L'assemblée
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Petite Aloy
Ginevra
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- Ginevra
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L'assemblée
Dim 25 Juin - 16:04
La salle surchauffée était pleine à craquer. L'ambiance électrisait Ren, lui chauffait le sang et faisait battre son coeur aussi fort que lors d'une course dans la plaine. Debout sur l'estrade, Olen Tambira, son père et chef du village, faisait face à l'assemblée des sages et aux villageois. Encore une levée d'impôts. Le Seigneur Bart ne voyait-il pas qu'il n'y avait plus rien à prendre? Voulait-il les asphyxier petit à petit, privés de ressources pour passer l'hiver? Et son père, qu'attendait-il pour lancer l'assaut? Etait-il tellement absorbé par son message de paix qu'il en oubliait ses devoirs de guerrier et de chef?
Quelques jeunes gens, comme lui, commencèrent à protester. Leurs pères les firent taire. Olen l'interpella:
"Que fais-tu ici Ren? Ce n'est pas ta place! Tu n'as que seize printemps !
— Je suis ici comme doit l'être tout homme d'Ayoum. Nous sommes de valeureux guerriers, devons-nous continuer à courber l'échine? Nous ne sommes pas de ces esclaves qui se laissent marcher sur les pieds ! Père, donnez-moi l'autorisation de tendre une embuscade, et nous pourrons chasser les leveurs d'impôts!
— Il suffit Ren! Tu ne connais pas l'empire comme je le connais. Donne-leur une bonne raison de nous exterminer et ils le feront ! Calme et patience mes frères, nous devons être comme l'eau du fleuve, qui dévie devant un barrage mais le ronge, petit à petit, jusqu'à ce qu'il cède. Et il cédera. Mais pour l'heure, affronter le Seigneur Bart, c'est nous mener à notre perte et à notre destruction.
— J'en ai assez. Combien de fois nous as-tu ressorti cette histoire du barrage et du fleuve? Mais qu'attends-tu Père? Que notre fleuve s'assèche? Mieux vaut mourir que vivre à genoux !"
L'assemblée murmura, mais personne ne renchérit ni ne montra son soutien à Ren. Les vieux guerriers, agacés, secouaient la tête, attérés. Ishim, qui instruisaient les garçons aux arts de la guerre, s'avança pour prendre la parole à son tour:
"C'est ton inexpérience qui parle Ren, et si tu avais déjà combattu, tu ne serais pas aussi prompt à désirer la mort. Mener une embuscade sur des ennemis armés est autrement plus dur et dangereux que la chasse au cerf. Tu as encore beaucoup à apprendre avant de mener ce type d'opération. Comme ne pas te laisser envahir par tes émotions.
— Comment oses-tu? éructa l'adolescent, les joues rouges de colère face à cette humiliation. Comment oses-tu rabaisser ainsi un homme de ta tribu qui..."
Un torrent de clameurs recouvrit le reste de sa déclaration. Lui-même ne put entendre les mots qui sortaient de sa bouche. Le silence se fit quand l'aïeule se leva de son siège. Sa voix était faible, mais elle ne tremblait pas quand elle asséna:
"Ce n'est pas parce que tu arbores l'os de ton premier cerf que tu t'en montres digne, Ren. Nous tolérons ta présence à cette assemblée car tu nous l'as imposée et que nous avons d'autres choses à faire que de t'en chasser. Mais au lieu de montrer ta maturité, tu vocifères comme une pie outragée."
Ren soutint son regard, les poings serrés à s'en casser les phalanges. On ne répondait pas à une aïeule quand celle-ci s'exprimait au sein d'une assemblée. L'adolescent n'adorait que Seth, mais même le dieu de la guerre respectait quelques traditions. Olen, le visage fermé, serrait le bâton de chef avec une rage telle que les jointures de ses doigts blanchissaient et fixait son fils comme s'il ne rêvait que de l'assomer avec.
"Ren, sors maintenant."
Il se tourna vers son père, sans réaction.
"J'ai dit: sors! Ne m'oblige pas à te mettre dehors par la force !"
La voix du chef avaient claqué dans l'air comme le tonnerre, impérieuse. Il chercha un soutien sur le visage des autres villageois, sans succès. Seul et isolé, il sortit en faisant claquer la peau de cerf qui fermait l'entrée.
Le soleil d'été l'éblouit à en pleurer quand il traversa la place centrale du village à grands pas. Il était presque rentré chez lui quand il sentit une présence dans son dos.
"Vas-t-en Osham", marmonna-t-il sans espoir.
Il entra et lança une bûche dans le feu, rageur.
"Tu vas avoir trop chaud là-dedans", constata l'enfant.
Il maugréa pour toute réponse.
"Ca ne s'est pas vraiment passé comme tu voulais, n'est-ce pas? Oncle Olen a été dur avec toi."
Il soupira sans répondre, exaspéré. Elle le savait déjà. Comme tous les enfants du village, elle avait l'habitude d'observer les assemblées par quelques trous dans les murs ou en se postant sous une fenêtre ouverte. Il prit la cruche d'eau et s'assit devant l'autel des ancêtres. La statuette de sa mère le regardait, les sourcils froncés. Silencieuse, Osham s'assit à ses côtés et s'agrippa à son bras. D'abord boudeur, il finit par le passer autour de ses épaules. La petite posa sa tête contre lui et attendit que la mauvaise humeur de son cousin s'apaise.
Que devait-il faire? Continuer d'obéir à son père et aux anciens qui lui dénigrait son statut d'adulte et laissait les hommes de Bart se comporter dans leur village comme en terrain conquis?
"Quand penses-tu, Mère?, interrogea-t-il dans le vide. Qu'aurais-tu pensé de tout ça?"
La statuette resta silencieuse, raide. Il n'en émanait aucune douceur, aucun réconfort. Ren se sentait mal à l'aise à son contact, comme si elle était en colère contre lui. Enfant, il se souvenait d'un sentiment de chaleur à chaque fois qu'il la regardait. Depuis qu'il avait enfreint les règles de sa tribu en allant chasser son premier cerf seul et qu'il avait glissé l'os taillé de sa première proie dans ses cheveux, sa mère dégageait une aura d'hostilité. Comme s'il n'était plus digne de son sacrifice.
Bien. S'il n'était plus le bienvenu chez lui, il savait ce qui lui restait à faire. Il aspergea l'autel des ancêtres selon la coutume et se défit de l'étreinte d'Osham. Quelques affaires à ramasser et son arc. Il n'avait besoin de rien d'autre.
Quelques jeunes gens, comme lui, commencèrent à protester. Leurs pères les firent taire. Olen l'interpella:
"Que fais-tu ici Ren? Ce n'est pas ta place! Tu n'as que seize printemps !
— Je suis ici comme doit l'être tout homme d'Ayoum. Nous sommes de valeureux guerriers, devons-nous continuer à courber l'échine? Nous ne sommes pas de ces esclaves qui se laissent marcher sur les pieds ! Père, donnez-moi l'autorisation de tendre une embuscade, et nous pourrons chasser les leveurs d'impôts!
— Il suffit Ren! Tu ne connais pas l'empire comme je le connais. Donne-leur une bonne raison de nous exterminer et ils le feront ! Calme et patience mes frères, nous devons être comme l'eau du fleuve, qui dévie devant un barrage mais le ronge, petit à petit, jusqu'à ce qu'il cède. Et il cédera. Mais pour l'heure, affronter le Seigneur Bart, c'est nous mener à notre perte et à notre destruction.
— J'en ai assez. Combien de fois nous as-tu ressorti cette histoire du barrage et du fleuve? Mais qu'attends-tu Père? Que notre fleuve s'assèche? Mieux vaut mourir que vivre à genoux !"
L'assemblée murmura, mais personne ne renchérit ni ne montra son soutien à Ren. Les vieux guerriers, agacés, secouaient la tête, attérés. Ishim, qui instruisaient les garçons aux arts de la guerre, s'avança pour prendre la parole à son tour:
"C'est ton inexpérience qui parle Ren, et si tu avais déjà combattu, tu ne serais pas aussi prompt à désirer la mort. Mener une embuscade sur des ennemis armés est autrement plus dur et dangereux que la chasse au cerf. Tu as encore beaucoup à apprendre avant de mener ce type d'opération. Comme ne pas te laisser envahir par tes émotions.
— Comment oses-tu? éructa l'adolescent, les joues rouges de colère face à cette humiliation. Comment oses-tu rabaisser ainsi un homme de ta tribu qui..."
Un torrent de clameurs recouvrit le reste de sa déclaration. Lui-même ne put entendre les mots qui sortaient de sa bouche. Le silence se fit quand l'aïeule se leva de son siège. Sa voix était faible, mais elle ne tremblait pas quand elle asséna:
"Ce n'est pas parce que tu arbores l'os de ton premier cerf que tu t'en montres digne, Ren. Nous tolérons ta présence à cette assemblée car tu nous l'as imposée et que nous avons d'autres choses à faire que de t'en chasser. Mais au lieu de montrer ta maturité, tu vocifères comme une pie outragée."
Ren soutint son regard, les poings serrés à s'en casser les phalanges. On ne répondait pas à une aïeule quand celle-ci s'exprimait au sein d'une assemblée. L'adolescent n'adorait que Seth, mais même le dieu de la guerre respectait quelques traditions. Olen, le visage fermé, serrait le bâton de chef avec une rage telle que les jointures de ses doigts blanchissaient et fixait son fils comme s'il ne rêvait que de l'assomer avec.
"Ren, sors maintenant."
Il se tourna vers son père, sans réaction.
"J'ai dit: sors! Ne m'oblige pas à te mettre dehors par la force !"
La voix du chef avaient claqué dans l'air comme le tonnerre, impérieuse. Il chercha un soutien sur le visage des autres villageois, sans succès. Seul et isolé, il sortit en faisant claquer la peau de cerf qui fermait l'entrée.
Le soleil d'été l'éblouit à en pleurer quand il traversa la place centrale du village à grands pas. Il était presque rentré chez lui quand il sentit une présence dans son dos.
"Vas-t-en Osham", marmonna-t-il sans espoir.
Il entra et lança une bûche dans le feu, rageur.
"Tu vas avoir trop chaud là-dedans", constata l'enfant.
Il maugréa pour toute réponse.
"Ca ne s'est pas vraiment passé comme tu voulais, n'est-ce pas? Oncle Olen a été dur avec toi."
Il soupira sans répondre, exaspéré. Elle le savait déjà. Comme tous les enfants du village, elle avait l'habitude d'observer les assemblées par quelques trous dans les murs ou en se postant sous une fenêtre ouverte. Il prit la cruche d'eau et s'assit devant l'autel des ancêtres. La statuette de sa mère le regardait, les sourcils froncés. Silencieuse, Osham s'assit à ses côtés et s'agrippa à son bras. D'abord boudeur, il finit par le passer autour de ses épaules. La petite posa sa tête contre lui et attendit que la mauvaise humeur de son cousin s'apaise.
Que devait-il faire? Continuer d'obéir à son père et aux anciens qui lui dénigrait son statut d'adulte et laissait les hommes de Bart se comporter dans leur village comme en terrain conquis?
"Quand penses-tu, Mère?, interrogea-t-il dans le vide. Qu'aurais-tu pensé de tout ça?"
La statuette resta silencieuse, raide. Il n'en émanait aucune douceur, aucun réconfort. Ren se sentait mal à l'aise à son contact, comme si elle était en colère contre lui. Enfant, il se souvenait d'un sentiment de chaleur à chaque fois qu'il la regardait. Depuis qu'il avait enfreint les règles de sa tribu en allant chasser son premier cerf seul et qu'il avait glissé l'os taillé de sa première proie dans ses cheveux, sa mère dégageait une aura d'hostilité. Comme s'il n'était plus digne de son sacrifice.
Bien. S'il n'était plus le bienvenu chez lui, il savait ce qui lui restait à faire. Il aspergea l'autel des ancêtres selon la coutume et se défit de l'étreinte d'Osham. Quelques affaires à ramasser et son arc. Il n'avait besoin de rien d'autre.
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- Petite Aloy
- Messages : 113
Date d'inscription : 07/10/2021
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Re: L'assemblée
Lun 26 Juin - 11:32
Coucou !
Ton texte se lit assez bien dans l'ensemble. On voit bien les éléments de la fiche de personnage.
Quelques petites choses, dont celle-ci :
Nous tolérons ta présence à cette assemblée car tu nous l'as imposée et que nous avons d'autres choses à faire que de t'en chasser. Ça me fait bizarre ; ils ne devraient justement pas tolérer sa présence s'il l'impose, et le chef prend quand même le temps d'expliquer alors "qu'il n'a pas que ça à faire". En plus, ça nuit un peu à la crédibilité du chef Mais ce n'est peut-être que moi
Bravo pour ton texte !
Ton texte se lit assez bien dans l'ensemble. On voit bien les éléments de la fiche de personnage.
Quelques petites choses, dont celle-ci :
Nous tolérons ta présence à cette assemblée car tu nous l'as imposée et que nous avons d'autres choses à faire que de t'en chasser. Ça me fait bizarre ; ils ne devraient justement pas tolérer sa présence s'il l'impose, et le chef prend quand même le temps d'expliquer alors "qu'il n'a pas que ça à faire". En plus, ça nuit un peu à la crédibilité du chef Mais ce n'est peut-être que moi
Bravo pour ton texte !
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- Ginevra
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Date d'inscription : 22/05/2022
Re: L'assemblée
Lun 26 Juin - 12:41
Coucou Petite_Aloy, merci pour ton commentaire^^
Ce n'est pas le chef qui répond à Ren mais l'aïeule, je me suis dit qu'elle avait justement plus de temps pour le faire et que c'était son rôle. Mais effectivement, la phrase peut alourdir le texte et sembler un peu étrange dans le contexte. C'est un truc que j'aurais modifié en réécriture, mais pas le temps avec les contraintes de l'atelier.
Ce n'est pas le chef qui répond à Ren mais l'aïeule, je me suis dit qu'elle avait justement plus de temps pour le faire et que c'était son rôle. Mais effectivement, la phrase peut alourdir le texte et sembler un peu étrange dans le contexte. C'est un truc que j'aurais modifié en réécriture, mais pas le temps avec les contraintes de l'atelier.
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- Petite Aloy
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Re: L'assemblée
Lun 26 Juin - 12:50
Oh au temps pour moi, j'ai mal compris !
Effectivement, avec une réécriture derrière, toutes ces petites choses sont corrigées !
Étant donné que c'est l'aïeule (lol aïeule ça ressemble à aï), ça fait moins bizarre. Mais ça alourdit un petit peu quand même. Peut-être une autre tournure, une phrase plus courte ?
Enfin ne te tracasse pas avec ça, le reste est très bien !
Effectivement, avec une réécriture derrière, toutes ces petites choses sont corrigées !
Étant donné que c'est l'aïeule (lol aïeule ça ressemble à aï), ça fait moins bizarre. Mais ça alourdit un petit peu quand même. Peut-être une autre tournure, une phrase plus courte ?
Enfin ne te tracasse pas avec ça, le reste est très bien !
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Re: L'assemblée
Lun 26 Juin - 22:03
Hello,
Texte fluide et agréable à lire. Je n'ai pas trouvé de remarque à dire.
De mon côté, la phrase relevée par Petite_Aloy ne m'a pas choqué.
Texte fluide et agréable à lire. Je n'ai pas trouvé de remarque à dire.
De mon côté, la phrase relevée par Petite_Aloy ne m'a pas choqué.
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- Ginevra
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Date d'inscription : 22/05/2022
Re: L'assemblée
Lun 26 Juin - 23:22
Merci pour ton commentaire Gillesmouchet ^^
Re: L'assemblée
Mar 27 Juin - 11:34
Hello !
Comme les commentaires précédents : le texte est fluide, agréable à lire et l'on retrouve bien les éléments de la fiche.
On comprend bien que ce n'est pas le grand amour entre Ren et son père, et qu'il s'apprête à faire une bêtise !
Je n'ai pas été choquée non plus par la phrase relevée par Petite Aloy, mais c'est vrai qu'il y a contradiction. Il s'impose, mais est toléré.
Vraiment très bien !
Comme les commentaires précédents : le texte est fluide, agréable à lire et l'on retrouve bien les éléments de la fiche.
On comprend bien que ce n'est pas le grand amour entre Ren et son père, et qu'il s'apprête à faire une bêtise !
Je n'ai pas été choquée non plus par la phrase relevée par Petite Aloy, mais c'est vrai qu'il y a contradiction. Il s'impose, mais est toléré.
Vraiment très bien !
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- Ginevra
- Messages : 155
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Re: L'assemblée
Mar 27 Juin - 16:22
Merci pour ton commentaire Rattis, j'en prends note ^^
Rattis aime ce message
- marie_jda
- Messages : 161
Date d'inscription : 07/10/2021
Localisation : Chocolatine
Re: L'assemblée
Jeu 29 Juin - 16:38
Salut ! Bravo pour ton texte, il est agréable à lire et les éléments de la fiche personnage sont bien retranscris.
Juste un tout petit détail : quand tu apostrophes un personnage, il manque une virgule.
Ex : Que fais-tu ici Ren? -> Que fais-tu ici, Ren ?
Sinon tous les mots s'enchainent et ça fait bizarre. En prononçant à voix haute, on entend qu'on fait une mini-pause entre le début de la phrase et le prénom, qu'on n'enchaine pas tout d'un coup. C'est peut-être juste un oubli pendant l'écriture, mais comme ça revient plusieurs fois, je le souligne au cas où (Il suffit Ren! - C'est ton inexpérience qui parle Ren, et si tu avais déjà combattu, tu ne serais pas aussi prompt à désirer la mort. - "Vas-t-en Osham", marmonna-t-il sans espoir.)
Désolée, je sais pas si c'est très clair, j'arrive pas à m'expliquer correctement je crois
Mais c'est du détail. Le texte est vraiment bien !
Juste un tout petit détail : quand tu apostrophes un personnage, il manque une virgule.
Ex : Que fais-tu ici Ren? -> Que fais-tu ici, Ren ?
Sinon tous les mots s'enchainent et ça fait bizarre. En prononçant à voix haute, on entend qu'on fait une mini-pause entre le début de la phrase et le prénom, qu'on n'enchaine pas tout d'un coup. C'est peut-être juste un oubli pendant l'écriture, mais comme ça revient plusieurs fois, je le souligne au cas où (Il suffit Ren! - C'est ton inexpérience qui parle Ren, et si tu avais déjà combattu, tu ne serais pas aussi prompt à désirer la mort. - "Vas-t-en Osham", marmonna-t-il sans espoir.)
Désolée, je sais pas si c'est très clair, j'arrive pas à m'expliquer correctement je crois
Mais c'est du détail. Le texte est vraiment bien !
Ginevra aime ce message
- Ginevra
- Messages : 155
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: L'assemblée
Jeu 29 Juin - 21:08
Merci pour tes compliments et pour ta remarque Marie. Je n'avais jamais fait attention à ça, mais maintenant que tu le dis, je le vois^^'
Je corrigerai ça pour les prochains textes
Je corrigerai ça pour les prochains textes
marie_jda aime ce message
Re: L'assemblée
Ven 30 Juin - 14:29
Bravo pour ton texte, il est vraiment super bien. Le caractère de Ren est très bien rendu, c'est rythmé, intéressant, se lit très bien.
Juste : petite redondance quand tu parles des jointures/phalanges du père et du fils qui sont énervés.
Merci pour ta participation !
Juste : petite redondance quand tu parles des jointures/phalanges du père et du fils qui sont énervés.
Merci pour ta participation !
Ginevra aime ce message
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