Jeune homme perdu dans la forêt

J’arrive dans la forêt, inconnue je parais, perdu dans l’ombre de ces branche qui sionne le ciel. La lumière ne me parvient pas, les gigantesques tronc bloque ma présence. Marchant depuis des heures, passant de bout de bois en feuille morte, je ne sais plus où je vais. Les hiboux se posant au dessus de ma tête chante à mon passage. Je l’ai salut vivement puis je reprend mon chemin. Cette forêt était aussi profonde que le marécage qui était devant moi. J’y ai vue des animaux emprisonnés, des os provenant de je ne sais quelle être vivant. Petit à petit, cette forêt se faisait un peux plus glauque. Je marche doucement, à un tel point que me pieds ne font qu’un avec la bout car je percevais une ombre, quelque par dans ces bois inanimés. Quelqu’un ? quelque chose ? Je ne sais pas. Juste, il fallait être prudents.

L’odeur humide, insupportable des bois mélangés à celle du sol perturbait ma conscience. Je me suis arrêté un instant. J’ai marché jusqu’à n’en plus savoir mon objectif de départ. Il semblerait que l’absence des étoiles dans cette nuit profonde me faisait perdre le nord. Perdu dans ma propre vie, j’ai cherché alors dans un endroit sinistre et gigantesque ou trouvé un sens à celle ci. Arrêter autour des corbeaux qui venait puis allait, j’étais reposé sur mes acquis. Posé, ne faisait plus trop attention au monde autour de moi, je ne discernais plus l’ombre de la branche. Pensif sur la terre inconnue, je ne faisait plus attention à cette silhouette mystérieuse perdu dans les bois. C’est alors qu’une feuille tomba lentement du sol puis vint se poser sur mon épaule. Surpris, je me suis retourné puis elle était là ! J’ai couru et transpercer par l’adrénaline, mon cœur explosa de terreur. Ma gorge c’est resserré alors au bout de quelques mètres je me suis arrêté. Assez loin de cette chose, j’en ai en profiter pour nettoyer mon visage sali par la boue.

Plus la nuit passait, plus le brouillard se faisait imposant. Il était désormais impossible de voir a plus de cent mètres. J’ai réalisé mon erreur. En cherchant dans cette forêt je n’ai fait que me perdre encore plus donc je me suis écroulé. J’ai pleuré autant que possible. Jeune homme désabusé, jeune homme déstabilisé, j’avais juste besoin de trouver du réconfort. Aussi grande qu’elle puisse paraître, je pensais que cette forêt pourrait accueillir mes plainte mais enfaite, celle ci est l’une d’elle puis vint un corbeaux. Il le picore la main puis tourne son bec vers l’ouest, je l’ai suivi et alors je reprend la marche.

Un autre morceau de la forêt ce présentait à moi. Un lac séparé la forêt en deux. Celui ci me mettait en confiance. Le bruit des vagues et le reflet de la lune qui les parcourait me réconforter. J’ai trouvé la lumière en se lac. A mi-chemin, le corbeau c’est séparé de moi. J’ai continué ma route en confiance. Les arbres étaient de moins en moins épais. Il y avait ni branche ni animaux pour m’aveugler. J’ai levé les yeux au ciel puis j’ai observé se magnifique croissant de lune. Dans cette forêt, il n’y avait aucune pollution lumineuse donc en ayant les yeux attentif à se spectacle céleste, on parviens à voir les étoiles, celle qui me manquait pour retrouver mon chemin. Tout allait bien oui, tout allait bien jusqu’à se que je finissent par traverser tout le lac. Les tronc d’arbre et leur branches reprennent alors possession de la forêt.

Retourné dans l’ombre j’ai pris ma lampe torche. Voulant une certaine authenticité dans mon périple, je me suis retenu de touché à mon sac à dos mais désormais mis en garde par un danger omniscient, je retint ma volonté d’une sensation authentique. Je voyais les moustiques se balader près de mon visage, les verres de terres parcourir le sol mais aussi des renards courir sans me remarquer. En marchant un petit peu, je suis tombé sur une maison style gothique. J’ai posé ma main prudemment sur la poignée de sa porte et j’ai senti la moisissure de celle si. En ouvrant la porte, un bruit grinçant se saisissait du bâti. L’intérieur était insalubre. La verdure poussait sur les murs. La moquette était poisseuse. J’ai vue un meuble puis je me suis assis dessus. Avais-je terminé ma route ? Avais je vue tous se qu’il y avait à voir ? Je ne savais pas. Je voulais juste prendre une pose et penser à ma longue marche.

C’est perdu dans ma conscience que le monde me joue des tout et assis sur ce fauteuil, j’entendis la porte grincer. Je me suis levé et là , je vie la silhouette. C’est une personne habillée en noir. Ses vêtements n’étaient que de pauvre haillons. Je n’eut pas la force de bouger. N’eut peur alors je restait crispé observant cette chose se rapprocher de moi. A quelque centimètre de mon visage, j’ai vue le siens. Compliqué à dire puis qu’il n’en avait pas. Il dit « jeune homme danné, finit la promenade. Tu as cherché la vie, tu ne trouveras que la mort. » j’ai crié, crié, crié ! Personne n’a répondu présent. Mon pou s’accéléra soudainement. J’eus une douleur intense dans la partie gauche de mon corps. Mon cœur me faisait souffrir et…



Fin

Attention à la conjugaison : tu as mélangé le présent et le passé ce qui casse pas mal le rythme de la lecture.
Les descriptions sont sympas mais elles sont hachées par le manque de cohérence temporelle dans ton texte : tu décris une marche longue et interminable pour ton personnage tout en donnant une suite brève aux actions.

J'ai bien aimé l'opposition entre la forêt insondable à cause du brouillard et le retour à la vision globale une fois arrivé au lac.

Yo !
Beaucoup de bonnes idées, le fait que ce soit un damné est intéressant. Tu penses à beaucoup d'éléments pour créer une ambiance, ce qui est très cool, mais c'est plus dans la formulation qu'il y a un souci. Je pense qu'avec plus de pratique, ces soucis de syntaxe disparaîtront. Je te conseille de simplifier tes phrases et de veiller à organiser ton fil de narration.

J’arrive dans la forêt, inconnue je parais, : trop compliqué pour ce que tu veux dire, pourquoi inverser sujet/verbe

les gigantesques tronc bloque ma présence : un tronc ne bloque pas une présence, l'utilisation de "présence" est maladroit

Voulant une certaine authenticité dans mon périple, je me suis retenu de touché à mon sac à dos mais désormais mis en garde par un danger omniscient, je retint ma volonté d’une sensation authentique. : trop compliqué, c'est confus.

Et attention, tu mets beaucoup de participes présents, essaie de les réduire un peu pour alléger le texte

Merci pour ta participation