C'était dans le désert

C’était dans le désert. Je cherchais le chemin du retour depuis une, deux, dix heures ? Je ne sais pas au bout de combien de temps des chaussures partent en lambeaux sous la chaleur des grains de sable. Au bout de combien de temps une peau se couvre d’eau et de sang sous les rayons transperçants d’un soleil tyrannique qui vous force à vous incliner.

Alors que je me décidai à boire les dernières miettes d’eau sablée, j’aperçus un être gracieux : un immense baobab qui me promettait mille bonheurs.


Aux pieds de ma merveille, je sentis mes tripes se tordre avec toute la force qu’il me restait. Mon sauveur avait disparu comme il était apparu. Je jetai ma gourde inutile à la tête de mon ange. Ce dernier, sans m’en tenir rigueur, posa sa main sur le haut de mon crâne et baissa mon regard. Les fines paillettes dorées consolèrent mes larmes en un souvenir : le sable, c’était lui. Le baobab, aussi. Et c’était toi.

A vos côtés, mon esprit ne s’abîmait plus dans des errances infinies. Seul comptaient le rêve et vos sourires. Je mourus en paix, en riant. « J’ai mouri », ajouta timidement le garçon, gêné de reconnaissance. Rose rit, touchée par son histoire. « J’ai manqué quelque chose, non ? » demanda le Petit Prince, en apportant gaiement les jeux de société, ainsi qu’une atmosphère – inexistante – mais plus légère, pour la fin de la soirée sur l’astéroïde.

Coucou !

Ton texte est un peu difficile à lire, je n'ai pas compris qui était "l'ange", et cette partie est un peu floue : "Les fines paillettes dorées consolèrent mes larmes en un souvenir : le sable, c’était lui. Le baobab, aussi. Et c’était toi."

Mais ton écriture est très jolie et j'adore le thème du Petit Prince !

Pour ce petit soucis de compréhension, j'avais exactement le même problème il n'y a pas longtemps Mon astuce c'est d'imaginer que quelqu'un d'autre lise ton texte : ça t'oblige à expliquer tout ce que tu as dans la tête, parce que tes lecteurs ne peuvent pas le deviner !

Merci pour cette lecture poétique ^^

Hello ! Bravo pour ton texte. Il y a du vocabulaire, du rythme, mais c'est juste qu'on arrive pas trop à te suivre.

Je ne sais pas au bout de combien de temps des chaussures partent en lambeaux sous la chaleur des grains de sable. : pas très clair la phrase

miettes d’eau sablée : j'aime l'idée, mais peut être mieux dit je pense

Et la fin, pas trop compris parce que trop imagé peut-être.

Merci pour ta participation !