un manoir au fond de la foret

La forêt sombre et ténébreuse entourait le manoir. Les branches sifflaient. Deux garçons et une filles se baladaient. Ils avaient, chacun, des sacs remplis de bonbons. La fille était déguisée en fantôme, le premier garçon en loup garou et le dernier en fée.
Le petit groupe avait quitté il y a peu les grandes avenues de Holy City pour s’aventurer dans les bois. Ils passèrent un grand portail. Au-dessus de ce portail, deux gargouilles géantes dévisageaient les enfants.
Les enfants arrivèrent à la porte du manoir.
-Enzo, tu es sûre que c’est une bonne idée. On dit qu’il s’agit d’un monstre.
-Ca n’existe pas les monstres. répondit le garçon au costume de fée
Enzo toqua. Un grondement se fit entendre. Des pas lourds se dirigeaient vers la porte. Une masse s’approchait. Les enfants l'entendaient.
La fille se cacha derrière un arbuste, le garçon déguisé en loup garou tremblait comme une feuille et se mit à faire demi tour. Seul le garçon fée ne bougeait pas.
La porte s’ouvrit. C'était un grand monsieur, il faisait la taille des trois enfants réunis.
-Bonjour les enfants ! fit la créature d’une voix rauque.
-Des bonbons ou un sort ! ricana le garçon fée.
-Venez j’ai des bonbon à l'intérieur
Le garçon se retourna et fit signe aux deux autres de venir. Ils entrèrent tremblant comme des feuilles dans le manoir. Il y avait devant eux un grand escalier. et deux immenses pièces qui partaient sur les côtés.
-Venez. Venez.
Ils traversèrent les pièces les unes après les autres. Ils arrivèrent dans la cuisine.
-Installez vous.
Les enfants se mirent à table.
-J’ai un gâteau pour vous en attendant que je retrouve les bonbons.
La créature sortit un gâteau du four. Il était au chocolat et à la noisette.
Le monsieur sourit aux enfants. Cela exiba les canines protubérantes du monsieur ainsi que les traces de sang qu’il y avait dessus.
Le vieil homme partit de la pièce.
-Enzo j’ai peur.
-Mais Elma n'aie pas peur, il ne va rien nous arriver.
-Tu es sûre ? questionna Leni avec son costume de loup garou. J’ai vu ses dents, c'est des dents de vampire.
-Oui ! Je suis sûr qu’il a juste des déformations. Mangeons le gâteau.
-Il est peut-être empoisonné.
-Il doit être fait avec des morceaux d'être humains
-Mais non.
Enzo prit le couteau et servit ses amies en gâteau. Les trois mangèrent une bouchée du gâteau. Les trois enfants gonflaient et s'évanouissaient.
Le vieil homme arriva avec les bonbons. Il remarqua les trois enfants inconscients et tout gonflés. Il courut dans la pièce d'à côté. Il prit un téléphone et composa un numéro.
-Oui ? fit une voix encore plus rauque au téléphone.
-J’ai un problème avec trois enfants qui s'est évanoui. Aussi, ils sont tous gonflés.
-Qu’est-ce qu’il faisait avant ?
-Il mangeait du gâteaux.
-Est-ce qu’il y avait de la noisette ou autre arachide ?
-Oui il y avait des noisettes.
-Savez vous s’ils sont allergiques ?
-Non je ne sais pas.
-D’accord
-Qu'est-ce que je peux faire ?
-Suivez mes instructions.

Enzo ouvrit les yeux. Il était debout attaché à une table. Sa tête tournait, une migraine lui prenait l'arrière du crâne. Il tenta de bouger ses mains. Mais elles étaient ligotées à la table.
Il tourna la tête. Il y avait Leni et Elma qui aussi étaient attachés contre des plateaux en bois. Sur leurs bras, il y avait une perfusion. Du sang leur était ponctionné.
-Elma ! Leni ! Réveillez vous.
-Qu’est-ce qu’il se passe ? Hurla Elma.
Leni se mit à se débattre, mais en vain.
Le monsieur arriva avec trois seringues.
-Au secours ! on veut nous tuer !
La créature mit ses griffes sur la bouche de Leni. Le garçon se tut.
-Vous êtes un vampire ? lança Enzo
-Oui…
-Pourquoi voulez-vous nous tuer ?
-Je… Je ne…
Le vampire détourna le regard. Il utilisa la première seringue sur Leni. Il s’endormit paisiblement. La vie semblait le quitter.
-Qu’est-ce que vous faites ?
-Ce… Ce qu’il faut que je fasse.
La créature utilisa sa deuxième seringue sur Elme. Son souffle s'éteignit. son âme fut comme envolée.
-Je suppose que c’est à mon tour maintenant ?
-Ou… Oui.
Il utilisa sa dernière seringue sur Enzo. Ses yeux se fermèrent et son pou s'abaissa.
Le vampire détacha les enfants un à un

Enzo ouvrit les yeux. Il était de nouveau au milieu de la cuisine du manoir.
-Bonjour Enzo.
Le garçon regarda autour de lui. Il vit Leni et Elma en pleine forme.
-Qu’est-ce qu’il ce passe. Je veux ma maman.
-Votre mère vous lui direz que vous êtes allergiques aux noisettes.
-Quoi ?
-Oui. Vous êtes allergiques aux noisettes. Du coup je vous ai sauvé la vie. Mais… d'un autre côté c’est moi qui ai failli vous tuer. Je m'appelle Klint et comme promis voila plein de bonbons.
-Merci. Je suppose

Hello !

J'aime bien ton texte, tu essayes faire passer le vampire pour un mauvais personnage alors qu'il est en réalité gentil XD ! L'intrigue de ton texte est bonne !

Une phrase m'a un petit peu gêné : "Au-dessus de ce portail, deux gargouilles géantes dévisageaient les enfants." -> Il s'agit de réelles gargouilles ? Et s'il existe de statut comme je le pense, ce serait bien de le préciser, parce que pendant toute ma lecture je m'attendais à ce que les gargouilles interviennent^^'

Salut,

bonne intrigue , on accroche rapidement.
"Au-dessus de ce portail, deux gargouilles géantes dévisageaient les enfants." Pourquoi ne pas le développer plus?
"Cela exiba les canines protubérantes du monsieur ainsi que les traces de sang qu’il y avait dessus." Il na passe pas sa langue sur ses dent ou ne se brosse pas les dents?
Ca fait par contre du bien d'avoir un gentil vampire pour une fois.

Hello ! bravo pour ton texte ! J'aime beaucoup l'idée, je la trouve originale et bien traduite dans le texte. Je pense que le souci principal est que les phrases se ressemblent toutes un peu, avec un sujet + verbe + complément qui entraîne une redondance. Et vu que les phrases sont courtes pour la majorité, ça fait qu'il n'y a pas tellement de rythme.

La forêt sombre et ténébreuse : un peu la même chose.

La forêt sombre et ténébreuse entourait le manoir. Les branches sifflaient. : je pense que tu peux mieux poser le cadre

Un grondement se fit entendre. Des pas lourds se dirigeaient vers la porte. Une masse s’approchait. Les enfants l'entendaient. / tremblant comme des feuilles: petit souci de rythme avec les phrases courtes qui s'enchaînent, mieux vaut varier les longueurs. Attention aussi aux répétitions/redondances

Descriptions du manoir trop peu suffisantes, tu n'installes pas assez le cadre.

Merci pour ta participation !

Hello ! bravo pour ton texte ! J'aime beaucoup l'idée, je la trouve originale et bien traduite dans le texte. Je pense que le souci principal est que les phrases se ressemblent toutes un peu, avec un sujet + verbe + complément qui entraîne une redondance. Et vu que les phrases sont courtes pour la majorité, ça fait qu'il n'y a pas tellement de rythme.

La forêt sombre et ténébreuse : un peu la même chose.

La forêt sombre et ténébreuse entourait le manoir. Les branches sifflaient. : je pense que tu peux mieux poser le cadre

Un grondement se fit entendre. Des pas lourds se dirigeaient vers la porte. Une masse s’approchait. Les enfants l'entendaient. / tremblant comme des feuilles: petit souci de rythme avec les phrases courtes qui s'enchaînent, mieux vaut varier les longueurs. Attention aussi aux répétitions/redondances

Descriptions du manoir trop peu suffisantes, tu n'installes pas assez le cadre.

Merci pour ta participation !