre en diagonale tandis que celui de gauche est plat. Je fais le tour de l’intersection et regarde attentivement les murs. Je cherche un indice qui pourrait m’aider. S’il y a des énigmes, alors, il doit bien y avoir quelque chose, non ?
“Celui qui empruntera la voie du Nil subira les tourments de mille morts”.
La voie du Nil… comment savoir où se trouve le Nil ici ? Je suis totalement désorientée dans cette pénombre ! Je refais un tour. Cette fois, je me fige devant la voie de gauche. Les murs y sont couverts de vaguelettes ! Euh… est-ce que cela représente de l’eau ? Le Nil ?
Je retourne observer le chemin de droite. Rien. Pas de vaguelettes.
Je hausse des épaules. Bon ben… j’ai pas envie de souffrir mille morts donc, ce sera à droite.
Je descends la pente tranquillement. La pente est cependant tellement raide que je finis sur les fesses et glisse jusqu’en bas comme sur un tobogan. Un cri de surprise m’échappe, tandis que j’ai plus aucun contrôle sur la direction où je vais. Je dois lutter pour ne pas me cogner partout, et ne pas avaler trop de sable.
Quand enfin tout s’arrête, je me relève du mieux que je peux. J’ai la tête qui tourne. Je fais une vérification rapide de mon état. Quelques égratignures, un peu de sable avalé et beaucoup d’amour propre en moins. Mais sinon, je semble en un seul morceau. Bon. Je m’en sors pas si mal.
Je lève la tête et observe la salle où j’ai atteri. Les yeux équarquillés et la bouche grande ouverte, je découvre une salle magnifique. J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé. C’est tellement… wow.
La salle semble de taille moyenne, mais, cela n’enlève pas à son grandiose. Elle est remplie de colonnes, toutes identiques. C’est ces colonnes qui la rende si exceptionnelles. Leur chapiteau en forme de lotus en fait presque un champ de fleurs.
Un bruit vient me sortir de ma découverte et détourner mon attention. Je tends l’oreille. C’est quoi ça ?
J’écoute attentivement. J’essaye de repérer d’où vient le bruit. On dirait un peu comme un bruit de… pas ? Des pas ! Je me fige, glacée d’horreur. Ne me dites pas que c’est Maurice ! Si c’est lui, je suis fichue !
Je me précipite derrière une colonne et me cache du mieux que je peux retenant mon soufle.
J’attends. Une minute. Rien. Deux minutes. Toujours rien.
Mon front se plisse. Heu… ok ? Il se passe quoi là ? Rien ? Ok, c’était peut-être pas des pas, finalement.
Alors qu’un millier de questions me traversent la tête, un bip retentit. Et dans ce silence mortel, il sonne comme un cri déchirant. Mon téléphone s’éteint aussitôt, et la lumière qu’il m’apportait avec lui.
Ma langue claque. C’est bien ma veine, tiens ! J’enrage, mais en silence. Je prie tous les dieux de l’archéologie pour que l’on ne me trouve pas malgré tout. Malheureusement, cela n’a pas du être assez efficace, car les bruits de pas se font de plus en plus fort et de plus en plus proche. C’est la fin. On va me découvrir… et cela va être ma fête !
Maurice ne tarde pas à se retrouver face à moi, furiex. Les mains sur les hanches, il me postillonne plus qu’il me crie dessus. Après toute une série de noms d’oiseau, d’insultes… les menaces pleuvent.
– Je savais que je ne pouvais pas te faire confiance, Charlie ! J’ai bien fait de suivre mon instinct et de te mettre au placard ! Mais c’est fini pour toi, ma belle ! Jamais tu ne seras une archéologue ! Jamais ! Et crois moi ! J’y veillerai !
– vous ne pouvez pas faire ça ! C’est déloyal ! Si vous m’aviez laissé ma chance, ce ne serait probablement jamais arrivé !
Maurice pouffe de rire, satisfait de me voir défaite face à lui. Je croise et les bras et fulmine, prenant sur moi.
– Hé ! Attendez une minute ! M’exclamais-je. Que faites-vous ici ? Est-ce que vous aussi vous n’auriez pas franchis un interdit en entrant sur un site de fouille la nuit, aux vues de tous ?
Il me jette un regard noir. Je décide de lui rendre. Il est hors de question que je me laisse faire ! De toute façon, il avait prévu de me sacquer depuis le début, alors ! Et puis… foutu pour foutu… autant y aller jusqu’au bout !
Je me jette sur lui et l’attrape par le col. Je veux le pousser contre une colonne pour l’assomer, mais… il ne bouche pas d’un poil. Je lui donne alors des coups de pieds et des coups de poings, mais… rien. Il ne bouge pas. Pire ! Cela semble même l’amuser !
Alors qu’il ricanne, je le regarde, glacée d’effroi. Il n’a qu’un coup de poing à me donner pour que je m’écroule au sol, KO. J’ai juste le temps de me souvenir qu’il était boxeur avant.
La poisse !
C’est le chant des oiseaux et la lumière du soleil qui me réveille. Après quelques minutes passées à essayer de supporter cette luminosité intense, je découvre que je suis dans un lit d’hôpital. La bouche pâteuse, la machoire et la tête douloureuse, je cherche de l’eau. Mais à défaut de trouver un verre d’eau, je tombe sur le journal. L’ombre familière du tombeau m’attire l’œil. Je l’attrape précipitamment.
Aux vues de la date, il semblerait que je sois restée inconsciente trois jour au moins.
“La Malédiction du tombeau de Ramsès III frappe encore !” Je grogne. Ce titre accrocheur ne me plait pas. Je continue tout de même de lire. “C’est lors de fouilles que le célèbre égyptologue Maurice Sarfati a découvert le tombeau de Ramsès III et un précieux trésor. Cela aurait pu cependant très mal finir avec l’intervention de son étudiante, rendue folle par la terrible malédiction. Découvrez plus en détails…”
J’arrête de lire, échoeurée. Il faut qu’il s’attire toute la couverture à lui ! Ce porc ne m’a même pas donné ma chance ! Et en plus de cela il me traite de folle ! Non mais la blague !
Je jette un dernier coup d’œil au journal, regardant la photo de Maurice, devant le tombeau de Ramsès III. Dans un cri, je froisse le journal et le jette à l’autre bout de la pièce ! On verra si tu survivras longtemps à la malédiction de Ramsès III !
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Je me retrouve face à l’entrée du tombeau, le cœur battant à tout rompre. L’interdit que je m’apprête à enfreindre, la découverte… je suis à la fois excitée, impatiente et… nerveuse.
J’avale ma salive, difficilement et regarde autour de moi. Personne. Je suis rassurée. J’avale une grande bouffée d’air, me concentre et je me lance à l’assaut de ce tombeau.
Je me faufile à travers la mince ouverture, difficilement, et parviens dans un couloir. La première chose que je sens, dans cette obscurité, c’est un vent glacial. Si j’avais été dans une maison hantée… je crois que j’aurais pris mes jambes à mon cou… mais là… j’étais dans un tombeau, et pas dans n’importe lequel ! Il fallait ABSOLUMENT que j’entre, que je vois ça ! C’était le sujet de ma thèse, après tout ! Je ne peux pas prendre le risque de passer à côté d’une chose pareille !
J’avance lentement. Religieusement, même ! Au bout de quelques pas, je m’arrête, et lâche un “wow”, époustoufflée. Je me retrouve face à des murs couverts de hiéroglyphes.
Magnifique !
Par réflexe, je me précipite vers les murs et commence à déchiffrer. Je sais que je n’ai pas beaucoup de batterie, mais c’est plus fort que moi ! Et en plus, mon égyptien ancien n’est pas mauvais donc… go ! Cela peut toujours être utile en plus ! Et si jamais je vois que je perds trop de temps et de batterie, au pire…
Bon alors… quelques malédictions… blablabla… une histoire de Nil et de pièges… attends, quoi ? Des pièges ?
Je grimace.
Merde ! Je regarde brièvement l’entrée d’où je viens, mais me reprends rapidement. Non ! C’est trop important pour que je fasse la chochotte ! Va-y ma fille ! Fonce !
Je me reconcentre sur les hiéroglyphes. Une histoire d’énigmes et de pièges, donc. Si je me plante, et comprends tout de travers, c’est la fin pour moi. Une goutte de sueur roule le long de ma colonne vertébrale. Par contre, si je fais demi-tour, c’est la fin aussi… et je passe à côté de ma thèse, de ma carrière d’égyptologue.
Pas le choix, donc ! Il ne faut pas que je me plante !
Je regarde avec attention la première énigme.
“Celui qui empruntera la voie du Nil subira les tourments de mille morts”.
Charmant ! Cela donne envie, dites donc !
C’est en ayant en tête cette information, que j’avance, avec précaution et à l’affus. J’essaye d’enregistrer dans ma tête un maximum des choses qui m’entourent. Et, même si mon cœur bat à tout rompre, j’ai les yeux qui pétillent. Sans parler de cette furieuse envie de sauter et danser de joie en criant.
Mais non ! Il faut que je reste concentrée.
Après quelques minutes, j’arrive à une intersection. Il va falloir choisir ! Et “judicieusement”, comme dirait le vieux… Le chemin de droite semble descendre en diagonale tandis que celui de gauche est plat. Je fais le tour de l’intersection et regarde attentivement les murs. Je cherche un indice qui pourrait m’aider. S’il y a des énigmes, alors, il doit bien y avoir quelque chose, non ?
“Celui qui empruntera la voie du Nil subira les tourments de mille morts”.
La voie du Nil… comment savoir où se trouve le Nil ici ? Je suis totalement désorientée dans cette pénombre ! Je refais un tour. Cette fois, je me fige devant la voie de gauche. Les murs y sont couverts de vaguelettes ! Euh… est-ce que cela représente de l’eau ? Le Nil ?
Je retourne observer le chemin de droite. Rien. Pas de vaguelettes.
Je hausse des épaules. Bon ben… j’ai pas envie de souffrir mille morts donc, ce sera à droite.
Je descends la pente tranquillement. La pente est cependant tellement raide que je finis sur les fesses et glisse jusqu’en bas comme sur un tobogan. Un cri de surprise m’échappe, tandis que j’ai plus aucun contrôle sur la direction où je vais. Je dois lutter pour ne pas me cogner partout, et ne pas avaler trop de sable.
Quand enfin tout s’arrête, je me relève du mieux que je peux. J’ai la tête qui tourne. Je fais une vérification rapide de mon état. Quelques égratignures, un peu de sable avalé et beaucoup d’amour propre en moins. Mais sinon, je semble en un seul morceau. Bon. Je m’en sors pas si mal.
Je lève la tête et observe la salle où j’ai atteri. Les yeux équarquillés et la bouche grande ouverte, je découvre une salle magnifique. J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé. C’est tellement… wow.
La salle semble de taille moyenne, mais, cela n’enlève pas à son grandiose. Elle est remplie de colonnes, toutes identiques. C’est ces colonnes qui la rende si exceptionnelles. Leur chapiteau en forme de lotus en fait presque un champ de fleurs.
Un bruit vient me sortir de ma découverte et détourner mon attention. Je tends l’oreille. C’est quoi ça ?
J’écoute attentivement. J’essaye de repérer d’où vient le bruit. On dirait un peu comme un bruit de… pas ? Des pas ! Je me fige, glacée d’horreur. Ne me dites pas que c’est Maurice ! Si c’est lui, je suis fichue !
Je me précipite derrière une colonne et me cache du mieux que je peux retenant mon soufle.
J’attends. Une minute. Rien. Deux minutes. Toujours rien.
Mon front se plisse. Heu… ok ? Il se passe quoi là ? Rien ? Ok, c’était peut-être pas des pas, finalement.
Alors qu’un millier de questions me traversent la tête, un bip retentit. Et dans ce silence mortel, il sonne comme un cri déchirant. Mon téléphone s’éteint aussitôt, et la lumière qu’il m’apportait avec lui.
Ma langue claque. C’est bien ma veine, tiens ! J’enrage, mais en silence. Je prie tous les dieux de l’archéologie pour que l’on ne me trouve pas malgré tout. Malheureusement, cela n’a pas du être assez efficace, car les bruits de pas se font de plus en plus fort et de plus en plus proche. C’est la fin. On va me découvrir… et cela va être ma fête !
Maurice ne tarde pas à se retrouver face à moi, furiex. Les mains sur les hanches, il me postillonne plus qu’il me crie dessus. Après toute une série de noms d’oiseau, d’insultes… les menaces pleuvent.
– Je savais que je ne pouvais pas te faire confiance, Charlie ! J’ai bien fait de suivre mon instinct et de te mettre au placard ! Mais c’est fini pour toi, ma belle ! Jamais tu ne seras une archéologue ! Jamais ! Et crois moi ! J’y veillerai !
– vous ne pouvez pas faire ça ! C’est déloyal ! Si vous m’aviez laissé ma chance, ce ne serait probablement jamais arrivé !
Maurice pouffe de rire, satisfait de me voir défaite face à lui. Je croise et les bras et fulmine, prenant sur moi.
– Hé ! Attendez une minute ! M’exclamais-je. Que faites-vous ici ? Est-ce que vous aussi vous n’auriez pas franchis un interdit en entrant sur un site de fouille la nuit, aux vues de tous ?
Il me jette un regard noir. Je décide de lui rendre. Il est hors de question que je me laisse faire ! De toute façon, il avait prévu de me sacquer depuis le début, alors ! Et puis… foutu pour foutu… autant y aller jusqu’au bout !
Je me jette sur lui et l’attrape par le col. Je veux le pousser contre une colonne pour l’assomer, mais… il ne bouche pas d’un poil. Je lui donne alors des coups de pieds et des coups de poings, mais… rien. Il ne bouge pas. Pire ! Cela semble même l’amuser !
Alors qu’il ricanne, je le regarde, glacée d’effroi. Il n’a qu’un coup de poing à me donner pour que je m’écroule au sol, KO. J’ai juste le temps de me souvenir qu’il était boxeur avant.
La poisse !
C’est le chant des oiseaux et la lumière du soleil qui me réveille. Après quelques minutes passées à essayer de supporter cette luminosité intense, je découvre que je suis dans un lit d’hôpital. La bouche pâteuse, la machoire et la tête douloureuse, je cherche de l’eau. Mais à défaut de trouver un verre d’eau, je tombe sur le journal. L’ombre familière du tombeau m’attire l’œil. Je l’attrape précipitamment.
Aux vues de la date, il semblerait que je sois restée inconsciente trois jour au moins.
“La Malédiction du tombeau de Ramsès III frappe encore !” Je grogne. Ce titre accrocheur ne me plait pas. Je continue tout de même de lire. “C’est lors de fouilles que le célèbre égyptologue Maurice Sarfati a découvert le tombeau de Ramsès III et un précieux trésor. Cela aurait pu cependant très mal finir avec l’intervention de son étudiante, rendue folle par la terrible malédiction. Découvrez plus en détails…”
J’arrête de lire, échoeurée. Il faut qu’il s’attire toute la couverture à lui ! Ce porc ne m’a même pas donné ma chance ! Et en plus de cela il me traite de folle ! Non mais la blague !
Je jette un dernier coup d’œil au journal, regardant la photo de Maurice, devant le tombeau de Ramsès III. Dans un cri, je froisse le journal et le jette à l’autre bout de la pièce ! On verra si tu survivras longtemps à la malédiction de Ramsès III !
zebulon911, Lady_Lian, Celui-ci, ninja-janine et petitesplumes aiment ce message
- Celui-ci
- Messages : 62
Date d'inscription : 07/10/2021
Age : 21
Localisation : La Mie-sous-croute
Re: La malédiction de Ramsès III
Ven 17 Mai - 23:47
Charlie prend son aventure dans le tombeau à la légère et je trouve ça drôle xD genre elle tombe KO et elle sort un "La poisse". ça change des ambiances des autres textes (bon en même temps dans les autres textes que j'ai lu, Charlie avait un peu plus de problème que de se faire assommer par Maurice)
petitesplumes aime ce message
- petitesplumes
- Messages : 7
Date d'inscription : 16/05/2024
Age : 26
Re: La malédiction de Ramsès III
Dim 19 Mai - 12:04
J'ai été séduite par tes descriptions, franchement bravo !
- ninja-janine
- Messages : 107
Date d'inscription : 29/01/2023
Re: La malédiction de Ramsès III
Ven 24 Mai - 23:42
Super texte même si c'est Maurice qui gagne et Charlie que le journal traite de folle. Ton texte est différent des autres textes que j'ai lu jusqu'à présent. La fin en forme de menace me plaît beaucoup: On verra si tu survivras longtemps à la malédiction de Ramsès III !
Re: La malédiction de Ramsès III
Sam 1 Juin - 15:57
Bravo pour ton texte ! Tu l'as bien rythmé, avec de bons ajouts et j'ai trouvé super chouette l'image des champ de fleurs avec les chapiteaux en forme de lotus. Mention spéciale pour la menace à la fin, très chouette pour nous laisser une bonne dernière impression. Bravo pour ça
Je pense que tu casses le rythme de tes phrases avec tes adverbes. Mis ailleurs, ou remplacés par un verbe fort ça marcherait mieux
J’avale ma salive, difficilement et regarde autour de moi.
Je me faufile à travers la mince ouverture, difficilement, et parviens dans un couloir. (= je peine à me faufiler à travers l'ouverture..)
Aussi, attention à l'usage des points d'exclamation : à trop en avoir, le texte devient saccadé et l'effet disparaît (c'est vrai pour la narration et les dialogues)
Enfin, tu mets beaucoup de "je" au lieu de faire vivre l'environnement de l'héroïne et ce qu'il se passe autour d'elle surtout au début du texte, après ça va comme au moment où Charlie se cache et Maurice arrive).
Merci pour ta participation !
Je pense que tu casses le rythme de tes phrases avec tes adverbes. Mis ailleurs, ou remplacés par un verbe fort ça marcherait mieux
J’avale ma salive, difficilement et regarde autour de moi.
Je me faufile à travers la mince ouverture, difficilement, et parviens dans un couloir. (= je peine à me faufiler à travers l'ouverture..)
Aussi, attention à l'usage des points d'exclamation : à trop en avoir, le texte devient saccadé et l'effet disparaît (c'est vrai pour la narration et les dialogues)
Enfin, tu mets beaucoup de "je" au lieu de faire vivre l'environnement de l'héroïne et ce qu'il se passe autour d'elle surtout au début du texte, après ça va comme au moment où Charlie se cache et Maurice arrive).
Merci pour ta participation !
ninja-janine aime ce message
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