La traque

«  Fak : tu es venue jusqu’ici, maintenant passe là-dedans.
Claire : il fait bien trop noir là-dedans pour que je passe »

Au loin on entendait des aboiements de chiens qui se rapprochaient.

fak : ils vont finir par nous retrouver ce n’est qu’une question de temps.

Claire : je sais mais il n’y a pas une autre solution ?

Fak : s’il y en avait une, je te l’aurais proposé.

Des paroles au loin venaient porter par le vent froid.

Inconnu 1 : j’en voie un !

Des coups de fusils retentir. Cela fit sursauter la jeune.
femme. Fak et Claire ne dirent plus un mot et retinrent leur respiration. Leur cœur battait fort dans leur poitrine et le son resonnaient en eux. Ils avaient peur qu’ils entendent leur battement de cœur.

Inconnu 2 : idiot ! Tu as tiré dans un épouvantail. Il nous les faut vivant !

Inconnu 1 : on ne doit pas les tuer ?

Inconnu 2 : si, mais je n’ai pas envie de trainer leur
cadavre. On les tuera quand ils seront dans le camion.

Le coup de feu avait fait peur aux bêtes sauvages qui se dirigeait vers le couple. Un sanglier déboula et bouscula Fak. Il se mordit les lèvres pour ne pas crier. Une douleur le brulait au niveau des côtes. Il mit la main au niveau de sa douleur et un liquide chaud s’écoulait.

Claire : ça va fak ?

Fak : je suis blessé. Je saigne.

Claire s’approcha et regarda la plaie du jeune homme. Sans rien dire elle déchira ses vêtements en morceaux et les fit tenir avec sa ceinture sur la plaie.

Claire : tu es bien blessé. Mon pansement improvisé.
devrait faire l’affaire en attendant de trouver mieux.

Fak : merci ; mais je ne sais pas si je peux maintenant te suivre avec ma blessure.

Claire : il le faudra bien. Tu as entendu ils nous tueront.

Fak : je sais ils sont comme ça quand ils ne comprennent pas ils tuent. C’est leur façon de réagir.

Claire : si tu veux, je vais t’aider. On ira ensemble.

La jeune femme aida le jeune homme à avancer. Ils s’engouffrèrent dans le réseau d’égout de l’ancienne ville abandonnée. La trappe se ferma. Ils restèrent un moment dans l’obscurité et des lumières se mirent à éclairer.

Claire : nous sommes sauvés Fak ?

Fak : pour le moment. On évite une mort certaine avec les chasseurs. Mais personne n’a jamais revenue vivant de cette ancienne cité.

Claire : Elle a toujours été là. C’est vrai qu’elle date avant l’arrivée des hommes ?

Fak : Oui et personne ne sait qui l’a construite.

Des pas au loin retentir dans le tunnel et une ombre géante se projetait sur les murs. Ils n’étaient pas seuls…

On ressent l'urgence globalement, je trouve ça bien. Et du coup, j'ai peut-être juste un doute sur une phrase : "Mon pansement improvisé devrait faire l’affaire en attendant de trouver mieux." Je sais pas si ça fait naturel dans l'urgence de la situation. Mais sinon, ça me semble bien raconté.

Il est sympa à lire ton petit texte ! Je rejoins l'avis de Chris, on sent bien l'urgence de la situation, mais certains passages manquent un peu de naturel. (Ou alors tu le fais exprès ? ^^)

@Christopher, Tu as raison la phrase ne fait pas trop naturel.

@Rosario, Il faut que je revois les passages qui manquent de naturel. J'aime bien l'idée de le faire exprès (ça me donne des idées pour continuer l'histoire).

@Christopher et @Rosario, merci pour votre avis sur mon texte

Bravo pour ton texte ! j'ai vu ta progression depuis quelque temps maintenant alors je suis impressionnée (et ravie !)
Je pense que ça manque un peu de rythme (virgules et alternance des constructions de phrase), et un peu plus de description serait chouette, mais on comprend vite ce qu'il se passe dans le texte et tu réussis à amener de la tension.
Merci pour ta participation !

Merci Christelle pour ton avis.