- Shoukii
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La révolte
Dim 25 Juin - 16:09
Un bruit assourdissant sorti Ren du sommeil. En sortant de sa hutte, il resta immobile à la vu de cette scène.
- Bordel, il se passe quoi ?!, beugla Ren
Il retourna en furie dans sa hutte afin de récupérer ses armes pour se battre.
- Que se passe-t-il Ren ?, demanda Osham encore à moitié endormie.
- C’est encore un coup de ces connards !, cria Ren en courant dans toute la hutte.
- Rendors toi je reviens vite, finit-il par dire.
N’ayant qu’une trace de fumé au loin pour le guidé. Ren se mit à courir.
Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard.
Arrivant sur les lieux du carnage, Ren fit stopper par un homme du village.
- Laisse moi passer connard, je vais leur foutre une raclé.
- Calme toi Ren, ils font leur travaille. Le seigneur veut qu’il en soit ainsi.
L’homme en question était le père de Ren. Depuis la mort de sa mère, son père trouva un but après du seigneur.
- J’emmerde le seigneur et je t’emmerde toi. Brûler les autres villages ne vous aidera pas à dominer ce monde.
Agacé par son caractère, son père le frappa à la tête se qui le fit tomber dans les pommes.
A son réveil, Ren vit le visage de sa mère. Il pensa être mort tuer par son père. Après quelques minutes de somnolence et de mal de tête, Ren compris que s’était sa cousine qui était venu le chercher dans la forêt.
- Qu’est ce que tu fou la merde, je t’ai dit de pas sortir.
Ren regarda autour de lui et compris que le jour s’était levé. En s’avançant vers le village attaqué la veille, il fut horrifié de voir l’ampleur des dégâts. Les huttes était toutes détruite, des flammes était encore là pour brûler le reste des débris. Des cris provenant de partout couvraient les bruits calme de la nature. Des corps sans vit lui traça un chemin vers la place central du village.
- Votre attention, je suis Ren Tambira. Le seigneur voudrait dominer le monde mais l’attaque d’hier soir sera sa dernière. Pour combattre ces connards, il nous faut une armée.
- Et ce sera toi notre chef ?, dit un homme sur le ton de la plaisanterie.
- Ton os est tellement mal taillé qu’il ne tien même pas dans tes cheveux. Retourne dans les jupons de ta mère gamin, continua l’homme.
A l’écoute de ces mots, Ren senti une rage en lui. Sautant de l’estrade, il choppa l’homme par le cou en le menaçant avec son couteau.
- Je suis déjà assez énervé contre toi le monde, je ne te conseille pas de m’énerver toi aussi, chuchota Ren dans l’oreille de l’homme.
- Je suis là pour vous aider à vous venger !, s’écria Ren.
L’homme apeuré leva les bras en l’air. Ren lâcha l’homme pour retourner sur l’estrade. Un homme sortant du l’attroupement pris la parole.
- Tu es le fils de Olen Tambira qui sert a présent le seigneur, comment peux-tu prétendre vouloir nous aider ?
- En effet je suis biologiquement son fils, répondu Ren. Mais cette enflure ne mérite plus de vivre. Il nous a laissé tomber ma cousine et moi. La mort de ma mère a montré son vrai visage. Il n’est pas digne de diriger un village.
- Je ne suis pas le meilleur des guerriers mais je me battrai jusqu’au bout pour mes convictions !, s’écria-t-il. Alors, êtes-vous avec moi ?!
La foule devant lui ne bougea pas. Ils s’avaient que laisser un gamin au commande d’une armée était risqué. Ils n’avaient pas confiance en lui et ne voulaient pas être manipulés par le seigneur. Après quelques minutes de réflexion, la foule se dissipa afin de retourner au nettoyage de leur village. Impuissant devant être scène Ren s’apparenta à dire le fond de sa pensée.
« C’est ça, laisser vous marcher dessus bande de trouillard ! »
Avant qu’un son sorte de sa bouche, il entendit une voix à côté de lui.
- Bande de trouillard, vous allez tous finir tué en réagissant de la sorte. Laissez vos préjugés de chez vous et battez-vous à nos côtés !, s’écria une femme le poing levé.
Ren réalisa que Osham se trouvait à côté de lui. Voyant que le village avez toute attention d’Osham. Ren s’écria de toute ses forces.
- Voulez-vous venger votre famille ?
- OUAIS !, s’écria la foule de nouveau au pied de l’estrade.
- Est ce que vous êtes des poules mouillées ?
- NON !
- Êtes-vous prêt à nous suivre jusqu’à la victoire ?
- OUAIS !
Ren pensa que cette scène fut incroyable a voir. C’était la première fois qu’il arrivait à travailler en groupe et imposer son point de vu et son caractère.
Il se tourna vers sa cousine qui attendait une approbation de sa part. Ren offrir un sourire à sa cousine qui lui sourit en retour. Puis il lança dans un chuchotement,
- Alors, allons nous battre
- Bordel, il se passe quoi ?!, beugla Ren
Il retourna en furie dans sa hutte afin de récupérer ses armes pour se battre.
- Que se passe-t-il Ren ?, demanda Osham encore à moitié endormie.
- C’est encore un coup de ces connards !, cria Ren en courant dans toute la hutte.
- Rendors toi je reviens vite, finit-il par dire.
N’ayant qu’une trace de fumé au loin pour le guidé. Ren se mit à courir.
Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard.
Arrivant sur les lieux du carnage, Ren fit stopper par un homme du village.
- Laisse moi passer connard, je vais leur foutre une raclé.
- Calme toi Ren, ils font leur travaille. Le seigneur veut qu’il en soit ainsi.
L’homme en question était le père de Ren. Depuis la mort de sa mère, son père trouva un but après du seigneur.
- J’emmerde le seigneur et je t’emmerde toi. Brûler les autres villages ne vous aidera pas à dominer ce monde.
Agacé par son caractère, son père le frappa à la tête se qui le fit tomber dans les pommes.
A son réveil, Ren vit le visage de sa mère. Il pensa être mort tuer par son père. Après quelques minutes de somnolence et de mal de tête, Ren compris que s’était sa cousine qui était venu le chercher dans la forêt.
- Qu’est ce que tu fou la merde, je t’ai dit de pas sortir.
Ren regarda autour de lui et compris que le jour s’était levé. En s’avançant vers le village attaqué la veille, il fut horrifié de voir l’ampleur des dégâts. Les huttes était toutes détruite, des flammes était encore là pour brûler le reste des débris. Des cris provenant de partout couvraient les bruits calme de la nature. Des corps sans vit lui traça un chemin vers la place central du village.
- Votre attention, je suis Ren Tambira. Le seigneur voudrait dominer le monde mais l’attaque d’hier soir sera sa dernière. Pour combattre ces connards, il nous faut une armée.
- Et ce sera toi notre chef ?, dit un homme sur le ton de la plaisanterie.
- Ton os est tellement mal taillé qu’il ne tien même pas dans tes cheveux. Retourne dans les jupons de ta mère gamin, continua l’homme.
A l’écoute de ces mots, Ren senti une rage en lui. Sautant de l’estrade, il choppa l’homme par le cou en le menaçant avec son couteau.
- Je suis déjà assez énervé contre toi le monde, je ne te conseille pas de m’énerver toi aussi, chuchota Ren dans l’oreille de l’homme.
- Je suis là pour vous aider à vous venger !, s’écria Ren.
L’homme apeuré leva les bras en l’air. Ren lâcha l’homme pour retourner sur l’estrade. Un homme sortant du l’attroupement pris la parole.
- Tu es le fils de Olen Tambira qui sert a présent le seigneur, comment peux-tu prétendre vouloir nous aider ?
- En effet je suis biologiquement son fils, répondu Ren. Mais cette enflure ne mérite plus de vivre. Il nous a laissé tomber ma cousine et moi. La mort de ma mère a montré son vrai visage. Il n’est pas digne de diriger un village.
- Je ne suis pas le meilleur des guerriers mais je me battrai jusqu’au bout pour mes convictions !, s’écria-t-il. Alors, êtes-vous avec moi ?!
La foule devant lui ne bougea pas. Ils s’avaient que laisser un gamin au commande d’une armée était risqué. Ils n’avaient pas confiance en lui et ne voulaient pas être manipulés par le seigneur. Après quelques minutes de réflexion, la foule se dissipa afin de retourner au nettoyage de leur village. Impuissant devant être scène Ren s’apparenta à dire le fond de sa pensée.
« C’est ça, laisser vous marcher dessus bande de trouillard ! »
Avant qu’un son sorte de sa bouche, il entendit une voix à côté de lui.
- Bande de trouillard, vous allez tous finir tué en réagissant de la sorte. Laissez vos préjugés de chez vous et battez-vous à nos côtés !, s’écria une femme le poing levé.
Ren réalisa que Osham se trouvait à côté de lui. Voyant que le village avez toute attention d’Osham. Ren s’écria de toute ses forces.
- Voulez-vous venger votre famille ?
- OUAIS !, s’écria la foule de nouveau au pied de l’estrade.
- Est ce que vous êtes des poules mouillées ?
- NON !
- Êtes-vous prêt à nous suivre jusqu’à la victoire ?
- OUAIS !
Ren pensa que cette scène fut incroyable a voir. C’était la première fois qu’il arrivait à travailler en groupe et imposer son point de vu et son caractère.
Il se tourna vers sa cousine qui attendait une approbation de sa part. Ren offrir un sourire à sa cousine qui lui sourit en retour. Puis il lança dans un chuchotement,
- Alors, allons nous battre
ladyhana aime ce message
- Céhah
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Localisation : Loire-Atlantique
Re: La révolte
Ven 30 Juin - 13:50
Visiblement c'est ton premier atelier, je me trompe ? Si c'est le cas, déjà bravo car c'est pas facile d'oser écrire et surtout présenter son texte !
Une fois cela dit, il y a pas mal de remarque à faire sur ton texte :
- Il y a beaucoup de répétitions, notamment de mots sur lesquels des équivalents peuvent être trouvés. J'ai notamment relevé ça pour "connard(s)" et "trouillard(s)". Pour le premier, c'est pas les insultes qui manquent et entre fumier, ordure, enflure, raclure, déchet... tu avais un choix large pour varier un peu les plaisir (parce qu'on va pas se mentir, c'est toujours un plaisir de voir quelqu'un se faire insulter de la sorte dans un texte ). Pour le second, tu avais peureux (peut-être un peu faible), froussard et surtout lâche, qui collait très bien.
- Il y a un problème de concordance des temps dans ce passage : "Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard." -> On commence au passé ("il repensa", "Ren s'était pas rendu compte...") au présent ("il n'aime pas'', ''il s'est juré"...) sans raison. Le reste de ton texte étant au passé, ce sont les phrases au présent qui posent problème.
- Toujours dans ce passage, il ya un bon exemple d'un autre souci que j'ai remarqué, qui est celui du registre employé dans la narration. C'est un registre qui est à la fois parlé, sans l'être complètement. On voit cela à "Dans l'excitation, Ren s'était pas rendu compte..." Il n'y a pas le "ne" devant "s'était pas", ce qui est assez normal en soit, puisqu'à l'oral, on l'enlève souvent. Mais là, tu ne retranscris pas une conversation, auquel ca il n'y aurait pas eu de problème. Tu es dans la narration, et ta narration n'est pas une narration parlée, qui aurait justifié ça. Si tu ne l'as pas lu, va voir le texte de Yoomise qui montre très bien comment faire une narration parlée, où les règles de grammaire et de syntaxe ne sont pas forcément respectées, fonctionnant très bien.
- Plus largement, je trouve qu'il y a un souci de ton dans ton texte. Tu entames avec des mots forts ("connard, merde"...) mais la narration ne suit pas dans cette puissance, avant que ce ne soit un peu cassé par des passages comme "En effet, je suis biologiquement son fils", où le "biologiquement" sort le lecteur du texte. Un très simple, "Oui, je suis son fils." dis sèchement par Ren, aurait été mieux.
- Ton Ren est trop unidimensionnel. Tu as surtout retenu son côté impulsif et (très) colérique, mais sans lui apporter de vraie profondeur. Un peu plus de subtilité aurait été bien.
Voila, j'espère sincèrement que ça ne va pas te décourager, car tout ça c'est surtout pour t'aider. Et tu verras, les ateliers en règle générale, plus on en fait, plus on progresse.
Une fois cela dit, il y a pas mal de remarque à faire sur ton texte :
- Il y a beaucoup de répétitions, notamment de mots sur lesquels des équivalents peuvent être trouvés. J'ai notamment relevé ça pour "connard(s)" et "trouillard(s)". Pour le premier, c'est pas les insultes qui manquent et entre fumier, ordure, enflure, raclure, déchet... tu avais un choix large pour varier un peu les plaisir (parce qu'on va pas se mentir, c'est toujours un plaisir de voir quelqu'un se faire insulter de la sorte dans un texte ). Pour le second, tu avais peureux (peut-être un peu faible), froussard et surtout lâche, qui collait très bien.
- Il y a un problème de concordance des temps dans ce passage : "Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard." -> On commence au passé ("il repensa", "Ren s'était pas rendu compte...") au présent ("il n'aime pas'', ''il s'est juré"...) sans raison. Le reste de ton texte étant au passé, ce sont les phrases au présent qui posent problème.
- Toujours dans ce passage, il ya un bon exemple d'un autre souci que j'ai remarqué, qui est celui du registre employé dans la narration. C'est un registre qui est à la fois parlé, sans l'être complètement. On voit cela à "Dans l'excitation, Ren s'était pas rendu compte..." Il n'y a pas le "ne" devant "s'était pas", ce qui est assez normal en soit, puisqu'à l'oral, on l'enlève souvent. Mais là, tu ne retranscris pas une conversation, auquel ca il n'y aurait pas eu de problème. Tu es dans la narration, et ta narration n'est pas une narration parlée, qui aurait justifié ça. Si tu ne l'as pas lu, va voir le texte de Yoomise qui montre très bien comment faire une narration parlée, où les règles de grammaire et de syntaxe ne sont pas forcément respectées, fonctionnant très bien.
- Plus largement, je trouve qu'il y a un souci de ton dans ton texte. Tu entames avec des mots forts ("connard, merde"...) mais la narration ne suit pas dans cette puissance, avant que ce ne soit un peu cassé par des passages comme "En effet, je suis biologiquement son fils", où le "biologiquement" sort le lecteur du texte. Un très simple, "Oui, je suis son fils." dis sèchement par Ren, aurait été mieux.
- Ton Ren est trop unidimensionnel. Tu as surtout retenu son côté impulsif et (très) colérique, mais sans lui apporter de vraie profondeur. Un peu plus de subtilité aurait été bien.
Voila, j'espère sincèrement que ça ne va pas te décourager, car tout ça c'est surtout pour t'aider. Et tu verras, les ateliers en règle générale, plus on en fait, plus on progresse.
ladyhana et Shoukii aiment ce message
- Shoukii
- Messages : 2
Date d'inscription : 24/06/2023
Re: La révolte
Ven 30 Juin - 23:33
Merci beaucoup pour le retour !
En effet, c’est mon premier texte écrit et premier atelier.
Je te remercie pour les remarques qui aide à voir les défauts et progresser par la suite.
Je vais essayer de changer ça pour les prochains ateliers
En effet, c’est mon premier texte écrit et premier atelier.
Je te remercie pour les remarques qui aide à voir les défauts et progresser par la suite.
Je vais essayer de changer ça pour les prochains ateliers
Céhah aime ce message
- ladyhana
- Messages : 42
Date d'inscription : 24/02/2023
Re: La révolte
Lun 3 Juil - 14:08
Coucou ! Je viens de lire ton texte, je vois que c'est ton 1er texte d'atelier bravo de t'être lancé
Alors pour commencer en positif tu as bien rendu le côté "colérique" de Ren, on sent qu'il en veut le garçon ! Sinon Céhah a très bien résumé les petites maladresses de ton texte donc je ne vais pas revenir dessus. En revenche je me permets une petite remarque sur la ponctuation dans tes dialogues. Au début je pensais que c'était une erreur de frappe mais tu as reproduit plusieurs fois la même chose et je ne pense pas que ça soit juste " - Bordel, il se passe quoi ?!, beugla Ren" : si tu mets un point d'exclamation ou d'interrogation à la fin d'une phrase de dialogue pas besoin de rajouter une virgule derrière. Ça donne plutôt quelque chose comme ça : "- Bordel, il se passe quoi ? Beugla Ren." Pour ce qui est de la majuscule après la ponctuation je ne suis pas sûre j'ai l'impression que ça dépend des ouvrages. Enfin, point d'interrogation et d'exclamation qui se suivent je crois que c'est assez rare, il vaut mieux éviter.
Je ne suis pas la personne la mieux placée pour te l'expliquer alors n'hésite pas à faire quelques recherches pour t'éclairer à ce niveau^^
Voilà voilà continue comme ça
Alors pour commencer en positif tu as bien rendu le côté "colérique" de Ren, on sent qu'il en veut le garçon ! Sinon Céhah a très bien résumé les petites maladresses de ton texte donc je ne vais pas revenir dessus. En revenche je me permets une petite remarque sur la ponctuation dans tes dialogues. Au début je pensais que c'était une erreur de frappe mais tu as reproduit plusieurs fois la même chose et je ne pense pas que ça soit juste " - Bordel, il se passe quoi ?!, beugla Ren" : si tu mets un point d'exclamation ou d'interrogation à la fin d'une phrase de dialogue pas besoin de rajouter une virgule derrière. Ça donne plutôt quelque chose comme ça : "- Bordel, il se passe quoi ? Beugla Ren." Pour ce qui est de la majuscule après la ponctuation je ne suis pas sûre j'ai l'impression que ça dépend des ouvrages. Enfin, point d'interrogation et d'exclamation qui se suivent je crois que c'est assez rare, il vaut mieux éviter.
Je ne suis pas la personne la mieux placée pour te l'expliquer alors n'hésite pas à faire quelques recherches pour t'éclairer à ce niveau^^
Voilà voilà continue comme ça
Céhah aime ce message
Re: La révolte
Ven 7 Juil - 16:50
Bravo pour ton texte ! Tu rends bien le caractère de Ren (même s'il est un peu trop vulgaire) et la scène que tu développes est dynamique. Cependant, je trouve que tu as du mal à amener les choses, comme la tension ou même une ouverture de scène. Cela manque un peu de description et d'émotions.
cette scène : un peu trop vague je pense, "la scène" à la limite
Que se passe-t-il Ren ? : un peu redondant avec la première question juste avant. Une déclinaison aurait été aussi efficace et aurait été moins redondante.
N’ayant qu’une trace de fumé au loin pour le guidé. Ren se mit à courir. : il faut une virgule entre les deux
Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard. : pas le bon moment je pense, à la limite quand il était avec elle dans la maison, ok. Mais là, c'est le moment d'amener autre chose, comme une description de l'attaque pour faire monter la tension.
L’homme en question était le père de Ren : un peu lourd
Depuis la mort de sa mère, son père trouva un but après du seigneur. : confus, pas compris
Aussi, les dialogues sont les seuls à nous faire passer des informations mais c'est dommage car manque de contexte du coup.
Agacé par son caractère, son père le frappa à la tête se qui le fit tomber dans les pommes. : un peu rapide la conclusion de l'échange, la tension n'a pas eu le temps de monter. Aussi, tu explicites un peu trop "agacé par son caractère" : si la tension était montée naturellement, tu n'aurais pas eu besoin de ça.
Ren vit le visage de sa mère. : je pense que tu aurais pu amener une petite description/narration pour développer cette idée et en faire quelque chose.
Des cris provenant de partout couvraient les bruits calme de la nature. : maladroit
Impuissant devant être scène Ren s’apparenta à dire le fond de sa pensée. : s'apprêta ?
La fin est un peu facile avec Osham qui arrive à motiver en une phrase le village. Manque un peu de subtilité. Je n'y ai pas cru malheureusement.
Merci pour ta participation !
cette scène : un peu trop vague je pense, "la scène" à la limite
Que se passe-t-il Ren ? : un peu redondant avec la première question juste avant. Une déclinaison aurait été aussi efficace et aurait été moins redondante.
N’ayant qu’une trace de fumé au loin pour le guidé. Ren se mit à courir. : il faut une virgule entre les deux
Pendant sa course, il repensa à sa discussion avec sa cousine. Dans l’excitation Ren s’était pas rendu compte de la façon dont il lui a parler. Il n’aime pas s’énerver contre elle. Après la mort de sa mère, il s’est juré de faire attention à sa cousine. Osham ressemble comme deux goutte d’eau à sa mère. Ce qui le perturbe à chaque regard. : pas le bon moment je pense, à la limite quand il était avec elle dans la maison, ok. Mais là, c'est le moment d'amener autre chose, comme une description de l'attaque pour faire monter la tension.
L’homme en question était le père de Ren : un peu lourd
Depuis la mort de sa mère, son père trouva un but après du seigneur. : confus, pas compris
Aussi, les dialogues sont les seuls à nous faire passer des informations mais c'est dommage car manque de contexte du coup.
Agacé par son caractère, son père le frappa à la tête se qui le fit tomber dans les pommes. : un peu rapide la conclusion de l'échange, la tension n'a pas eu le temps de monter. Aussi, tu explicites un peu trop "agacé par son caractère" : si la tension était montée naturellement, tu n'aurais pas eu besoin de ça.
Ren vit le visage de sa mère. : je pense que tu aurais pu amener une petite description/narration pour développer cette idée et en faire quelque chose.
Des cris provenant de partout couvraient les bruits calme de la nature. : maladroit
Impuissant devant être scène Ren s’apparenta à dire le fond de sa pensée. : s'apprêta ?
La fin est un peu facile avec Osham qui arrive à motiver en une phrase le village. Manque un peu de subtilité. Je n'y ai pas cru malheureusement.
Merci pour ta participation !
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