EMERAUDE blablabla pas de titre.

J'exprimais un soulagement.
— Il sont trop nombreux à l’étage, j’ai trouvé la cachette, Takeshi ne va pas tarder à me rejoindre.
— Quoi, mais t’es sérieuse ?! Je t’avais dit…
— Émeraude.
Quelqu’un m’appela. Il n’y a pourtant que moi dans cet étage.
— Émeraude tu m’étends ? Dit Allan.
—  Émeraude, les enfants sont par ici.
La voix de mon défunt père. Cela pouvait être un piège. Prendre la direction opposé à celle indiquée par la voix fut la meilleure option. La fameuse porte s’y trouva. Le code était bien le bon. Les portes blindées s'ouvrirent. Un trou noir m’avala dès mon arrivé au centre de la pièce. Ce fut un piège. Quelqu’un m'assommât de derrière à coup de massue.
Je reprit mes esprit et essayais de me dégager de mes chaînes de fer et d’acier qui me brulait la intensément la peau. La personne qui m’avait tendu ce piège savait pertinemment que j’était une hybride elfe-vampire. Plus grave encore, j’avais perdu la vue suite à un sortilège de magie interdite. L’endroit sentais la magie à plein nez. Personne ne pourrait me retrouver dans une dimension parallèle. Il faisait très froid. Il m'était difficile de réfléchir avec ces douleur de brulure. Mes oreillettes étaient branchée avant que je ne quitte le couloir.
— Allan, tu m’entends ? Allan ?
Personne. Je m’en serai douté. Il ne restait plus que mes sens pour me guider. j’aurais dû écouter Takeshi qui me répétais de m’exercer à entraîner mes sens de vampire quand j’en avait eu l’occasion. On pouvait ressentir les pulsations du sol. Les odeurs de bois mouillé, de sèves et de pin fluctuaient. Je me trouvais dans une cahute entourée par une forêt. Il y avait une rivière non loin. Une présence à l’aura forte m’écrasait. La personne était assise depuis tout à l’heure. Il émanait d’elle une odeur de produit ménager. Je compris donc le leurre.
— Ça vous bien amuse de m’observer, hein jacques !? Ou devrais-je dire Eldrick.
— Dommage que tu t’en sois rendue compte trop tard. Je me faisait une joie de t’accueillir en grande pompe. Comment vas-tu depuis la dernière fois où tu m’a laissé pour mort ?
Ma vampire et mon elfe n’avaient qu’une envie. Le tuer douloureusement. Je rassemblais mes dernière forces afin de me concentrer et de dresser une barrière entre nous. Leurs grondements se calmèrent.
— Qu’on éclaircisse les choses une bonne fois pour toute. Qu’est-ce que vous me voulez au juste ?
— Toujours aussi téméraire ! Tu oses me répondre. Je crois que tu ne saisis pas à quelle tu es en mauvaise posture.
— Vous vous acharnez sur moi depuis des année, mais je ne vous connais pas. Qu’est-ce que je vous ai fait ?
— Tu en es bien sûre. Demande à ta mère qui s’est amourachée d’un vampire.
(c'est la suite de mon roman, désolée si l'histoire n'est pas compréhensible et pour les fautes )

Bravo pour ton texte ! Je pense que tu amènes plein de choses chouettes, mais c'est vrai qu'on comprend pas tout. Bon vocabulaire, idée intéressante, juste attention à la façon dont tu amènes les informations.

J'exprimais un soulagement. : bizarre comme phrase

Prendre la direction opposé à celle indiquée par la voix fut la meilleure option. : tu éloignes le lecteur de la scène avec ce genre de formulation

La fameuse porte s’y trouva. Le code était bien le bon. Les portes blindées s'ouvrirent. Un trou noir m’avala dès mon arrivé au centre de la pièce. Ce fut un piège. Quelqu’un m'assommât de derrière à coup de massue. : pas top le rythme ici je trouve

Je reprit mes esprit et essayais de me dégager de mes chaînes de fer et d’acier qui me brulait la intensément la peau. : prends le temps de développer cette idée

j’aurais dû écouter Takeshi qui me répétais de m’exercer à entraîner : trop de verbes

Merci pour ta participation !